Descartes Lien Passion Liberté

insiste sur la dimension privée, intime, de la religion avec la présence du divin en soi - soit religare = relier, qui met l’accent sur la dimension publique de la religion, l’ouverture à autrui (lien horizontal) et au divin (lien vertical). La religion de ce point de vue unit les hommes et crée le lien social. « Sitôt que les hommes vivent en société, il leur faut une religion qui les y maintienne », Rousseau * La religion consiste à croire. Qu’est-ce que croire et comment croit-on ? Il ya la foi

L’existentialisme Courant de pensée qui exalte liberté de devenir humain, fondamental car mode de pensée hostile aux idéologies, libérer des carcans. Désigne un courant de pensée, une philosophie, une manière d’agir qui est encrée dans une époque, à la mode dans les années 50-60. Terme lancé par JP. Sartre (1905-1980), ouvrage fameux : L’existentialisme est un humanisme en 1946. Courant de pensée lié auteur, mais à sa vie, action. Incarnation de l’existentialisme. Non séparable action engagement

1 La liberté. Introduction Le plus souvent lorsqu’on évoque le mot de liberté on pense d'abord à son aspect politique, c’est-à-dire à une série de droits, « de droit à... » Par exemple, le droit à la liberté d’expression, à la liberté de circulation, à la liberté de choisir des représentants politiques par des élections, etc. Pourtant, la liberté relève, tout d'abord, non pas de la politique ou du droit, mais d’une expérience en première personne, elle peut être vue comme un trait de la condition

impossible → philo contemplative ( luxe ) = philo bourgeoise ! - marxistes : . montre le sordide, le mauvais coté de l'action humaine → souligne l'ignominie humaine . pas de solidarité : point de départ de l'homme = subjectivité pure (=cogito de Descartes : l'homme s’atteint dans sa solitude, et les autres sont hors du « moi » → philo qui considère que l'homme est isolé - chrétiens : nie le sérieux des entreprises humaines : as de commandement de Dieu ni de valeurs éternelles → gratuité, chacun

siècle, la théorie du syllogisme consiste en un raisonnement déductif basé sur l’enchaînement logique de trois proposition : deux prémisses, qui sont des vérités que l’on a déjà admises, et une conclusion. Ce raisonnement nous montre clairement que lien entre chaque idée est nécessaire pour aboutir à une conclusion elle-même nécessaire : la vérité de la conclusion est démontrée par le fait qu’elle découle de manière absolument nécessaire suite à l’affirmation de deux prémisses, et non par son contenu

thème de la création, on peut envisager de parler de la nouveauté, du commencement, de l’origine, etc.) ou, au contraire, thèmes qui s’opposent au sujet et peuvent aider à le préciser par effet de contraste (ex. : pour le traitement du thème de la liberté, on pourra parler de l’aliénation, de la prison, de l’anarchie, etc.). - Les références diverses, les exemples, les situations, les images, etc. b) L’analyse du sujet (20-30 minutes) ((( Après le déblayage, il faut passer à l’analyse

Plus qu'à lui mâme, l'homme appartient alors à une classe sociale: le groupe prime l'individu. L'âtre humain souffre c~uellement s'il est isolé, et il éprouve en même temps la nécessité de fuir les hommes. Dans l'Antiquité et au moyen âge, le lien d'appartenance à un groupe, à un univers moral ordonné, était trop fortement ressenti pour que la solitude appa­ raisse autrement que comme un phénomane rare. La Cité platonicienne idéale, le régime de Sparte, la République romaine prônent les vertus

et jaloux de sa propre représentation, Dorian Gray « avait exprimé un désir insensé : que lui-même restât jeune tandis que le portrait vieillirait, que sa propre beauté demeurât sans tâche tandis que le visage sur la toile payerait le prix de ses passions et de ses péchés ». Ainsi, au fur à mesure de ses actions cupides ou dénuées d’empathie , l’âme du tableau (par l'expression de visage) s'atrophie alors que Dorian conserve sa beauté. L’intrigue du romain met en avant une fonction du portrait : révéler

tentation du mal est inséparable de la liberté de le choisir ! Il s’agit là d’une coupure nette avec les thèses de l’antiquité (diabolon signifie ce qui sépare, ce qui rompt). Pour Bernard Sichère (op.cit.), la réalité de Satan est la manifestation qu’« il existe bien un mal plus ancien que l’homme mais qui n’advient pour l’homme que dans la mesure de sa propre décision ». Dieu dit et l’homme désobéit. Adam et Eve illustrent cette puissance imprévisible de la liberté de choix. Ils sont encore une fois

violentant : elle renie le plaisir, considéré comme un délire de nos sens. La religion de Pascal nous enferme dans la contention, nous enchaîne à la pénitence et au repentir. On pourrait y discerner une volonté de contenir nos passions, de mettre sous tutelle notre liberté, notre faculté d'auto-détermination... L'expulsion de toute jouissance, l'évacuation du corps souillé matérialisant l'âme pécheresse, expliqueraient ce dégoût de soi-même. L'homme serait-il né pour gémir ? Non, répond Gide