Description Avec Personnification

Plan: I- La construction du poème 1) Versification 2) Composition II- Evocation métaphorique 1) Fuite de la nuit 2) Arrivée de l’aube III- Le visage de la femme 1) Description et apparition de la nymphe 2) Union d’une vision cosmique et d’un univers personnel Développement du plan: I- La construction du poème 1) Versification -14 décasyllabe. Rime classique : embrassées dans les quatrains + plates dans les tercets 2) Composition - chaque strophe a un thème. Ils sont bien construit

La rencontre de Proust avec Melle Swann coïncide avec celle de l’aubépine. Si l’auteur, pour le moment, omet de décrire la jeune fille, il substitue cette description par celle de la fleur. C’est en toute logique qu’une comparaison s’établit entre jeunes filles et éléments floraux ; le deuxième tome d’A la recherche du temps perdu ne s’appelle-t-il d’ailleurs pas A l’ombre des jeunes filles en fleur ? D’autre part, le mot « fleur » désigne entre autres la virginité. Le lien est donc démontré.

n°4 – De l’eau, Francis Ponge. Ce poème n’est-il qu’une définition de l’eau ? I-Tente d’établir un semblant de définition de l’eau. 1- L’écriture de Ponge, les nombreuses figures de style. 2- On notera la place importante qu’occupe la personnification-matérialisation. 3- Utilisation d’un vocabulaire scientifique pour crédibiliser son semblant de définition. II- L’échec du poète face à son besoin de définir l’eau. 1- Retournement de situation ? 2- La frustration de cette incapacité

prostituées. « Les débauchés rentraient brisés par leurs travaux » euphémisme qui confond volontairement plaisir et travail. PERSONNIFICATION, (v.1) « La diane chantait » à cette personnification répond le chant du coq (vers 20). Personnification féminine. Douceur de l’évocation. « L’aurore grelottante en robe rose et verte S’avançait doucement » Personnification féminine. Gravité. « Et le sombre Paris, en se frottant les yeux, Empoignait ses outils, vieillard laborieux » ou METONYMIE

(amour propre) qui sont convaincus de leur valeur et force naturelle. (L18) 2) La mission civilisatrice. - personnification filée du nouveau monde (L 5, 8 et 17) ( Ils s’investissent eux-mêmes d’une mission civilisatrice - Monde assimilé à un petit frère qu’il faut alphabétiser, éduquer (L 6 et 7) 3) La violence. - on reprend la personnification « monde enfant » pour en faire un argument morale L17 : on n’éduque pas un enfant par la force et par la violence

paysage, et l’écoulement du temps qui s’exprime par les indications temporelles, et l’évocation des couleurs. Il y a également une vision poétique avec la métaphore de la mer, et la personnification de la terre. Comme dans tout roman réaliste, nous avons la présentation d’un lieu. Nous avons en premier la description du lieu de l’action, qui sert de décor et qui est décrite de manière précise et réaliste. Ce lieu est situé géographiquement, avec des noms précis tels que « la Beauce », et « la route

COMMENTAIRE COMPOSE Extrait de Madame Bovary de Flaubert Admirateur de Balzac , obsédé par le désir de « fouiller le vrai », Flaubert s’impose comme le chef de fil des écrivains réalistes. Ainsi, ses nombreuses descriptions témoignent à la fois de ce soucis de multiplier les tableaux de la réalité et la puissance d’enchantement de cette écriture. Le roman de Flaubert, Madame Bovary, est en apparence l’histoire simple d’une femme qui tente vainement d’échapper à sa condition. Fille d’un

Hyppolite est vainqueur. Le monstre ne le touche pas. Mais ses chevaux s’affolent et perdent le contrôle. La phrase dans la deuxième partie, « l’essieu crie et se rompt : l’intrépide Hyppolite voit voler en éclats tout son char fracassé » utilise une personnification de « l’essieu » avec « crie » pour faire ressentir une perte de contrôle progressive, au fur et à mesure de son combat. Puis un aparté de Théramène «excusez ma douleur : cette image cruelle sera pour moi de pleurs une source éternelle», qui fait

Marseille est une ville vivante. Nous verrons ensuite comment il réussit à personnifier la ville et à animer les objets qui la composent. Etudions les moyens qu’utilise le poète pour évoquer l’idée de la vie qui est omniprésente dans cette description. Tout d’abord, il utilise des termes qui font penser à la vie au sens propre du terme. Pour cela, il rapproche deux termes qu’il associe alors qu’on ne s’attendrait pas à les voir ensemble : « Et les cafés enfantent » le verbe est mis en valeur

voitures sur lesquelles Zola insiste. Quant à l’impression de voir une population sans pouvoir distinguer les gens renforcent l’effet de flou. B. La serre Un autre des passages où l'impressionnisme est très présent est celui de la description des nuits de Renée et de Maxime dans la serre, situé à la fin du chapitre IV. La grande énumération de plantes présente dans le passage le rend plus réaliste. Mais c’est surtout l’utilisation d’expressions faisant référence à des impressions. Zola