Dépôt de mendicité

Mathilde atteindra la fortune et sera un homme pouvant influer sur les événements politiques d’une révolution. 3. a. Les dépôts de mendicité sont des établissements où sont logés et nourris toute personne n’ayant pas de travail et ne pouvant subvenir à ses besoins, les fous, les prostituées, … Tout ceux que la société met à l’écart. Source : PINON Pierre, « Dépôts de mendicité », Lieux d’hospitalité : hospices, hôpital, hostellerie, sous la direction de MONTANDON Alain, Clermont-Ferrand, Presses

d’affection même dans sa vie. Ainsi, Oliver ressent du soulagement en apprenant que le fonctionnaire de la paroisse, M. Bumble, vient pour le ramener au dépôt, même s’il est grandement triste de quitter ses amis. Malheureusement, il est extirpé d’un lieu de souffrance pour en connaître un autre. Arraché des mains de Mme Mann pour servir le dépôt de mendicité ou même, pourquoi pas, le conseil. En même temps, dans l’endroit sordide que l’orphelinat, la faim finit par avoir raison des inhibitions des enfants

Recueilli inanimé au bord de la route, il est soigné par une vieille dame pauvre qui lui donne à manger. Il se retrouve dans un atelier, puis est placé en apprentissage dans une maison de pompes funèbres. Il se retrouve ensuite dans un sinistre dépôt de mendicité mais il est renvoyé pour avoir osé redemander du gruau. Un jeune garçon le livre à une bande de voleurs et de prostituées, dont le chef est le vieux Moses Fagin, un juif receleur, dont le repaire est une grande maison en ruine dans les quartiers

Oliver est orphelin, né dans un dépôt de mendicité, sa mère est morte après l’accouchement. Oliver est placé chez Mme Mann par la paroisse [1], il reçoit 7 pence [2] et demi par semaine. M.Bumble, le bedeau [3], est responsable des orphelins. Ils vivent dans des conditions épouvantables et doivent faire un métier fatigant. Ils n’ont pas beaucoup à manger, ils n’ont même pas le droit de se révolter. Oliver se révolte après avoir été désigné. Il demande s’il peut ravoir du "gruau" [4], en réponse

apprenti du croque mort et est en couple avec Charlotte, la cuisinière de la famille SOWERBERRY. Dick est le meilleur ami d’Oliver à l’orphelinat. Il décèdera à cause des mauvaises conditions de vie. Oliver : Orphelin recueilli par le dépôt de mendicité, c’est un enfant pale et chétif qui possède un esprit vif et droit mais naïf. Il est gentil, serviable et charitable. Fagin : c’est un vieillard au visage repoussant avec une épaisse chevelure rousse. Il se sert d’enfants pour commettre des

A la page 15 du livre, nous pouvons lire : « Voilà le grand mot qui décide tout à Verrière : rapporter du revenu » (comme à travers le personnage de Valenod qui a « doublé et triplé sa fortune depuis qu’il administre le bien des pauvres au dépôt de mendicité ».) La société est imbue de ses privilèges mais ne croit plus en elle-même. A travers sa passion amoureuse pour Mme de Rénal et à travers l’étonnement de celle-ci pour les propos libéraux et bonapartistes de Julien (page 104), Stendhal montre

effondrement de l’aumône individuelle d’autant plus qu’avec la Réforme, condamnation de la mendicité et de l’aumône. A l’époque, les pouvoirs publics se substituent aux pouvoirs ecclésiastiques dans le domaine des soins donc plus de rationalisation. A Paris à l’époque 10% de la population parisienne sont des errants. La déclaration royale de 1656 reconnait l’échec des politiques pour diminuer la mendicité. L’enfermement est présenté comme un acte de charité pour les obliger à aller à la messe et

retrouver un emploi et besoin de trouver un emploi car victime des difficultés économiques du temps. Cette émergence d’une nouvelle population s’explique par le phénomène de déclassement social et de sous-emploi (travailleurs valides livrés à la mendicité). On voit ainsi apparaître un phénomène que l’on ne maîtrise pas à cette époque où dont on ne veut pas voir la réalité : celle d’une ambivalence entre des personnes en incapacité de travailler en raison d’un handicap ou d’une pathologie et celle

et la fille de M. Valenod. Monsieur Rênal  : il est maire de Verrières, mari de Mme. De Rênal et premier employeur de Julien. Il est un bourgeois et un industriel de clous dans Verrières. Monsieur Valenod : il est d’abord un directeur du dépôt de mendicité de la ville, après il est devenu le deuxième maire de Verrieres. Il aime l’épouse de M. Rênal. Mme Louise de Rênal  : épouse de Monsieur de Rênal et amante de Julien. D'un caractère doux et réservé, elle se montre parfois naïve. Marquis de

surtout de bon ton » ; en outre « fort poli, excepté lorsqu'on parlait d'argent, il passait, avec raison, pour le personnage le plus aristocratique de Verrières ». Monsieur Valenod : second maire de Verrières et baron après avoir été directeur du dépôt de mendicité de la ville. Il est le rival de Julien dans la cour qu'ils font à Mme de Rênal et finit par le condamner à mort. « grand jeune homme, taillé en force, avec un visage coloré et de gros favoris noirs, était un de ces êtres grossiers, effrontés