Déraillement

Allemands-Nazis). Leur objectif est de lutter contre l'occupation Allemande mais également contre le régime de Vichy. A travers des tracts et la presse, ils combattent la propagande du régime de Vichy. Ils agissent également avec le sabotages : déraillement des trains, couper les lignes de communications.. La répression menée par les Nazis et la milice est forte. Le nombre de résistants augmentent au fur et a mesure que les conditions d'occupations sont de plus en plus insupportables, ainsi les communistes

A l’intérieur de la flèche, il y a 10 photos de libérateurs. 10 membres du groupe Manouchian (fusillés). Les cercles de photos rappellent les impacts de balles. La flèche pointe vers 6 photos rectangulaires (représentant attentats, assassinats, déraillement, sabotage, des armes, etc.). A coté de chaque photo, il y a leurs noms, leurs origine, leurs religions, leurs appartenances politique (communiste) et les actes qu'ils ont commis. On insiste sur le fait que ce ne soient pas des français. Les 2 slogans

éminemment présente que les mots se délient, pour Phèdre par exemple. Ainsi les personnages sont aliénés par les relations passionnelles et s’écartent peu à peu de la voie de la raison. Cette passion dévorante s’exprime, chez Racine, par un «  déraillement » presque uniquement par la parole. C’est-à-dire que la passion est si forte que les principaux protagonistes, qui ont perdu la raison, ne pourront pas contrôler leurs paroles. Des mots extirpés des pensées les plus profondes pour enfin obtenir

sélectionnés pour la composition de l'Affiche rouge, où apparaît l'expression « l'armée du crime». « Grzywacz – Juif polonais, 2 attentats », « Elek – Juif hongrois, 8 déraillements », « Wajsbrot – Juif polonais, 1 attentat, 3 déraillements », « Witchitz – Juif polonais, 15 attentats », « Fingerweig – Juif polonais, 3 attentats, 5 déraillements », « Boczov – Juif hongrois, chef dérailleur, 20 attentats », « Fontanot – Communiste italien, 12 attentats », « Alfonso – Espagnol rouge, 7 attentats », «

espionnage et tromperies…] ou encore le monde judiciaire corrompu] les personnages sont entraînés vers la voie du crime (Meurtre de Grandmorin commis par Roubaud : Jalousie ; meurtre de Séverine par son amant : hérédité perturbée, pulsions meurtrières ; déraillement de la Lison par Flore : Jalousie + plus amour désespéré ; Meutre de la mère de Flore par Misard : Argent caché) ou de l’erreur judiciaire par calcul politique (Camy-Lamotte même après avoir trouvé les réels coupables dans le meurtre du président

deux hommes et d’une femme. Ils sont presque tous d’origine étrangère :  Arméniens, Polonais et Hongrois d’origine Juive, Italiens, Espagnols, Roumains et Français pour trois d’entre eux. Leur chef, Missak Manouchian organise les sabotages (déraillement de trains) et les attentats contre l’armée d’occupation allemande (attentats à la grenade, assassinat d’un général SS).  Arrêtés par la police française, ils sont fusillés par les Allemands le 21 février 1944.   Analyse de l’œuvre : >

Phasie finit par mourir de l'empoisonnement progressif que lui a fait subir son mari. Misard cherche en vain les mille francs qu'elle avait hérités. Flore, toujours jalouse, guette les trains de Jacques et Séverine. Elle décide de provoquer le déraillement de l'express du vendredi, pour tuer Jacques et Séverine. Pour ce faire, elle obstrue la voie avec la carriole de Cabuche. Les sept wagons sont détruits, la locomotive agonise. Il y a de nombreux morts et blessés, mais Flore a échoué : Séverine

circulaires des membres du groupe Manouchian qui ont été fusillés. Les cercles des photos rappellent des impacts de balles. La « flèche » pointe vers 6 photos rectangulaires présentant les actes réalisés par ces résistants : attentats, assassinat, déraillement, sabotage, des armes… • Les 10 hommes de l’affiche : 10 membres du groupe Manouchian. A côté de chaque photographie sont mentionnés leurs noms, leur origine (Polonais, arméniens, Hongrois, Italien), leur religion (ils sont juifs), leur appartenance

propagande. « L’art doit édifier, façonner le peuple et la nation » disait Goebbels. L’art n’est donc pas libre sous un régime totalitaire. Tous ceux qui n’étaient pas allemands étaient considérés comme dégénérés. « Leur musique est le résultat de déraillements. » « L’Allemagne est le premier peuple musicien de la Terre » était la pensée hitlérienne avec cet éternel sentiment de supériorité. J. Goebbels On ne compte plus, sous le III Reich, le nombre de pamphlets et dictionnaires antisémites

libérateurs », 10 membres du groupe Manouchian qui ont été fusillés. Les cercles des photos rappellent des impacts de balles. La « flèche » pointe Vers 6 photos rectangulaires présentant les actes réalisés par ces résistants : attentats, assassinat, déraillement, Sabotage, des armes… Les 10 hommes de l’affiche : 10 membres du groupe Manouchian. A côté de chaque photographie sont mentionnés leurs noms, leur origine (Polonais, arméniens, Hongrois, Italien), leur religion (ils sont juifs), leur appartenance