Description Avec Personnification

Baudelaire et cela s'explique par la douleur et l'approche de la mort. La mort de Baudelaire se rapproche. La personnification du soleil: "Le Soleil moribond s'endormir sous une arche" (v.12) montre qu'il s'endort [non, non, le soir est symbolique, il représente la vie qui se termine, c’est tout], mais comme le soleil symbolise la vie , cela veut dire que la vie s'en va [oui]. La personnification de la nuit : "la douce Nuit qui marche" v14 fait écho à celle du soleil car la vie part, et la nuit, qui représente

1) Un monde imaginaire >Personnification de la peste dès le début : « Capable d’enrichir »(v.5), « Faisait aux animaux la guerre »(v.6), présentée comme une personnification du mal :  « Un mal qui répand la terreur »(v.1) >La description d'un monde fictif et noir : Ambiance cauchemardesque voir glauque v10 à 14 >La référence à des lieux mythologiques : « l'Achéron » v5 qui est le fleuve séparant le monde vivant de celui des enfers. > La personnification des animaux : le dialogue bestial

recueil Le parti pris des choses, publié en 1942. Ce qui différencie et spécifie ce poème par rapport à la poésie traditionnelle, c’est le fait que ce poème en prose traite d’un sujet peu commun : en l’occurrence, la crevette, avec un procédé de description de style scientifique. Cela définirait toute l’ambition du « parti pris des choses » du poète, c’est-à-dire, parler des choses, que l’on n’a jamais placé au premier plan en poésie, et surtout, de manière différente, au lieu d’utiliser des figures

semble identique, enfermant, sale, triste, trop cubique. Le lieu parait sans fin, hostile, trop matériel, sans réelle place pour l’homme. c) Une description qui conduit notre regard 2) Un univers fantastique et épique a) Personnification des usines : les procédés d’écriture métaphorisent le décor. Sujet inversé, hyperbole (exagération) et personnifications insistent sur des lieux vivants d’une force mystérieuse et inquiétante : les usines ont des yeux et elles ronflent. b) Le fantastique - L’irréel

texte dans le schéma narratif (état initial / processus de transformation : déclencheur + péripéties + résolution / état final) Cadre spatio-temporel :  durée de l'histoire  lieu  atmosphère générale (nature du décor, présence/importance des descriptions, valeur symbolique) Caractérisation des personnages :  portrait  paroles rapportées  rapports entre eux (conflit / fusion)  fonction  La narration (= comment l’histoire/la fiction est racontée) : 1. 2. 3.   Organisation : • Temps :

mal, est un recueil de poèmes. « Une Charogne » est extrait de la partie “Spleen et Idéal” du recueil. Il est composé de douze quatrains écrits en rimes croisées. Il aborde les thèmes de l’amour et de la mort qui sont mis en valeur lors de la description du corps en décomposition de la charogne, qui n’est rien d’autre qu’une évocation de la future dégradation du corps de son aimée. —----LECTURE—----- Comment le poète transforme-t-il l’immonde en objet poétique ? Après avoir montré comment, de la

de connaissance ou riche matériellement ? Lexique péjoratif désignant inepties des livres lus par Baudelaire, gradation : digéré, avalé. Souligne coté désagréable de ses lectures « démodées ». 4 : « elucubrations » dévalorisation des pensées, description ironique : « conseillent a tous les pauvres d’être de se faire esclave » a une époque ou l’on cherche l’abolition totale de l’esclavage (Lincoln) « ceux qui persuadent qu’ils sont tous des rois détrônés » Baudelaire semble contre l’égalité universelle

mal évoque une rencontre amoureuse. Nous nous demanderons donc comment Baudelaire, au travers d'un poème traditionnel, rend-t-il compte de l'inaccessibilité de l'idéal féminin. L'analyse s'intéressera d'abord à la structure du poème, puis à la description et la fascination de la femme et enfin à la fatalité d'une déception amoureuse. A une passante est un poème classique et traditionnel de part sa versification et sa focalisation. Présenté sous formes de sonnet, il dispose d'un schéma de rimes

1870, c'est dans un contexte de guerre, plus précisément la guerre franco-prussienne qui a duré de 1870 à 1871. C'est d'ailleurs dans un mouvement symboliste que s'inscrit ce poème, où la mortalité de la guerre y est dénoncée par le biais de la description d'un soldant tué en pleine nature. A travers ce poème, on peut se demander comment la dénonciation de la guerre y est faite. Pour cela nous étudierons en premier temps le cadre du poème, puis la présence d'un personnage, et pour finir le message

de phrases les figures de style : images : personnifications, métaphores, comparaisons énumérations, répétitions, anaphores, parallélismes, hyperboles, antithèses, ironie… le ou les registres : pathétique, tragique, lyrique, polémique, satirique, comique, épique, fantastique, réaliste les effets sonores : allitérations, assonances les références culturelles dans les textes narratifs le statut du narrateur la focalisation employée la description (éléments, ordre, utilité …les mouvements,