Depuis Aristote Le Rire Est Considéré

B. Les différents genres de comédies C. Les personnages de comédie D. Les ressorts de la comédie Fiche méthode : Analyser le texte théâtral Corrigés des exercices Chapitre 2 Visages de la comédie : de Molière à nos jours A. Châtier les mœurs par le rire Texte 1 : Les Précieuses ridicules, sc.9 B. La comédie du mariage Texte 2 : George Dandin, I,4 C. L’utilisation comique du quiproquo Texte 3 : Le Malade imaginaire, I, 4 D. Pour aller plus loin… E. Évolution de la comédie, du XVIIIe au XXe siècle Corrigés

Platon : * Écrit des dialogues mettant en scène Socrate ainsi qu’un ou plusieurs sophistes, et en général de jeunes grecs. Le but de ces discussions est de s’élever vers la vérité. * Il fonde une école : l’Académie. * Il aura un disciple, Aristote ; Aristote, lui en revanche, a inventé la métaphysique qui étudie les premières causes de la Nature. Au départ donc, le philosophe est aussi physicien, mathématicien, astronome, géomètre… : c’est une science universelle. En évoluant, la philo est

de nos connaissances L’horizon de nos connaissances. Pour contourner ce casse-tête, pourrait-on alors définir le Big Bang comme le début de l’espace et du temps ? En réalité, le Big Bang est notre horizon dans le temps et dans l’espace. On le considère comme l’instant zéro de notre histoire car faute de mieux. Le Big Bang est la limite de nos connaissances. On décrit souvent le Big Bang comme une boule de matière concentrée qui explose dans un grand éclair de lumière et emplit tout l’espace. Ceci

1908 XL. Le jeu, 1er novembre 1913 XLI. Espérance, 3 octobre 1921 XLII. Agir, 3 avril 1911 XLIII. Hommes d'action, 21 février 1910 XLIV. Diogène, 30 novembre 1922 XLV. L'égoïste, 5 février 1913 XLVI. Le roi s'ennuie, 22 janvier 1908 XLVII. Aristote, 15 septembre 1924 XLVIII. Heureux agriculteurs, 28 août 1922 XLIX. Travaux, 6 novembre 1911 L. Oeuvres, 29 novembre 1922 LI. Regarde au loin, 15 mai 1911 LII. Voyages, 29 août 1906 LIII. La danse des poignards, 17 avril 1908 LIV. Déclamations

raison Dans ce paradigme, le MOI EST HAÏSSABLE SI IL NE SE COMPORTE PAS COMME UN HONNÊTE HOMME (Cf Alceste dans le misanthrope) >> paradigme par rapport aux généreux de descartes Le moi en tant que moi humain est haïssable, celui qui se considère supérieur est haïssable => les « moi » de société il faut mettre en valeur les idées des autres et en retrait nos idées (acte d’honnêteté) parvenir a mettre de côté son propre moi -> Il faut reconnaitre en l’homme une grandeur le grandeur

va prendre une face nouvelle ; Et déjà son courroux semble s'être adouci, Depuis qu'elle a pris soin de nous rejoindre ici. Qui l'eût dit, qu'un rivage à mes voeux si funeste Présenterait d'abord Pylade aux yeux d'Oreste ? Qu'après plus de six mois que je t'avais perdu, A la cour de Pyrrhus tu me serais rendu ? PYLADE J'en rends grâces au Ciel, qui, m'arrêtant sans cesse, Semblait m'avoir fermé le chemin de la Grèce, Depuis le jour fatal que la fureur des eaux Presque aux yeux de l'Epire écarta nos

.....................................................32 Conclusion ...............................................................................................................................................................32 Le théâtre grec considéré comme un média innovant.............................................................................................33 1. Le chœur antique ..........................................................................................................

terrain si bien battu, quelque gangue dont se puisse extraire encore une paillette d'or ? Ceci est prétentieux ; mais pardonnez à l'auteur son orgueil : faites mieux, avouez qu'il est légitime. N'est−il pas réellement bien extraordinaire de voir que, depuis le temps où l'homme marche, personne ne se soit demandé pourquoi il marche, comment il marche, s'il marche, s'il peut mieux marcher, ce qu'il fait en marchant, s'il n'y aurait pas moyen d'imposer, de changer, d'analyser sa marche : questions qui tiennent

HISTOIRE DES CHATEAUX FORTS, DES PRINCESSES ET DES CHEVALIERS. HISTOIRE DE L’OCCIDENT MEDIEVAL Des années 1150 à la fin du XVème. Préambule : La 24 Aout 410, le Roi des Goths, Alaric, chef barbare, met à sac la ville de Rome, qui depuis le 3ème siècle avent JC, n’avait jamais été prise. Le scandale fut colossale en Occident. Occident = l’Europe. Les coupables furent les Chrétiens, dont le Dieu mensonger n’avait pas su protéger Rome. Au-delà de cette accusation, c’est le gouvernement

personnages mythologiques. 2 : il critique Rome qui apparait dans les 2tercets, il compare Rome à son petit village gaulois. Il nous donne une image dure, audacieuse (qui ose tout) de Rome. Et il nous donne une finesse pour son village, qu’il préfère. Il considère qu’il a quand même appris une certaine forme de sagesse los de son voyage, voir 2derniers vers et 1ère strophe. 3 : L’ode : 2ème grand genre de la renaissance. Voir doc « à Cassandre ». Interprétation 1ère strophe : vante la beauté de la rose