Derrière les murs

étagères le long des murs. Sous la lumière impitoyable qui pénètre avec violence par les fenêtres, chaque détail acquiert une pureté incroyable : les reliures des volumes, les feuillets enluminés des missels et les pages des textes de musique ; les brillants clous qui fixent l'étoffe verte de l'écritoire ; les petites sculptures Renaissance et le bronze doré qui se trouve sur l'autel ; les astrolabes et la grande sphère armillaire ; le petit bichon dressé sur ses pattes de derrière et qui coupe le rayon

vers 600 après JC, que les premières pierres du château ont été posées. Légende : Le château de la capitale écossaise a plusieurs fantômes. Le plus célèbre d'entre eux est celui du joueur de cornemuse, dont la musique raisonne souvent entre les murs du bâtiment. Ce fantôme est celui d'un homme que l'on envoya dans un tunnel souterrain. Grâce au son de sa cornemuse, on pensait pouvoir suivre depuis l'extérieur, le chemin du tunnel. Au début, tout marchait bien. Tout le monde entendait la musique

Hors de lui, il la tue. -Il cache son corps à l’intérieur des murs du cellier et attend le moment propice de tuer le chat, mais ce dernier ne se montre pas. -La police, à la recherche de la femme, vient rendre visite au personnage principal. -Il est très fier de sa cachette, beaucoup trop, même, ce qui fait qu’il est trop confiant du fait que les policiers ne l’accuseront pas de meurtre. Par inconscience, il frappe le mur derrière lequel sa femme morte est cachée et un bruit étrange se fait entendre

large que la façade est longue ». Une cour où vivent des cochons, des poules et des lapins se trouve derrière la pension. L’intérieur de la pension : p.47 Le rez-de-chaussée est composé d’un salon et d’une salle à manger. Cette dernière est séparée de la cuisine par la cage d’escaliers. Le salon est lambrissé (recouvert de lames de bois) à hauteur d’appui, c-à-d ~à hauteur de coude. Le reste des murs est couvert avec un papier verni. Une cheminée est présente, mais elle est toujours propre, car aucun

j’ai cité un peu plus haut donne tout son caractère à ce film. Je l’es personnellement trouvé passionnant et extrêmement bien monté, je le trouve vrai et sincère même si je suis convaincue que l’on est encore loin de ce qui se passe vraiment derrière ces murs car personne ne réagit vraiment au naturel face à un objectif.

fenêtres avaient été posées. L’intérieur était très illuminé par ces vastes ouvertures. Lorsqu’on rentrait a l’intérieur, on était impressionner par le grand tapis ancien, qui menait directement au grand escalier en bois, qui nous emmener a l’étage. Derrière l’orphelinat, il y avait un grand jardin fleuris ou l’herbe verdoyante nous tapais à l’ œil. Il était entretenu par un jardinier, mais c’était plus un coin pour les enfants, pour s’amuser. Plus de quatre vingt dix enfants habitaient ici car leurs

impatients de voir ce qui se cachait derrière ces remparts. Nous trouvions une vieille bâtisse, certainement inhabité vu l’état dans laquelle elle se trouvait et j’entrepris avec Diego d’explorer cette masure. De l’extérieur elle n’était pas très accueillante et l'on pouvait se demander à qui appartenait cet endroit abandonné de tous. Diego commençait à être très nerveux, à grogner et à tirer sur sa laisse comme s’il y avait un fantôme qui nous attendait caché derrière une porte. C’était angoissant, nous

depuis leur enfance; enchainés et immobilisés dans une demeure souterraine tournant le dos à l’entrée de façon a se qu’ils puissent regarder que ce qu’il y a devant eux. Ils perçoivent la lumière d’un feu qui brûle derrière eux, leurs ombres et celles projetées d’objet au loin derrière eux. 2- Cet extrait de l’allégorie de le caverne par Platon, expose en termes imagés la pénible accession des hommes à la connaissance de la réalité ainsi que la non moins difficile transmission de cette connaissance

Il était un fois, dans un pays lointain, un magnifique château qui était particulièrement grand. Son toit était merveilleux, et bleu comme l’océan. Les murs apparaissaient multicolores : du jaune, du gris, du rose….et d’autres couleurs encore. Les angles avaient une forme arrondie et les fenêtres se divisées en deux parties par des meneaux. Les portes immenses et magnifiques s’ouvraient sur de très long couloirs, ou la décoration était splendide à voir. Ceux-ci desservaient de si grandes salles que

conserver le prénom du héros, le contexte et l'histoire et son contenu. Cependant il a choisi de ne raconter que le dernier jour (7ème jour, 7 fois le tour de la ville) car il a voulu mettre en scène la victoire de Josué, du faible sur le fort. Comment derrière un poème à résonnances d’épopée bibliques, le poète arrive-t-il à actualiser le récit tout en faisant passer un fort message politique ? .1 : une structure « parlante », 2 : poème divin et antique a valeur symboliques, 3 : colère du poète. I