Des étoiles plein les yeux

observent la honte te retient D'entrer dans une église et de t'y confesser ce matin Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d'aventures policières Portraits des grands hommes et mille titres divers J'ai vu ce matin une jolie rue dont j'ai oublié le nom Neuve et propre du soleil elle était le clairon Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes Du lundi

honte te retient D’entrer dans une église et de t’y confesser ce matin Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d’aventures policières Portraits des grands hommes et mille titres divers J’ai vu ce matin une jolie rue dont j’ai oublié le nom Neuve et propre du soleil elle était le clairon Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes Du

e bouge… Je marche, Je me déplace… Quand j’ai la tête pleine de pensées, Je me déplace, Pour les faire voyager… Quand mes idées ne sont que néant, Je regarde le lac au loin, Pour les noyer. Moi je ne me noie pas, Moi je nage… Moi je bouge, Même si mes pieds ne le font pas. Moi je marche, Pour accrocher mes idées aux arbres. Moi je me déplace, Pour voir du paysage. Films C’est un autre monde, C’est super naturel, C’est une histoire incroyable, Ça sonne, Ça cartonne, Ça fait

alors je présenterai seulement l’importance des étoiles, les trains, les arbres baobabs, l’eau et pour conclure le désert. Lorsque le narrateur était un pilote, c’était clair que les étoiles était important pour lui, le narrateur dépendait d'eux pour la navigation. Cependant, après que le narrateur rencontre le petit prince, il trouve que les étoiles servent d’un nouveau sens pour lui, parce qu'il sait que le prince habite parmi eux. Les étoiles signifient des choses différentes pour chaque personne

monde. Je n’étais rien qu’un mortel égaré entre du sable et des étoiles, conscient de la seule douceur de respirer… Et cependant, je me découvris plein de songes. Ils me vinrent sans bruit, comme des eaux de source, et je ne compris pas, tout d’abord, la douceur qui m’envahissait. Il n’y eut point de voix, ni d’images, mais le sentiment d’une présence, d’une amitié très proche et déjà à demi devinée. Puis, je compris et m’abandonnai, les yeux fermés, aux enchantements de ma mémoire. Il était, quelque

as laissé,Ton cœur dans ma générosité,Ta voix dans ma parole,Tes yeux dans mon regard,Ton âme dans mon corps ...Grâce à toi, je vis sur une terre triste de ton départ ... Pendant que tu reposes parmi les anges.M'attends-tu ? - Pourquoi t'es si gentil ?- J'le suis pas d'habitude ?- C'était y a longtemps.. Allez dis moi pourquoi- Parce qu'il est temps de rallumer les étoiles- Quelles étoiles ? - Celles qui brillaient dans tes yeux quand tu me regardais Tu me demandes pourquoi je t'aime,Je t'aime

tristesse et désir) me paraissent flagrant dans ces poèmes. Ont ressent dans les phrase d’Apollinaire le vécu et la force des mots ce qui donne vie au poème. Et je trouve que ombre, la boucle retrouvée, le chant d’amour, le départ et tristesse d’une étoile sont les meilleurs dans les thèmes que j’ai choisis. C’est pour cela que ce sont ces poèmes ci que j’ai prélevé à Guillaume Apollinaire. Malgré tout je n’ai pas choisi certain poème car la beauté ainsi que le sens entier du poème m’échappe complètement

scolaire n'a pas lieu en raison de la guerre aux portes de Charleville. Il s'agit bien d'un rêve sentimental car la seconde fuite vers la Belgique se fait sans train cette fois, à travers champs. Le poème a une dédicace A***Elle, avec des étoiles pour masquer le nom, étoiles apparues dans "Un cœur sous la soutane". Les baisers et la couleur rose font leur retour. Étrange début pour un rêve que de commencer par un verbe au futur, "L'hiver nous irons". Tout diffère de la réalité qui est ici embellie, le wagon

contrôleur » qui lui a attribué une voiture bien précise qui est la « dernière voiture. » (l.9), Molinié un camarade d'Hélène Berr qui ne cessait de fuir le regard de son étoile : « son regard se détournait de mon étoile » (l.16-17) , et une amie de Vivi Lafon qui assumait pleinement son côté antisémite envers elle, avec son étoile : « « Je ne peux pas voir les gens avec ça » » (l.23-24). Cependant, une dame qu'elle avait croisée dans le métro la salua normalement et respectueusement, à l'inverse des

j’espère vraiment, ce serait tellement chouette ! * Ouais c’est clair ! Elles trottinèrent en silence pour arriver à l’école. Justine rêvait de devenir une Etoile d’Opéra tandis que Mathilde rêvait de devenir un petit rat d’Opéra. Arrivées à la rue Peletier, elles se pressèrent de rentrer dans l’école, chacune des étoiles plein les yeux. Leur passion était la danse et elles ne voyaient que par ca ! Elles se firent tout d’abord gronder. Maître Tolik dit «  Mesdemoiselles, chaque mardi les cours