Derrière les murs

joueurs gardent quand même leur personnalité, c'est-à-dire leurs passions et leurs peurs. Ensuite il y a encore une interaction joueur/spectateur avec Aech quand celui-ci se fait emportait par le sang qui sort de l'ascenseur, à ce moment nous sommes derrière Aech comme si nous le contrôlons mais ensuite lorsqu’il

Ils sont nourris avec de l'air, des données et de l'électricité par le biais d'arbres semi-transparents. Même la façon dont le bâtiment a été matérialisé fait penser à de anciennes villas : plafonds non abaissé, mais des plafonds «réels» pas de murs préfabriqués, mais en pierre, acier, bois et plastique pas de moquette mais des tapis persans et de sisal pas de petites fenêtres mais élévations contenant des éléments coulissants les étages du haut donnant accès ,pratiquement sur tous les bureaux

narrateur passe son temps à compter les jours qui lui restent à vivre, il lui reste donc six semaines.  Résumé du chapitre IX Le narrateur regrette de laisser derrière lui sa femme, sa mère et surtout sa fille de trois ans sans protection et sans ressources.  Résumé du chapitre X Le narrateur décrit sa cellule, c’est une petite pièce à quatre murs en pierre avec une voûte et une petite porte en fer où il y a une petite ouverture servant de fenêtre. Il y a aussi un matelas en paille. A l’extérieur il

Voici la folle qui passe en dansant. Elle entraîne derrière elle des vapeurs d'alcool qui font froncer le nez aux honnêtes flâneurs. "- Voyez, clament ils, ce que renferme le ventre de Paris ! Voyez comment, gorgées d'absinthe, les plus belles filles de France s'en vont tapiner sur les trottoirs des grands boulevards." Celle là, il y a fort longtemps qu'elle ne parle plus. Ses yeux sont vides, son sourire énigmatique et sa bouche en cœur ne veulent plus rien vous dire

l’image de la caverne Platon imagine des prisonniers enchaînés au fond d’une caverne sombre ; cette caverne symbolise le monde sensible, celui dans lequel nous vivons ; les prisonniers, c’est nous. Platon " montre " que les sons répercutés par les murs de la caverne seraient pris pour les voix des ombres. Ces prisonniers prennent donc pour le réel ce qui n’est que le reflet d’une image. Nous croyons connaître, veut nous dire Platon, le monde tel qu’il est vraiment, mais en fait, nous n’avons accès

|il faut bien compléter |sa petite toilette seule à | |toilette. | | |derrière lui. Mr B ne se |condition de compléter | | | | |rase pas seul. |derrière lui. | | | |Se vêtir / se dévêtir |Mr B ne peut pas choisir |Mr B arrive à s’habiller

pas, mais ma vie a complètement changé. Tu me connais bien mon petit Jérémy! Tu sais que je ne suis pas du genre à parader dans les rues. Ce n’est pas que je n’aime pas les gens, mais ma timidité m’empêche parfois de découvrir ce qu’il y a derrière les murs de ma maison. On a tout essayé pour me faire sortir de ma zone de confort. Ton père m’a même inscrite à des cours de danse pour personnes âgées, mais pas question d’aller là-bas toute seule. Il y a seulement ta mère qui réussit parfois à m’amener

trottoir. Il a des prothèses aux bras, aux jambes. Ses vêtements sont tout abimés. Sa tête est déformée, ce qui rappelle les « gueules cassées ». Il a les yeux vides et mendie pour survivre. A l’arrière-plan, derrière le mendiant, on peut voir une petite fille qui dessine a la craie sur les murs, les pieds nus, mal habillés. Cette petite fille est probablement une orpheline de la guerre. On voit aussi un autre mutilé, bien vêtu, le buste bien droit et qui passe devant le mendiant sans le regarder.

tenaient des hommes depuis toujours enchaînés. Ne pouvant tourner la tête, ils ne voyaient donc que la paroi qui était en face d'eux. Derrière eux, se trouvaient des marches conduisant à l'entrée de la caverne, avec des flambeaux pour les éclairer. Des hommes libres, parlant, portant des objets, allaient et venaient. Les prisonniers les entendaient bien, mais ne voyaient d'eux que la projection de leurs ombres. Un jour, un prisonnier fut libéré. Parvenu à l'entrée de la caverne, il fut tout d'abord

volupté, et dont l’âme est généralement saisie en face des images naturelles les plus sombres de la désolation et de la terreur. Je regardais le tableau placé devant moi, et, rien qu’à voir la maison et la perspective caractéristique de ce domaine, - les murs qui avaient froid, - les fenêtres semblables à des yeux distraits, - quelques bouquets de joncs vigoureux, quelques troncs d’arbres blancs et dépéris, - j’éprouvais cet entier affaissement d’âme qui, parmi les sensations terrestres, ne peut se mieux