Descartes Bonheur Devoir Desir

celle développée par les sceptiques : Il faut écarter une confusion : différence entre les sceptiques modernes et les anciens. Ce doute moderne c’est ce qui constituerait aux yeux des anciens un dogmatisme. Contradiction sur laquelle insiste Descartes. Si l’on illustre la position sceptique : « toute vérité est inaccessible » : on s’expose d’emblée à une contradiction : il n’y a pas d’accès à la vérité comme vérité. Les sceptiques anciens ne tombaient pas dans ces contradictions : Pyrrhon,

ce qu’il se passe et ce qu’il se passait dans la caverne. Il comprend que le feu n’était qu’une petite lumière par rapport au soleil. Quand il a compris cela, il est renvoyé pour expliquer aux autres ce qu’il se passe réellement. Ces autres vont devoir comprendre ce que sont les ombres, mais l’homme aura beau répéter, il aura le plus grand mal à convaincre les autres tant qu’ils ne l’auront pas vu et il aura de la chance s’il en réchappe. Interprétation : celui qui possède un savoir que les

de Dieu, Saint Thomas D’Aquin (1227-1274).................................................... 37 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 39 Texte 9 : La version cartésienne de l’argument ontologique, R. Descartes (1596-1650) ............................................................... 40 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 41 Texte 10 : La possibilité logique de l’existence de Dieu, G. W. Leibniz (1646-1716)

je n’ai plus rien à lui dire. » Pourquoi Rousseau confère-t-il à l’acte de penser la fonction de faire entendre la voix de la vérité et de la vertu dans leur unité profonde ? Une relation peut être tissée entre la pensée de Rousseau et celle de Descartes, dans la mesure où un parallélisme de méthode verrait le jour. Que l’on se réfère notamment à la fin de la préface au second Discours (GF, p. 154) : « En considérant la société humaine d’un regard tranquille et désintéressé, elle ne semble montrer

Vocabulaire: Agir: opération propre à un être animé (agent): avoir une activité qui transforme une réalité donnée dans laquelle le sujet ne reconnaissait pas l'objet de son désir. VALEUR: Du latin valor, « mérite », « qualités ». (1) Propriété de ce qui est jugé désirable ou utile (exemple : la valeur de l'expérience). (2) En morale, norme ou idéal orientant nos choix et nos actions (exemple : le bien, la justice, l'égalité). (3) En économie politique, on distingue la valeur d'usage d'un objet

d'intérêts, ou une opposition entre des personnes ou sur des principes. Dans un conflit, les tensions peuvent s'illustrer par de l'agressivité, comme par exemple au niveau international avec les guerres. La guerre est le conflit d'intérêts, d'opinions, de devoirs, de jugements qui opposent les hommes depuis toujours. On peut même sur un point de vue de fiction narrative dire que les conflits sont présents dans l'état de nature dont Hobbes et Locke en exposent les thèses. Ainsi, qu'est ce qui pourrait faire

et que chaque homme possède, en vertu de sa nature propre, des droits. Ces droits dits « subjectifs », il est possible de les découvrir à l’aide de la raison, par le seul examen de la nature de l’homme. Le pouvoir politique ne les crée pas. Il a le devoir de les consacrer et les hommes peuvent les faire valoir contre lui. Le jusnaturalisme est ainsi à l’origine des droits de l’homme. En ce qui concerne les destinataires, on peut distinguer entre les doctrines qui conçoivent un droit naturel avant tout

vivant quoi. La figure de Don Juan est une des plus hautes dont on convient d'accompagner le mot liberté. Dans un siècle fortement sanglé par les codes et les normes, il incarne en effet un refus hautain de toute mesure et proclame les droits du désir et de la raison. A vrai dire, l'alliance de ces deux termes déjà poserait problème si le personnage de Molière - auquel nous nous limitons - n'était à l'évidence plus soucieux de tester son pouvoir de séduction que de conquérir des femmes en vue de

1 La quête du bonheur Philippe Fontaine "Quand l'expérience m'eut appris que tous les événements ordinaires de la vie sont vains et futiles, voyant que tout ce qui était pour moi cause ou objet de crainte ne contenait rien de bon ni de mauvais en soi, mais dans la seule mesure où l'âme en était émue, je me décidai en fin de compte à rechercher s'il n'existait pas un bien véritable et qui pût se communiquer, quelque chose enfin dont la découverte et l'acquisition me procureraient pour l'éternité

Pour comprendre ce passage difficile il est utile de le comparer à la position dont il se démarque, celle de Descartes, à ce qu’il écrit dans un texte antérieur, la Préface à un traité du vide (1651), et à ce qu’il écrit dans la Pensée 72B. 3 - 1) Pascal et Descartes L’ordre géométrique selon Pascal doit être compris par rapport à la métaphore cartésienne de l’arbre. Pour Descartes, l’ensemble du savoir forme un tout articulé où les fruits sont la mécanique, la médecine et la morale, le tronc