Des Inégalités Naturelles Inéluctables

est arbitraire, et les évolutions de taux de change recouvrent en partie des évolutions réelles. Le FMI tente de comparer les PIB en utilisant un taux de change arbitraire censé refléter les « parités de pouvoir d’achat ». • Croissance du PIB et inégalités. Doc.6 p.17, Q 1, 3 Q1 : Croissance de quoi – il y avait certainement dans les paragraphes précédents une réflexion sur ce qui doit être mesuré, ce qui doit être pris en compte dans le PIB. Q3 : Si la croissance du PIB s’accompagne

montrer les uns aux autres leur valeur. Le conflit entre les hommes est donc inéluctable. Par conséquent, ils ne peuvent non plus être heureux. Hegel concède que l’homme à l’état de nature est doué de raison. Toutefois, celle-ci dans la mesure où il n’est pas cultivé n’a pas de connaissances notamment morales. Par conséquent, ce n’est pas elle qui domine mais ce que Hegel nomme l’élément, c’est-à-dire ce qu’il y a de naturel en lui. Le philosophe peut donc en conclure que l’état de nature n’étant

Si la Russie n'est plus une des premières puissances économiques mondiales comme au temps de l'Union soviétique, elle demeure aujourd'hui une des 10 économies les plus importantes au niveau international (en 2014, 9° rang1), avec des ressources naturelles inégalées, une population de plus de 140 millions d'habitants, des compétences scientifiques et techniques parmi les plus avancées au monde, et une croissance économique forte depuis l'année 1999. La Russie est membre du club des pays les plus

représente le développement d'organisations internationales et d'ONG. • l'aspect sociologique de la mondialisation résumé par Zygmunt Bauman, sociologue et professeur émérite des universités de Varsovie et de Leeds : « La mondialisation est inéluctable et irréversible. Nous vivons déjà dans un monde d’interconnexion et d’interdépendance à l’échelle de la planète. Tout ce qui peut se passer quelque part affecte la vie et l’avenir des gens partout ailleurs. Lorsque l’on évalue les mesures à adopter

est arbitraire, et les évolutions de taux de change recouvrent en partie des évolutions réelles. Le FMI tente de comparer les PIB en utilisant un taux de change arbitraire censé refléter les « parités de pouvoir d’achat ». • Croissance du PIB et inégalités. Doc.6 p.17, Q 1, 3 Q1 : Croissance de quoi – il y avait certainement dans les paragraphes précédents une réflexion sur ce qui doit être mesuré, ce qui doit être pris en compte dans le PIB. Q3 : Si la croissance du PIB s’accompagne d’une répartition

(2ème partie) 1. Mondialisation & Globalisation 2. Développement durable 3. Délocalisation 4. La compensation (accords inter-état pour éviter d’être déficitaire) 1. La mondialisation & la Globalisation Ouverture inéluctable des Etats entre eux. (ex : l’alliance France – Allemagne) Le monde est en plein bouleversement. IIème Guerre Mondiale > PLAN MARSHALL (USA) a permis le développement de l’Union Européenne mais aussi sont endettement. De plus les moyens

eux-mêmes. Ainsi, ATTAC, organisation créée en France en 1998 et présente dans une quarantaine de pays, dénonce les effets de la mondialisation qui impose l’hégémonie d’un petit groupe de pays, la Triade, sur l’ensemble de la planète, engendrant des inégalités socio-spatiales de plus en plus fortes. Leurs moyens d’actions ont pour but de mobiliser l’opinion publique mondiale. C’est le cas des manifestations organisées en parallèle aux grandes réunions des organisations internationales qui réunissent les

Elle présente également de forte fluctuation et de nombreux économistes parlent de cycle à ce sujet (Kontratieff de Schumpeter, Juglar) enfin, elle est inégale sur le plan mondial et la relation à l’intérieur de chaque pays, entre croissance et inégalité sociale, fait l’objet de nombreuses interrogations. De même, des inquiétudes se renforcent concernant les externalités négatives de certaines activités productives, notamment la pollution. I) La croissance et les déséquilibres spatiaux, environnementaux

italien/géographie. Le développement durable terme piégé ? Le développement est lié à la croissance, qui se mesure d’ abord en indices économiques (PIB par habitant) ; or les limites de cet indicateur sont évidentes comme la non prise en compte des inégalités sociales par exemple ; certains facteurs d’ augmentation du PIB (les marées noires ou les accidents de la route) ne participent pas du développement. Le programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a souhaité mettre en place des indicateurs

généralement plutôt sociale et culturelle; ce caractère socio-culturel, frustre dans le cas de société élémentaires, s’affirme, raffine sa codification dans les sociétés plus étoffées et s’impose, par le poids des habitudes, comme apparemment “naturel”. Le XXème siècle est l’histoire de l’évolution de cette différence; les principales semblent en voie de compensation : - les droits politiques, juridiques, civiques - l’inégalité des salaires hommes - femmes Des cas d’homogénéisation se développent