Description Avec Personnification

d'alexandrins), rimes croisées 3° premiers quatrains: description de l'oiseau contrasté (magnifique quand il vole et ridicule au sol): «maladroit et honteux» (v.6), «prince des nuées» (v.13) 4° quatrain: parallèle entre condition de l'oiseau et celle du poète → situation du 1° vers progressive avec rythme 2/4/6 → périphrase de l'océan «gouffres amers» (v.4) + métaphore «le navire glissant sur les gouffres amers» (v.4) → oiseau: personnification «vastes oiseaux des mers» (v.2), «indolents compagnons

de la musique des mots. Anaphore Répétition d’un mot ou d’un groupe de mots au début de plusieurs phrase successives, pour insister sur une idée, produire un effet de symétrie. Produit un effet d'insistance ou de mise en relief. Allégorie Personnification d'une idée abstraite ; mais ce peut être aussi une métaphore continuée tout au long d'un texte d'une certaine longueur. Crée un effet didactique. Métaphore filée Figure constituée d'une suite de métaphores sur le même thème. La première métaphore

1er quatrain est empli d'insouciance : jeunesse, beauté et description d’un jardin. On peut distinguer les caractéristiques de : La jeunesse : -> moi de mai -> personnification de la rose (vers 2) car jeunesse = vocabulairre humain parallélisme vers 2 et vers 9 Fleur/Femme La beauté : -> la rose = la plus belle des fleurs défi jeté au ciel vers 3 "grâce" vers 5 (personnification de la rose ) parallélisme vers 5 et vers 10 Fleur/

morceau » L19-20 Personnification de la mort : « la mort devait la prendre » L19 → elle ne se bat plus, elle laisse la mort l’envahir, elle est en position de COD Champ lexical de l'argent : « quatre sous » L4, « parié » L6, « dix sous » L8 → pauvreté Représentation des différents maux de la société : la pauvreté : « dès qu'elle possédait » L4, l'alcoolisme : « buvait » L4, la faim : « ne mangerait pas » L7, l'expulsion : « expulser » L9 b. L'isolement du personnage Personnification de la Terre

passé. Le vers 8 en lui même explique que le poète revit la même chose. Au vers 13, il dit "dont le plâtre s'écaille" cela laisse penser que le temps passer a dégradé le jardin, mais aussi le jardin secret de Verlaine. Mais le poète ne fait qu'une description péjorative du lieu où il se trouve. Au vers 3, on peut lire "Qu'éclairait doucement le soleil du matin", l'adverbe doucement laisse penser a une ambiance calme et détendu sous les premiers rayons du soleil qui peuvent paraître apaisant pour le poète

avec au milieu du 19ème siècle des artistes tels que Millet ou Courbet. • Les thèmes du réalisme  Représentation du réel.  Peinture d’une époque, d’un milieu géographique et social précis en donnant au lecteur l’illusion de la vérité.  Description de la vie quotidienne.  Peinture des personnages, des métiers, des occupations qui caractérise ces lieux.  Attachement à montrer les misères humaines (pauvreté dans les campagnes, malheur des femmes dans le mariage, maladie)  Aucune idéalisation

à faire qu'un roman où l’intrigue ne bouge pas beaucoup soit assez divertissant et agréable à lire. Par rapport à son caractère imagé, l’auteur utilise beaucoup de procédés d’écriture, particulièrement des comparaisons, des métaphores et des personnifications. Par exemple, dans l’extrait suivant qui se retrouve dans la page 245 on retrouve une comparaison: « Je me réveille subitement comme si on m’avait tiré le collet pour me sauver de la noyade. » La comparaison est une figure de style d’analogie

sur quatre: " J’aime New York. J’ai appris à l’aimer ", "j’ai appris à aimer son ciel ", " j’ai appris à aimer les avenues ". Fort de cet amour, l'écrivain tentera de faire partager son enthousiasme à ses lecteurs restés en France, par une description poétique de la ville qui en retient les aspects les plus significatifs. Son exemple portera d'ailleurs ses fruits, car Albert Camus, alors dirigeant de Combat, et qui reçut des articles de son compatriote, écrira l'année suivante ses premières impressions

marqué par le vers 8 : « descendre ou je voulais ». Le bateau se retrouve alors face à l’océan ou il peut jouir de sa liberté et choisir de naviguer de part et d’autre de l’horizon. b=> l’entrée en mer L’entrée en mer du bateau se fait par une description des marées, au début du 3 ème quatrain, qui nous guide dans notre imagination : « dans les clapotements furieux des marées » ce vers laisse apparaître un très beau rythme aux accents répétés pour souligner le passage de la linéarité fluviale au

pourrait se demander en quoi la description de Geneviève représente la mort des petits magasins ? D’abord l’auteur utilise l’espace afin d’accentuer les contrastes entre grands et petits magasins et d’autre part il fait une description émouvante et symbolique de l’agonie de la jeune. II) UNE DESCRIPTION ÉMOUVANTE, L’AGONIE DE GENEVIÈVE Dans cet extrait le but principal de l’auteur est aussi d’émouvoir le lecteur avec cette scène de souffrance et d’agonie. II)a. Une description « pathétique » pour émouvoir