Dépresseur

Stimulation de l’interneurone bulbaire N2 n’a pas d’effet CN diminue de 80 à 30 battements/mn diminue de 120 à 90 mm Hg Les nerfs de Cyon et de Héring exercent un effet cardiomodérateur dépresseur permanent. Les nerfs vagues ont un effet cardiomodérateur dépresseur, ils n’ont pas d’effet sur la vasomotricité. Les nerfs orthosympathiques innervant le cœur ont un effet cardioaccélérateur hypertenseur et n’ont pas d’effet sur la vasomotricité des artères. Les

vomissements, tachycardie, palpitations, vertiges, sécheresse buccale, rétention urinaire, excitabilité, irritabilité. II - Le palier 2 : les antalgiques opioïdes faibles a) Codéine Propriétés : Antalgique morphinique faible. Faible effet dépresseur respiratoire. Contre-indications : Allergies. Asthme, insuffisance respiratoire. Insuffisance hépatique ou rénales sévères. Effets secondaires : Réactions cutanées allergiques. Constipation, nausées, vomissements. Bronchospasme. Conseils

GRANDE-BRETAGNE, l'usage de toute drogue est illégal. Toutefois, la possession de cannabis ne doit plus être passible d'une arrestation. Le gouvernement a proposé le 23 octobre 2001 que la possession de cannabis soit assimilée à une possession d'anti-dépresseurs. Elle demeure illégale, mais les consommateurs ne devraient pas être inquiétés s'ils n'ont sur eux que des petites quantités. 3. Les Effets 3.1 Les effets sur la santé Ils dépendent du produit utilisé, mais aussi de la sensibilité et de

illicite, qui prend de l’ampleur est du à un détournement à partir d’une source licite (laboratoire pharmaceutiques, pharmacies, fausses ordonnances médicales). On distingue : - Les Dépresseurs du système nerveux central, qui ralentissent l’activité du système nerveux central. - Les Stimulants :A l’inverse des dépresseurs, ils excitent et accélèrent l’activité du système nerveux central. - Les Hallucinogènes : On groupe sous cette appellation, toutes les substances qui perturbent l’activité mentale

vraiment rien d’héroïque. À l’époque de la Première Guerre mondiale (1914-1918), on évalue à 500 000 le nombre de personnes dépendantes de l’héroïne aux États-Unis, un nombre impressionnant pour l’époque. SON LOOK Poudre blanche SA FAMILLE Famille des dépresseurs SES EFFETS Euphorie tranquille SON REVERS DE MÉDAILLE Cette drogue crée très vite une grande dépendance. La plupart du temps, la consommation d’héroïne enclenche un processus de marginalisation qui peut conduire à la prostitution. Pour un dépendant

principal ingrédient, l’éthanol, agit comme un dépresseur sur le cerveau. Même si on la consomme tout d’abord pour ses effets euphoriques, il est faux de croire que l’alcool a un effet stimulant. Consommé en faible quantité, il peut sembler un stimulant du fait qu’il agit sur la partie du cerveau régissant les inhibitions. Lorsqu’une personne perd ses inhibitions, elle devient plus volubile et semble avoir plus d’énergie. Mais en fait, l’alcool est un dépresseur qui ralentit les fonctions cérébrales et

|Centre |Interneurone |Centre |C du noy|Nerf pneumog |Centre | |bulbaire |inhibiteur |vasomote |X | |médullaire | 2- EXP1 sur le nerf 1 : (0.75pt) Section hypertension nerf dépresseur. Excitation du bout central baisse de la P Art. Le nerf de Hering constitue une voie afférente. EXP 2 : sur le nerf2 : (0.75pt) Section accélération du rythme cardiaque (mais pas de vasoconstriction)

Paracétamol + Dextropropoxyphène) - les opiacés forts et les morphiniques. * Les médicaments adjuvants  Certains traitements sont utiles dans les douleurs rebelles : - les anti-dépresseurs (type chlorydrate d’amytriptiline, ex : Laroxil® ou chlorydrate de Paroxétine, ex: Deroxat®, autre anti-dépresseurs). - les anxiolytiques, - les anti-convulsivants (clonazepam, ex : Rivotril® : 20 gouttes une fois par jour dans les douleurs névralgiques) - les corticoïdes, 1 à 2 mg/kilo/jour.

généralement fumé, sous forme de cigarette (joint ou splif) ou dans une pipe. Il peut également être consommé par voie orale, par exemple dans un gâteau ou des biscuits. Ses effets - Nombreux sont ceux qui croient, à tort, que le cannabis est un dépresseur au même titre que l'alcool ou les substances opiacées; il s'agit en fait d'un perturbateur du système nerveux central.  - Le principal effet recherché par les consommateurs de cannabis est une certaine euphorie, un High, caractérisé par une sensation

aujourd’hui comme un véritable remède préventif à consommer sans modération. Il agit sur la peau, les os, la respiration en provoquant un massage des côtes. Il accélère le rythme cardiaque et la régénérescence tissulaire. C’'est également un anti dépresseur naturel et, par la production d'’endorphine (hormone du plaisir), permet d’évacuer le stress et l’'angoisse. Les services hospitaliers, en particulier pédiatriques, ont bien compris son aspect bénéfique sur les petits malades et ont largement ouvert