Description De La Pension

l'histoire de M.Goriot un homme veuf et entièrement dévoué à ses 2 filles, qui elles en revanche lui manquent totalement de considération. Nous allons nous intéresser à un extrait de la première partie intitulée « une pension bourgeoise » . Dans ce passage, Balzac fait la description de la pension sale et misérable tenue par Mme Vauquier dont il fait également le portrait aussi bien physique que moral. Dans un premier temps nous allons présenter en quoi le portrait physique et moral de Mme Vauquer est péjoratif

du réalisme dans son œuvre, de la signification de «all is true», pour ce faire nous verrons dans un premier temps ce qu’un romancier réaliste est, puis dans un deuxième temps nous aborderons le début du premier chapitre, l’incipit, et la description de la pension Vauquer. Nous passerons un peu sur l’histoire, puis finalement nous parlerons de la base scientifique de son travail, pour mieux comprendre le réalisme dans son œuvre. I- Romancier, narrateur, récit réalistes. Le romancier réaliste

la banque. La description est une des caractéristiques du roman réaliste, il veut rendre compte de tout ce qui nous entoure y comprit la réalité laide. Il faut donc une précision dans le détail, donner l'illusion du vrai et recourir a toutes les sensations. La description n'est pas qu'une information sur le contexte chez Balzac, il s'inspire des thèses de Geoffrey Saint-Hilaire pour qui le milieu est en interaction avec les organismes qui y vivent. La description de la pension préfigure donc

romans la description participe à la construction du personnage en nous présentant son caractère. Dans le roman Le père Goriot, Balzac décrit la pension que Madame Vauquer dirige et à travers cette description il nous présente celle ci. «  Toute sa personne explique la pension, comme la pension implique la personne » Nous nous demanderons comment la description contribue à la construction des personnages et de l'univers romanesque. Il s'agira tout d'abord d'examiner la description dénonçant ou

façon détaillée Madame Vauquer, la propriétaire de la pension où logent le Père Goriot et Rastignac. Celle-ci est assez âgée et tient cette maison depuis quarante ans. Tout d’abord, nous verrons le portrait caricatural fait par Balzac de ce personnage monstrueux, puis l’explication de l’énigme qu’est Madame Vauquer. I) Le portrait caricatural d’un personnage monstrueux (réaliste mais ironique) Toute sa personne explique l’aspect de la pension qu’elle dirige– utilisation du présent de vérité

réaliste et aussi une des œuvres de l’ouvrage « La comédie humaine ». Dans le chapitre 1, Balzac nous fait part de la description de la pension parisienne de Mme Vauquer qui est située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève. C'est une pension de famille situé à Paris en 1819. Balzac nous fait une description très détaillée et statique de la pension et enchaine par les descriptions dynamiques des personnages. Dans ce premier chapitre, il s'agit de nous montrer les personnages et le lieu où ils vivent

L’auteur fait la description de la pension Vaucquer où habite le père goriot. La tonalité est pathétique parce que Balzac montre la déchéance humaine. Comment va-t-il procéder pour décrire à la fois une triste réalité et critiquer la propriétaire ? Annonce des axes Tout d’abord Balzac fait une étude de moeurs puis un commentaire sur l’état des pensionnaires. Etude I. Une étude de moeurs : 1. Description des lieux Balzac fait une description des lieux. La description de la pension se fait de

devrait suffire pour s’en sortir. I- Un portrait réaliste a. L’harmonie d l’individu et du milieu - Pas de plan précis dans la description (pas d’ordre visage/corps…) - Idée du déterminisme : une personne est en relation avec son milieu (citer : «  sa personne explique la pension comme la pension implique sa personne »). b. Un personnage repoussant - apparence physique (« grassouillette ») + contraste avec la légèreté du chat

souvent chez l’auteur, le roman s’ouvre avec une longue description ; on pourrait presque parler d’inventaire. Le cadre dans lequel va se dérouler le récit, une pension de famille, est décrit avec minutie, ce qui donne une impression de réalisme. Au-delà de cette volonté de coller à la réalité, il y a également une volonté de dépeindre personnages à travers le cadre de vie dans lequel ils évoluent. Ainsi, Balzac commence par une description du quartier. Tout est fait pour produire une impression

de la soirée précédente, en s'exprimant avec la confiance de l'intimité. Ces sept pensionnaires étaient les enfants gâtés de madame Vauquer, qui leur mesurait avec une précision d'astronome les soins et les égards, d'après le chiffre de leurs pensions. Une même considération affectait ces êtres rassemblés par le hasard. Les deux locataires du second ne payaient que soixante-douze francs par mois. Ce bon marché, qui ne se rencontre que dans le faubourg Saint-Marcel, entre la Bourbe et la Salpêtrière