Dépositaire central

financier international, pour éviter le blocage des échanges et la contagion à tout le système (risque systémique) de problèmes momentanés de solvabilité d'un pays ou d'une Banque Centrale donnée. C'est une sorte de « Banque centrale des Banques centrales et Trésors publics ». Ses prêts sont censés permettre aux Banques centrales de défendre leur monnaie sur le marché des changes. A la différence des banques de développement, le FMI ne finance pas de projets spécifiques. Dans le cadre des prêts qu’il

au surendettement. Pour la crise financière qui débute en 2007, le « paradoxe de la tranquillité » se double d’un « paradoxe de la crédibilité » : la lutte contre l’inflation ayant donné des résultats très favorables, la crédibilité des banques centrales et des autorités monétaires s’est trouvée renforcée. Le modèle de base pour comprendre les enchaînements qui ont conduit à la crise est celui de la théorie du surendettement inspiré des travaux d’Irving Fisher en 1933. Traditionnellement, tout part

BILAN ENERGÉTIQUE BE BE = (Hv + Ht) – Apports (S+I) Le besoin net en énergie compense les pertes par les parois Ht et la ventilation Hv, après dédustion des Apports gratuits internes (I) et solaires (S) REDUIRE LES CONSOMMATIONS D’ÉNERGIE 1. Le besoin net en énergie de chauffage : Be net, ch - Chauffage uniquement - Sur base du bâtiment + climat + conventions 2. L’ énergie finale EF = Perte dans l’installation - Chauffage : consommation = Be net, ch / ( ch

technologiques (télévision, électro-ménager…). Des barrages hydrauliques sont construits ainsi que de nombreuses centrales thermiques sont érigées afin de satisfaire les besoins des Français. Suite au premier choc pétrolier de 1973, le prix de l’énergie est multipliée par quatre, il est alors impératif pour EDF de diversifier ses moyens d’obtenir la précieuse électricité. La construction de 13 centrales nucléaires est alors amorcée dès 1974. Depuis peu, la question climatique est au centre de toutes les préoccupations

la création de l'ECU (European Currency Unit), puis l'Union économique et monétaire à partir de 1990. Les Européens ont réalisé le rapprochement des politiques économiques européennes dans le cadre du pacte de stabilité, la création de la Banque centrale européenne et, à partir de 2002, la mise en place définitive de l'euro, assortie de la disparition des monnaies nationales. La monnaie européenne permet d'annuler le risque de change et la spéculation intraeuropéenne. Des coopérations diverses existent

redresse de manière régulière mais la déflation est toujours source de risque, estime le gouvernement japonais, qui appelle la banque centrale à soutenir l’économie. Le gouvernement confirme ainsi son diagnostic depuis mars, pour la première fois en 8 mis, d’un redressement de sa conjoncture économique. Le niveaux général des prix, étant un indicateurs économique central de sa conjoncture, un élément déclencheur du moteur de son économie, Le gouvernement Japonais applique en ce moment même, une politique

qui va représenter le cout du financement. Aujourd'hui on est dans un système flottant, ou la valeur de chaque monnaie n'est pas très stable. 6. Elle peut être créer … mais aussi détruite Qui crée de la monnaie ? Ce sont les banques centrales, et les banques secondaires qui vont la créer. La création monétaire vient du fait que l'on consente un prêt (accord d'un crédit > création de monnaie). Ce sont les crédit qui font les dépôts et non pas l'inverse. - Ou encore à cause de l'achat

général des prix L’offre de monnaie Le bilan de la banque centrale = ACTIF Créances sur l’extérieur Créances sur l’Etat Créances sur l’économie PASSIF Billets & pièces en circulation Réserves des institutions monétaires = BASE MONETAIRE Si la banque centrale est à l’origine de la création monétaire => la base monétaire détermine le volume de la masse monétaire = schéma du multiplicateur de crédit : La banque centrale achète des titres publics => création de monnaie ->se retrouve

et prévus vers 2015. Bâle I Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Bâle I fait référence à un ensemble de recommandations formulées en 1988 par le Comité de Bâle, un comité rassemblant les banquiers centraux des pays du G-10 sous l'égide de la Banque des règlements internationaux, à Bâle. Ces recommandations, également connues sous le nom d'Accord de Bâle de 1988, visaient à assurer la stabilité du système bancaire international en fixant une limite

Les fonctions de la banque centrale Q1  Définissez les notions d’insolvabilité et d’illiquidité. L’insolvabilité est le fait qu’une personne ne dispose pas de moyens financiers lui permettant de rembourser ses créanciers. De plus, on parle d’illiquidité lorsqu’une entreprise ne peut plus faire face à ses échéances, c’est la conséquence d’une durée des emplois supérieure à celle des ressources. Q2 Relevez les grandes fonctions de la banque centrale évoquées dans le texte. En connaissez-vous