Description D Un Avare

passer pour » « est »…et par les verbes de perception «est étourdi ». Nous sommes donc bien dans une description et plus précisément une « topographie » qui nous permet de nous représenter en détail le lieu. Enfin le l’extrait se clôt sur la description du maire, ce qui produit un effet de zoom. On passe d’une topographie à un « portrait ». Toutes ces informations donnent de la vraisemblance à la description et permettent d’informer le lecteur, ainsi on peut dire que le texte est bien un incipit réaliste

a l’hospice de Bicêtre. La diversité de lieux rend l’œuvre plus réel car l’on se croit aux temps de guerres Napoléoniennes à Eglau ensuite l’on se retrouve au temps ou se heurte à l’incompréhension et à la moquerie de la société. Le manque de description précise du parcours du colonel sert à montrer le décor mythique en même temps nostalgique. III.PORTRAIT PHYSIQUE ET MORAL DES PERSONNAGES PRINCIPAUX *Le colonel Chabert : c’est un vieillard, personnage pauvre, un ètre inquiétant et insaisissable

à chanter pendant l’été, n’a pas fait de réserves de nourriture pour l’hiver. Quand ses rigueurs arrivent, elle est contrainte d’implorer sa voisine, la fourmi. Elle lui demande un prêt qu’elle s’engage à rembourser au plus tôt. Mais la fourmi est avare ; narquoise, elle rappelle à la cigale qu’elle chantait l’été et conclut, au terme d’un affrontement verbal, qu’elle peut bien danser l’hiver. Explication Dans les Fables, la hiérarchie animale est une structure immuable : le fort, celui qui détient

Plus caustique encore, il considère naturel et indispensable d'être endetté (« un gentilhomme sans dettes ne saurait où se présenter »), ce qui va à l'encontre des valeurs matérialistes et rationalistes que la bourgeoisie véhicule. Son oncle, « avare » est d'autre part cité pour caricaturer cette société qui l'assaille de toute part : en témoigne la métonymie « on va me prendre au collet », et l'hyperbole « me laisse mourir de faim ». Sa liberté semble compromise, à tel point que son désœuvrement

1696, donnèrent à La Bruyère l’occasion d’enrichir progressivement cet ensemble, par des ajouts de plus en plus originaux, notamment dans les portraits. Ceux-ci sont moins des portraits à clef (dont le référent historique est masqué) que des descriptions de types sociaux et moraux. Constamment, La Bruyère relie le comportement au caractère : le moraliste écrit des portraits dynamiques, en action et c’est au travers des gestes et de l’allure du personnage que le lecteur peut deviner un caractère

L’action de la troisième partie du texte se passe à l’église Saint-Germain-des-Prés. Louis observe la conversation entre Huber, Alfred et Robert, caché derrière un pilier. Cette partie est composée sous forme de description et de réflexion. Le personnage principal décrit tout ce qu’il voit tout en analysant le comportement et les motifs des trois hommes. Le problème des relation entre le père et ses fils, soulevé par l’auteur dès le début du texte, atteint ici son apogée. L’idée principale de la

personnages de roman ont été créés de manière réaliste par les romanciers. Leurs caractéristiques, inspirées de notre monde, permettent de leur octroyer un effet de reel : - Dans Eugénie Grandet de Balzac, la description des premières pages du village et de Grandet père comme avare, et la description d’Eugénie Grandet, de la Grande Nanon dont les moindres traits physiques sont décrits au lecteur. - Dans Don Quichotte de Miguel de Cervantès, le personnage de Sancho Pança qui est l’image même de la raison

| |Avatar : Voir pièce jointe. | |Description : En face de toi un homme ivre, méchant et égocentrique. C'est un avare qui sort d'une taverne. Il te regarde froidement et | |tu as peur de lui. | |Localisation :

durant le reste de sa vie en vue de payer ses dettes. Or, Balzac semble très motivé d’attribuer à l’argent une si grande importance dans ses œuvres. Avarice et Argent : Dans Eugénie Grandet se rejoignent, pour la première fois, la description des vies privées et la théorie balzacienne des romans et contes philosophiques sur le pouvoir effrayant de la pensée, sur ses effets dévastateurs quand une idée commande et dévore toute une vie. Cette idée est l’avarice. M. Grandet qui

nommé Georges. Le comte Muffat lui fera des avances qu’elle refusera. De retour à Paris, elle se fait entretenir par plusieurs amants. Puis lassée de cette vie, elle abandonne tout pour aller vivre avec l’élu de son cœur : Fontan. Mais ce dernier est avare et brutal. Il n’hésite pas à la taper et à lui couper les vivres. Nana décide de se prostituer pour pouvoir se nourrir, c’est là qu’elle retrouve Satin. Un soir, Fontan la jette dehors et Nana s’enfuit chez sa tante. Elle se réconcilie avec le Comte