Description De Victorine Taillefer

On peut partager le livre du Père Goriot en quatre parties: la pension bourgeoise,l'entrée dans le monde,trompe la mort et la mort du père. Dans la première partie il y a une très minutieuse et longue description de la pension bourgeoisie où vit la plus grande partie des personnages. L'histoire se déroule à Paris dans un quartier plutôt horrible et inconnu entre le faubourg Saint-Marceau et le quartier latin,où se trouve la maison Vauquer,une pension bourgeoise dirigée par Madame Vauquer. Ce

vous montrant le carillon de l’ordre sociale et le jeu de la machine ».  Le réalisme et les descriptions Ce qui déplait généralement aux lecteurs contemporains de Balzac, plaisait au 19 siècle. L’auteur de la comédie humaine, qualifié de romancier réaliste,était considéré comme un maitre de la description et du portrait. Il accorde une telle importance au scénario qu’il dédie plusieurs pages à la description détaillée. Au-delà de satisfaire le désir des lecteurs lointains, Balzac était payé à la

qui existent entre ses classes. Le Père Goriot marque une étape importante de la Comédie Humaine de Balzac (ensemble de 137 oeuvres dans lesquels, Balzac reprenait les mêmes personnages) Personnages : Le debut du roman commence par la description de la pension Vauquer, qui n'est autre que le nom de la directrice Mme Vauquer. Plusieurs pensionnaires y logent : • Eugène de Rastignac, venu à Paris pour y étudier le droit. À la maison Vauquer, il rencontre Vautrin, qui va lui proposer des

de moeurs puis un commentaire sur l’état des pensionnaires. Etude I. Une étude de moeurs : 1. Description des lieux Balzac fait une description des lieux. La description de la pension se fait de haut en bas. D’abord le « troisième étage » avec « le grenier », « la salle à dîner », « du second étage ». Puis il cite certains quartiers populaires : «  le faubourg Saint-Marcel ». 2. Description des personnages Vêtement : « redingotes problématiques », « linge élimé » « robes passé » reteinte

par sa mort, lui prouve le danger des passions. La description qui inaugure le roman apparait comme un coup de force, et utilise la technique du dévoilement progressif. Premier chapitre : « Une pension bourgeoise » A la fin de novembre 1819, au quartier Latin, plusieurs personnes vivent dans la sordide pension de Mme Vauquer, rue Neuve-Sainte-Geniève, qui nous est longuement présentée. On y trouve Melle Michonneau et M. Poiret, Victorine Taillefer, jeune fille déshéritée par son père ; Eugène de Rastignac

bourgeoisie : avec Mme Vauquer « née de Conflans », Mr de Taillefer (riche banquier), Le Père Goriot. La pension Vauquer symbolise le rassemblement des couches sociales inférieures (le peuple). En effet, dans la pension, s'entassent à la fois un ancien fonctionnaire (Poiret), une vieille fille (Mademoiselle Michonneau), une veuve (Madame Couture), un criminel (Vautrin) et une jeune fille abandonnée par son père (Mademoiselle Taillefer), Sylvie (la cuisinière), Christophe (le majordome). On peut

pas à accepter ses aides lorsque les y forcent leurs problèmes financiers.Vautrin révèle cyniquement à Rastignac les rouages de la société et les moyens de parvenir à la puissance. Il veut faire sa fortune et il le pousse à épouser Mademoiselle de Taillefer, dont il s’arrange pour faire tuer le frère en duel afin de lui rendre la disposition d’un riche héritage. Rastignac refuse de suivre Vautrin dans cette affaire criminelle. Il s’engage dans une relation amoureuse avec Delphine. Une enquête révèle

malveillant et manipulateur contrairement à Jean Valjean. C) La "Mère" Vauquer : Madame Vauquer est la patronne de la pension Vauquer qui est une pension parisienne réputé, elle est malhonnête et malsaine ont a des le début du livre une description très péjorative et dévalorisante fait pas Balzac. Madame Vauquer, affirme à la fin du roman qu’elle est mal intentionné et sans cœur, en volant le pendentif du père Goriot mort, contenant des cheveux de ses filles, parce que il contient un fil d’or

monde et sur Anastasie, les soupirs de Goriot qui dénature la forme de ses objets en vermeil, les allées et venues de Vautrin. La deuxième journée voit le lever de Mme Vauquer troublé, le retour de Vautrin, de Goriot, de Mme Couture accompagnée de Victorine et celui de Rastignac. Après le déjeuner Poiret et Mlle Michonneau se promènent au Jardin des Plantes. Ensuite, le dîner. La troisième journée voit la visite de Rastignac chez Mme de Restaud, puis celle chez Mme de Beauséant. Ensuite le dîner à la

sacrifier corps et âme pour ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen, toutes deux mariées à des hommes de « premier rang ». Cette pension est organisée de manière à ce que les premiers appartements, où logent Madame Couture et Victorine Taillefer, sont les meilleurs appartements, tandis que les appartements du haut où logent le père Goriot et mademoiselle Michonneau sont les plus misérables. Le livre raconte les faits de tous ses personnages, leurs histoires étant reliées grâce à Eugène