Des Jugement La Bruyère

voyage : la première est datée de Tauris ; puis ils sont à Smyrne (lettre 19), à Livourne (lettre 23), enfin à Paris (lettre 24) au début de 1712. La partie la plus importante de la correspondance (lettres 24 à 147) nous livre les remarques et les jugements des deux Persans sur la vie parisienne, sur les affaires de France, sur la situation politique et religieuse. De temps à autre s'intercalent les lettres venues d'Ispahan, qui tiennent Usbek au courant de ce qui se passe en son sérail : ses femmes

« regard » employé plusieurs fois pour marquer que cette scène se fait en fait avec les yeux ! description : → c'est à travers lui qu'on peu savoir ce qu'il se passe, qui est présent... pensées et ressenti du narrateur : → « je demeurai pensif » = jugement de Victor Hugo sur la scène à laquelle il assiste (l'homme qui regarde la femme dans le carrosse) « cet homme n'était plus pour moi un homme » = réflexion personnelle de Hugo (juge) => tout ce qui est raconté est vu d'un œil qui est en quelque

français sur la question de l’altérité. La première forme qui apparait et que Todorov choisit d’analyser dès le début est celle de l’ethnocentrisme. En effet, c’est a travers l’esprit classique du 17e siècle que La Rochefoucauld dans ses Maximes et La Bruyère dans le « Discours sur Théophraste » analysaient le type social en France et proclamaient les valeurs françaises qu’elles sont a portée universelle. Dès lors on voit que l’autre n’est pas perçu par les deux auteurs. Pour eux, ceux qui ne sont pas

Montaigne pense qu’on a tjs la réponse au fond de nous. Montaigne prône la liberté et agir par soi-même. Le scepticisme est tjs très présent dans ces textes. Il veut que l’élève forme son jugement, qu’il ait son propre avis. => On ne doit pas s’approprier les idées des autres, mais s’en faire son propre jugement. Conclusion: Montaigne représente la renaissance assagie. Chez lui ce n’est pas le nombre de connaissance acquises qui compte mais la qualité. Il a tout de même foi en l’Homme, il pense

négligence et la paresse de La Fontaine, qui s'excuse plus agréablement encore. Les deux écrivains les plus originaux du siècle de Louis XIV, Molière et La Fontaine, étaient pleins d'estime et d'admiration pour leurs talents réciproques. Qui mieux que La Bruyère caractérisa le talent plein de charmes et de style inimitable de l'auteur des Fables et des Contes ? Fénelon, très rigoureux envers nos poètes et notre poésie dans sa lettre à l'Académie française, y parle très honorablement de La Fontaine ; et lorsqu'on

l'usage de la raison : transformer cette injustice en accomplissement de la justice, ce qui est une stratégie humaine perverse. La raison, pourtant, par le principe de contradiction, empêche de faire du jugement « la raison du plus fort est toujours la meilleure » ou encore "le droit est la force" un jugement acceptable. En effet, le "droit" se trouve ainsi défini par une notion (la force) dont la définition est changeante, dépend de certains aléas : la force change de camp sans cesse au gré des alliances

moment donné, elle est liée à chaque civilisation, des hommes de l'Antiquité à nos jours. Certains la considèrent comme une fin pure et simple, sans retour alors que d'autres comme un rite de passage, où chaque homme doit surmonter sa peur et faire le jugement de sa vie afin d'accéder à un autre monde. Enfer ou paradis, vie éternelle ou fin définitive, mourir pour être libre, pour échapper à la vie, mourir pour ne plus souffrir du manque de l'être aimé, pour être en paix. Peur et fascination à la fois

l'usage de la raison : transformer cette injustice en accomplissement de la justice, ce qui est une stratégie humaine perverse. La raison, pourtant, par le principe de contradiction, empêche de faire du jugement « la raison du plus fort est toujours la meilleure » ou encore "le droit est la force" un jugement acceptable. En effet, le "droit" se trouve ainsi défini par une notion (la force) dont la définition est changeante, dépend de certains aléas : la force change de camp sans cesse au gré des alliances

la communication Mettre en lien cet extrait avec l’interview précédente ; synthétiser 2 documents F.A.Q. SITE DES LETTRES MODERNES ACADEMIE DE LILLE PLUS FORT « Heureux qui communique… » VERCORS JD BAUBY Le silence de la mer LA BRUYERE Les Caractères (1688) « De la société et de la conversation » Choisir plusieurs remarques Pascal LARDELLIER « Le cœur NET » David FINCHER The social network Le scaphandre et le papillon Chercher des arguments, sans rédiger : « on dit

tous les sens. Je réservais la traduction. Ce fut d'abord une étude. J'écrivais des silences, des nuits, je notais l'inexprimable. Je fixais des vertiges. Loin des oiseaux, des troupeaux, des villageoises, Que buvais-je, à genoux dans cette bruyère Entourée de tendres bois de noisetiers, Dans un brouillard d'après-midi tiède et vert? Que pouvais-je boire dans cette jeune Oise, - Ormeaux sans voix, gazon sans fleurs, ciel couvert ! - Boire à ces gourdes jaunes, loin de ma case