Derrière les murs

a gauche du tableau, on distingue vaguement un arbre qui est confondu avec une forme rougeâtre et flou : le peintre ne veut pas mettre cette partie la du tableau et cela accentue donc le contraste. Même chose du cote droit de l’oeuvre ou un arbre derrière une voiture violette foncée et un bâtiment flou différencie cette partie au reste du tableau que cela se trouve a cote du mur colore avec les graffitis. L'oeuvre est finalement centrée ; le Gamard veut que l’on s'intéresse principalement au centre

Clandestino sont le récit à la première personne d’un immigrant clandestin sans-papiers, seul, l’âme en peine, condamné à courir pour fuir l’autorité car il est hors-la-loi, parti vers le Nord à la recherche d’un travail en laissant toute sa vie derrière lui entre Ceuta (possession espagnole en Afrique du Nord) et Gibraltar (possession britannique en Europe) pour se retrouver perdu au cœur de « la grande Babylone », tel un fantôme errant ou une raie dans la mer (celles-ci y vivent cachées dans le

ceux étudiés cette année OU 4 de 3ème + 1 de 4ème (dans le classeur si je ne les ai pas perdus depuis l’an dernier, auquel cas, tant pis !!). Durée de l’épreuve : présentation de l’élève + questions du jury : 10 à 15 minutes. Je range dans l’ordre derrière l’intercalaire A CHAQUE FOIS :1- la fiche polycopiée travaillée avec 1 de mes profs (complétée avec lui ou à compléter quand il l’a demandé) +2 les apports d’autres disciplines sur le même thème (sur des A4 personnels)+3 une piste ou 2 de recherche

façades sud et ouest qui sont les plus ensoleillées. * des remparts (ou courtines), de grands murs faisant le tour du château.Les remparts sont régulièrement séparés par des tours.Le haut des murs des tours, des remparts et du donjon est couronné par des merlons (les parties pleines) et des créneaux (les parties vides). Les archers et les soldats tiraient entre ces créneaux, puis se cachaient derrière les merlons. Par ces trous, on pouvait jeter sur les assaillants toutes sortes de projectiles

se rendre aux théâtre de la rive sud. Les théâtres sont de grandes constructions rondes ou polygonales. Un large espace vide est laissé au milieu, et on place la scène contre l’un des murs. La scène est divisée en deux parties : la première, à ciel ouvert, avance au milieu du parterre ; l’autre, située derrière,est protégée par un petit toit de tuiles ou de chaume,soutenu par deux colonnes.tout au fond,un rideau masque les coulisses.Au-dessus de la scène,une anvancée représente un balcon,et un

chaussette à l' autre.....merde un vrai déséquilibre, surtout en ce mois de décembre. L' avantage, c'est qu' il n' y a pas de neige et toujours ce bruit de moteur derrière moi. Parfois, je saute pour éviter un obstacle, un déhanchement à droite, un autre à gauche........... Je joue à saute mouton. Et toujours ce bruit de moteur derrière moi. Les voitures ne respectent pas le piéton, j' ai failli m' en prendre une. Paris et ses avenues c' est le Verdun du bipède. Là, en courant, je renifle les odeurs

mousse et d'humidité. Dès que nous fîmes de la lumière sur les murs qui n'en avaient pas vu depuis un siècle, des millions de souris et de rats se sauvèrent de tous les côtés. La porte refermée derrière nous, nous sentîmes un souffle de vent agiter les papiers entassés dans les coins. La lumière nous permit de discerner des caractères anciens et des dessins datant du Moyen Age. Les portraits de mes ancêtres tapissaient les murs verdis par le temps. Ils nous regardaient d'un air sévère et dédaigneux

cages d'ascenseurs. Peut-être que ce n'est pas moi qui m'enferme dans la solitude mais la solitude qui m'enferme elle-même. Peut-être que ces fenêtres et ces portes sont fermées et que plus personne ne peut sortir de ces murs. De temps en temps passe une ombre, fuyant entre les murs gris. Et ces hommes, ces femmes, ces enfants, qu'on voit pourtant, ils ont des corps, mais ont-ils des âmes ? Dans leurs yeux vides, peut-on lire la peur, la joie, la tristesse, ou la colère ? On voit le ciel parfois

nos jours (en 2009), elle est le deuxième plus haut d’Hambourg, juste derrière la tour de télévision. Malheureusement, durant la Seconde Guerre mondiale, l’église fut le point de repère pour les pilotes des forces alliées qui bombardaient Hambourg lors des raids aériens. Le 28 juillet 1943, après avoir reçu plusieurs explosifs, le toit s’écroula et l’intérieur de la nef fut sévèrement endommagé. Seulement la flèche et les murs, qui comportaient plusieurs fissures, resteront en place. Ce qui était

● Il s’empare de la hache pour abattre le chat. Sa femme intervient.  ● Fou de rage il tue sa femme d’un coup de hache dans le crâne.  ● Cache le cadavre derrière un mur de brique.  ● Policier inspecte les lieux sans trouver de traces.  ● Le narrateur vente la solidité des murs et tape sur la brique avec sa canne.  ● On entend des bruits derrière le mur.  ● Les policier démontent le mur et trouve le cadavre avec le chat sur sa tête.  ● Dernières paroles: “J’avais muré le monstre dans la tombe”**