Description Avec Personnification

choix du terme « teint » (v. 6) désigne explicitement une femme puisqu’il s’agit d’une particularité humaine. Cette mise en parallèle se marque également par le déterminant possessif « votre » et la structure comparative « au votre pareil ».  La personnification de la fleur « elle a dessus la place » (v. 8), « ses beautés laissé choir » (v. 9), donne à la fleur des attitudes humaines, favorisant le rapprochement entre la femme et la fleur.  Son mode d’apparition « ce matin avait déclose » (v. 2), « …

par une louange faite à l’hiver si sa bienaimé ne décède pas de la maladie qu’elle a contractée. Notre étude porte sur les strophes 4 à 10. Il s’agit d’une description des tourments que cause l’hiver à chaque être habitants sur terre. La mort y est omniprésente comme si toute forme de vie n’était pas compatible avec cette saison. La description de l’hiver est très imagée ce qui lui offre une portée plus poignante et plus forte, elle est en effet rythmée par plusieurs thèmes décrit à travers des petites

rentré » L12, « elle reprit son attente de la nuit » L33 - Précarité matérielle : description de la chambre §2 «  renforcé par chambre » L14-15 : « manquait » L15,  « petite » L16, « ébréché » L16, « ses flancs vides » L18-19 personnification renforçant la vacuité. Renforcé par l’antiphrase ironique L24 « c’était la belle chambre de l’hôtel Renforcé par le champs lexical de la saleté « manger par la boue » L20 personnification ironique « chaussettes sales » L19, « table graisseuse » L16 Renforcé par le

dans un désespoir permanent, elles sont principalement décrites au travers des sensations auditives. Cet extrait de Eldorado est constitué d'une description des réactions des passagers qui, à la découverte de l'abandon de l'équipage, entrent tout d'abord dans une panique désespérée. On remarque l'absence de connecteurs logiques dans la description de cette panique ce qui crée presque l'effet d'une liste des malheurs des passagers du « Vittoria ». L'état de panique des africains est introduite

narratrice à ses chiennes et l’émerveillement devant la neige ? Mouvements :- l.1-7 : description de leur état au retour de cette escapade (présent). Corps parsemés de neige.- l.8-27 : récit en analepse (retour en arrière) de leur virée nocturne dans la neige (passé).- l.28-33 : retour au présent. Evocation du repos et du souvenir vivace, après la promenade.1) MOUVEMENT 1 / l.1-7 : description de leur état au retour de cette escapade (présent). Corps parsemés de neige.- l.12 : apparition

strophe, que nous pourrions nommer “ Description du tableau de “L'Apothéose d'Homère” ”, il est intéressant de voir comment Gautier parvient en seulement quatre vers, à décrire et raconter l'histoire du tableau “l'Apothéose d’Homère” peint par Ingres. Ici, Gautier expose bien ses talents de critique d'art. La ponctuation de cette strophe est différente de l'Alexandrin classique avec une accumulation de virgules dans les deux premiers vers marquant une description. “du plafond où” évoque le début de

terrible. » à la ligne 9; « Il ne faut pas que je pleure. Il faut que je les regarde avec indifférence » à la ligne 12. De ce fait, on remarque qu’il n’est pas heureux d’être présent, il ressent de la peur, et de l’inquiétude. En revanche, la description de Bernard que nous fait Louis : « Il est calme ; il est à l’aise » à la ligne 18 et « n’a pas peur » à la ligne 19, nous suggère un Bernard plutôt calme, apaisé contrairement aux lignes précédentes où là il apparaît comme stressé, angoissé

Le deuxième enfant, qui n’est pas en vie, est aussi décrit le plus fidèlement possible : Il n’a pas de tête, comme l’atteste la périphrase : « Un autre enfant sans tête et qui avait le canal du dos bouché » (l.7-8). La personnification : « Le reste intact » (l.8). La comparaison : « Un bras plus court que l’autre » (l.9), qui est combinée à l’allitération en [k], laquelle, soulignée par le présentatif : « C’est » évoque la fracture du bras : « C’est qu’il lui avait été

autant vers l’aspiration libertaire de Cosimo, dont les liens avec le relativisme voltairien seront mis en exergue, que vers la scénographie vivante d’une nature personnifiée, véritable « ciel des idées ». Les figures de style (notamment la personnification et la métaphore), le point de vue dans le récit, la méthodologie et la rédaction de paragraphes argumentés, et des points d’histoire littéraire (les Lumières) et d’histoire des arts (le « land art ») animeront cette séquence, sans omettre

intégrante de lui même. En effet, cette pièce close traduit l'un des trait de caractère du narrateur, c'est un solitaire. Nous pouvons retrouver cette personnification dans les lieux publics de ce fait les jardins publics sont des lieux de prédilections ( veuves ) . En conséquence, nous pouvons conclure que les lieux sont une personnifications des caractères des personnages, les lieux sont des symboles parlants, et ainsi ils nous entrainent vers le beau. Les poèmes en prose sont donc surtout