Des frissons partout

Séquence 3 Phèdre, Racine Acte I, scène 3, vers 259-316 OENONE Aimez-vous ? PHÈDRE De l’amour j’ai toutes les fureurs. OENONE Pour qui ? PHÈDRE Tu vas ouïr le comble des horreurs. J’aime… À ce nom fatal, je tremble, je frissonne. J’aime… OENONE Qui ? PHÈDRE Tu connais ce fils de l’Amazone, Ce prince si longtemps par moi-même opprimé ? OENONE Hippolyte ? Grands Dieux ! PHÈDRE C’est toi qui l’as nommé. OENONE Juste ciel ! tout mon sang dans

Réunissons trois coeurs qui n'ont pu s'accorder. Mais quelle épaisse nuit tout à coup m'environne ? De quel côté sortir ? D'où vient que je frissonne ? Quelle horreur me saisit ? Grâce au Ciel, j'entrevoi... Dieux ! Quels ruisseaux de sang coulent autour de moi ! PYLADE. Ah ! Seigneur. ORESTE. Quoi ! Pyrrhus, je te rencontre encore ? Trouverai-je partout un rival que j'abhorre ? Percé de tant de coups, comment t'es-tu sauvé ? Tiens, tiens, voilà le coup que je t'ai réservé. Mais que vois-je

le veut, de ce sang1 déplorable Je péris la dernière et la plus misérable. Œnone Aimez-vous ? Phèdre De l’amour j’ai toutes les fureurs. Œnone Pour qui ? Phèdre Tu vas ouïr le comble des horreurs. J’aime… à ce nom fatal, je tremble, je frissonne. J’aime… Œnone Qui ? Phèdre Tu connais ce Fils de l’Amazone, Ce Prince si longtemps par moi-même opprimé ? Œnone Hippolyte ? Grands Dieux ! Phèdre C’est toi qui l’as nommé ! Œnone Juste ciel ! Tout mon sang dans mes veines se glace !

population mondiale habitants des pays les plus pauvres du monde pour la plupart sont exposés au paludisme.  Diapo 6 : Les symptômes apparaissent généralement 12 à 14 jours après l'infection. Les symptômes sont  une douleur abdominale; des frissons et des sueurs ; une diarrhée, des nausées et des vomissements ; des maux de tête; des poussées de forte fièvre; une pression artérielle basse causant des étourdissements lors du passage à la position couchée ou assise à la position debout et

nourrice, cherche a comprendre ce qui lui arrive. Oenone, phèdre. Oenone; aimez-vous ? Phèdre; de lamour ja toute les fureurs. oenone; pour qui ? Phèdre; tu vas ouïr le comble des horreurs jaime... a ce nom fatal, je tremble, je frissonne. jaime Oenone; Qui ? Phèdre tu connais ce fils de l'Amazone, ce prince si longtemps par moi meme opprimé. Oneone; Hyppolite? grand Dieu ! Phèdre; c'est toi qui l'a nommé ! oenone juste ciel! tout mon sang dans mes veines se glace

toujours aussi belle. Je ne t’ai pas fait trop attendre ? dit-il en te faisait tourner sur toi-même. -Tu es pile à l’heure mon ange. Il te prit par la taille pour te déposer un baiser langoureux le long de ton cou, ce qui te procura d’innombrables frissons. Tu te retournas vers lui, fit un pincement de lèvre pour finir par l’embrasser de pleine bouche en lui caressant la nuque : tout ce qu’il adorait. Il te porta dans ses bras, tout en continua, ce baiser et te coucha sur le canapé. Il te caressa

d'avoir rêver, alors tu le cherche, tu le cherche même quand il n'est pas là, même dans les endroits les plus imrobables, tu espère de tout ton coeur le voir apparaître partout ou tu es, tu rêve d'être dans ses bras tout le temps, son nom résone dans ta tête comme une douce mélodie, lorsque il prononce ton prémon tout bas, tu a des frisson qui te parcours l'échine, tu sais , comme quand tu a froid, sauf qua là, c'est tellement agrèable, que tu voudrai sue ça ne finisse jamais.. Tu vois, c'est ça l'amour

il est étendu dans l'herbe, sous la nue,Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant commeSourirait un enfant malade, il fait un somme :Nature, berce-le chaudement : il a froid.Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Rimbaud Arthur Le mort joyeux.Recueil: Les fleurs du mal.Dans une terre grasse et pleine d'escargotsJe veux creuser moi-même une

ligne d’arrivée, je ressentis une vague d’émotions à la vue de tous mes proches qui avaient fait le déplacement spécialement pour moi. « Et pour terminer , que retenez-vous de cette Odyssée ? » « Que notre terre est belle et que l’on constate partout qu’elle est en danger. J’ai effectué cette Odyssée pour porter l’attention des medias sur l’effet désastreux du réchauffement climatique et de la disparition des espèces animales. Songez qu’en décembre, j’ai dû commencer mon périple en mettant des

laisser par inadvertance. Oublier, négliger. Oublier, pardonner. Nous, humains. Nous, sentiments. Nous, fous. Nous, coeurs. Humains, n'avons pas la capacité de négliger. Nos corps se souviennent de chaque frissons, de chaque caresses, de chaque envies. Le plaisir que nous avons vécu résonnent encore partout. La flamme intérieure se rallume au moindre petit souffle d'oreille. Les sens nous trahissent. Nous ne pouvons oublier. Sentiments, n'avons pas l'autorisation de laisser. Jugements, passions et affections