Descartes Lien Passion Liberté

Chartier) (1946), Spinoza 3 Table des matières Préface LA VIE ET LES ŒUVRES DE SPINOZA LA PHILOSOPHIE DE SPINOZA Introduction I. II. III. IV. V. VI. La méthode réflexive De Dieu et de l’âme Des sentiments et des passions De l’esclavage de l’homme De la raison De la liberté et de la béatitude CONCLUSION Table analytique des matières et des références La vie et l’œuvre de Spinoza La philosophie de Spinoza Mémento bibliographique Alain (Émile Chartier) (1946), Spinoza 4 Alain (1946)

semblons changer en fonction des situations. Nous ne sommes pas les même par exemple quand nous sommes avec un groupe d’amis qu’avec une seule un autre. Nous paraissons menés pas nos désirs, et ils se succède dans notre esprits des pensées parfois sans lien entre elles, des désirs contradictoires… nous pouvons alors nous interroger sur le notion de personne, d’identité : Qu’est-ce qui fait l’identité de chacun d’entre nous ? En effet, même si nous appartenons tous à la même espèce, au même genre humain

Kelsen sur la hiérachisation des normes (Théorie pure du droit) On va alors passer au contrôle de la loi par rapport a cette Constitution ; Constitution devient la « norme fondamentale, le « grand fétiche ». CC protège les droits fondamentaux (1971 liberté d'association , cf Article 16 de la DDHC ; « Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée n'a point de Constitution » 2.Deuxième conception de la politique : la politique-domaine =>

dernière offrant à la science, comme en échange, des instruments d'obser- vation et de mesure de plus en plus performants. Ainsi cette étroite collaboration entre science et technique contribue à nous rendre, pour re- prendre la formule utilisée par Descartes dans le Discours de la méthode, "comme maître et posses- seur de la nature.", la technique ne peut-elle pas de nos jours aller jusqu'à agir sur le vivant. Cela doit cependant nous rendre d'autant plus vigilant, car les hommes sont désormais devenus

dernière offrant à la science, comme en échange, des instruments d'observation et de mesure de plus en plus performants. Ainsi cette étroite collaboration entre science et technique contribue à nous rendre, pour reprendre la formule utilisée par Descartes dans le Discours de la méthode, "comme maître et possesseur de la nature.", la technique ne peut-elle pas de nos jours aller jusqu'à agir sur le vivant. Cela doit cependant nous rendre d'autant plus vigilant, car les hommes sont désormais devenus

fondement de sa liberté. Ainsi di Kant, tout homme a un coté déterminé mais à cause de la loi morale, il est entièrement libre et volontaire. Schopenhauer reprend l’idée = l’homme est entièrement déterminé dans le monde phénoménal mais il y a une dimension abyssal de l’homme qui porte en lui une caractérisation qui n’est plus soumise au monde phénoménal. Néanmoins pour lui la Volonté ne correspond pas à la liberté, elle est la loi morale. L’homme est composé non pas de déterminisme et de liberté mais de

c’est un adulte avec quelque chose en moins. Par exemple, le corps d’un enfant est un corps d’adulte avec moins de force ; l’intelligence d’un enfant est l’intelligence d’un adulte mais moins rapide. Ainsi, un enfant a les mêmes désirs et les mêmes passions que l’adulte, ils sont simplement moins développés. Les historiens ont souvent remarqué une certaine conception de l’enfant à l’Âge classique selon laquelle il y a des enfants mais pas d’enfance. L’enfance n’a pas d’identité propre, par exemple il

pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature. » Descartes, Discours de la méthode. Si les Lumières du XVIIIème siècle se situent dans la même optique que Descartes, Rousseau ne relie pas en profondeur maîtrise de la nature et liberté humaine. C’est plutôt comme origine perdue pas seulement étendue offerte à mon pouvoir que Jean-Jacques Rousseau dévoile le concept de nature.Rousseau imagine

qui peuvent peser sur lui (la nature selon Kant). Déterminisme réellement naturel (les passions, les instincts), plus généralement ce qui peut nous empêcher de penser par nous même (la famille, etc.). L’homme doit être autonome grâce au droit. D’après Kant, il faut donc penser la fonction du droit indépendamment de la réflexion des juristes. Alain Renaud s’interroge par exemple dans un texte sur la liberté de se droguer : il ne regarde pas les solutions apportées par les différents états.

cadavre laissé en pâture aux bêtes fauves l’horrifie ; la représentation d’un châtiment divin outretombe le plonge dans la terreur. De ces peurs nées de l’imagination proviennent à leur tour des désirs corrompus, au premier chef desquels les passions sociales : je veux la gloire ou la célébrité, pour qu’il reste quelque chose de moi après ma mort, pour être certain également qu’on rendra à mon corps les derniers honneurs. C’est ainsi que la crainte de la mort rend possible une société ne se