Description Avec Personnification

Dans le texte, il y a une personnification de l'immeuble, par exemple Zola utilise « La colonne vertébrale » pour parler des escaliers. C'est une maison de rapport, c'est à dire un immeuble divisé en plusieurs logement loués par différents locataires. Grâce au dessin de Lavielle, « Les cinq étages du monde parisien », nous allons voir comment sont répartis les classes sociales dans une maison de rapport. Rapide description des étages du dessin Premier

premières lignes, il fait une description hyperbolique de l’arbre « d’une étoffe qui le mettaient à cent coudées au-dessus de tous les autres arbres, même de tous les autres arbres réunis ». On observe aussi que le narrateur décrit la beauté et la vitalité de l’arbre «  d’un feuillage ardu […] d’une beauté rare ». Giono s’attarde à décrire uniquement sa beauté sans toutefois préciser ou révéler ce qui se cache derrière ses feuilles. Il met en œuvre une personnification de l’arbre en nous le montrant

objet à la fois ordinaire et riche de signification, s’offre à la vue du poète qu’il décrit à la manière d’un instituteur dispensant une leçon de chose. En quoi la puissance imaginative dépasse-t-elle la réalité ? I- Le réalisme de la description a) Une apparence d’objectivité * Manière scientifique : * Enonciatif : le « je » disparaît pour faire place au pronom indéfini « on » (l.2) et pronom personnel « nous ». * Connecteurs logiques : le temps (« d’abord », « dès lors »

tout a droit de cité ». Le poème se compose de 5 quatrains aux rimes embrassées : A - B - B – A Dans la première strophe, on a la personnification de la lune : elle joue avec les flots comme ferait un enfant : ce sont les reflets de la lune sur la mer. Le poète nous donne une impression de paix, de sérénité à tout le cadre. Toute la description de cette strophe est fondée sur l’impression du calme, du jeu de la lune sur la mer, les ondes et la sultane qui observe ce petit tableau.

et affectueuse - insiste sur la beauté et la jeunesse + relation que Ronsard désir nouer avec elle 2) la métaphore de la femme-rose - promenade => réactiver le cliché de la femme)fleur qui sert sa stratégie de séduction - 1ère strophe : personnification de la rose et rosifiction de la femme 3) les répétitions - "mignonne" à ? endroits : * 1§ : au sommet de sa fraicheur * 2§ : perd ses beautés * 3§ : sans majuscule, désacralisation, elle est "déflorable" II) De la persuasion à l'argumentation

marinière »,« se mêle dans mon âme », « Des hommes dont le corps est mince et vigoureux » Il est endormit, Le poème commence par un adverbe « Quand » qui nous plonge tout de suite dans la description temporelle, cela permet également de développer immédiatement l'imaginaire du poète. BAUDELAIRE fait une description précise de l'île, il laisse tout d'abord entendre que la végétation est luxuriante (« Une île paresseuse », « Des arbres singuliers et des fruits savoureux »,« le parfum des verts tamariniers »)

à la société qui l'entoure. Camus a apporté un très grand soin à la rédaction de ce récit qui mène à la scène capitale du meurtre et je vais exposer son style. Je parlerai du vocabulaire, de la conjugaison, de la briéveté des phrases et de la personnification. Je voudrais aussi parler brièvement de l'absurde qui est le fil conducteur de l'oeuvre. Dans le chapitre 6 Camus alterne les épisodes lourds de tension (les Arabes sont devant l'immeuble de Raymond et paraissent menaçants) avec des épisodes

rongés par la fatigue et la faim, les muscles crispés et tendus à l'extrême, une immense fébrilité qui les empare sur laquelle l'auteur insiste beaucoup. Par ailleurs, cette précision chirurgicale se retrouve dans Au bonheur des Dames, lors des descriptions des textures des vêtements, très divers. On retrouve ainsi de nombreux paragraphes intégralement composés de détails concernant les vêtements, c'est-à-dire l'aspect, la couleur, la matière, la texture et également le présentoir, le socle sur lesquels

Chateaubriand prend une certaine distance par rapport aux dires du Charlatans, il ne les prend pas au sérieux. On a ensuite à la troisième phrase une description très précise du personnage en question qui va de la tête aux pieds. Une accumulation d’éléments à grand recours d’adjectifs. Ceci crée une impression de réalisme sur le lecteur. Cependant, la description n’est point objective, Chateaubriand utilise ici bon nombres de termes péjoratifs : « tignasse, sale, faux, usé, bleuâtre, énorme ». Le personnage

campagnes qu’il décrit parfois avec lyrisme, et qu’il observait avec un soin maniaque. Son réalisme ne va pas jusqu’à la simple description de choses vues : tout est recréé avec des bribes de lieux rajoutés les uns aux autres comme un tableau impressionniste. _ La province, place incontestable mais le véritable théâtre de l’œuvre de l’auteur reste Paris (personnification de Paris). * Chaos gigantesque + intensité du rêve + mysticisme (religion) * Abondance de figures de style * Balzac