Description De Yonville

plus belles de l'islam - et de palais les plus somptueux qui aient jamais été construits. De fait, le plus célčbre roman de Flaubert, "Madame Bovary", se passe presque tout entier au fin fond de la Normandie, dans l'insignifiante petite ville de Yonville-L'abbaye. Par ailleurs, la grande fresque romanesque du XIXčme sičcle qu'est la Comédie humaine de Balzac présente nombre d'histoires situées dans des lieux semblables, telles celles du "Médecin de campagne" ou de "La rabouilleuse". Plus prčs

pleinement ce que c’était et qui répondit aux désirs confus et puissants du public. Madame Bovary donne expression de la vie elle-même, à la fois dans sa complexité et dans son détail précis. On a cent fois remarqué que Balzac commence par la description du décor, des lieux ou devront se mouvoir les personnages, des habitations où ils devront vivre, puis aborde les personnages eux-mêmes, les peint au repos, habits, corps, visage, physionomie, puis enfin leur donne la parole et les fait agir. Un

réaliste a plus influencé le roman et la scène que la poésie lyrique. Les auteurs réalistes ont un point commun : s'éloigner des excès romantiques.Des constantes sont aussi à noter : un style efficace, un vocabulaire précis et documenté, des descriptions qui reposent sur des recherches souvent scientifiques et savantes, une intrigue sobre, des portraits de personnages qui représentent des « types ». 1°) le théâtre La tranche de vie est l'objectif du théâtre réaliste selon lequel une pièce doit

extraconjugales contribue à engendrer une pratique régulière de l’adultère. Chez Emma Bovary, la réduction de la distance entre les lieux où se produisent ses infidélités et son domicile témoignent d’une pratique stable de son adultère : (Huchette ,Yonville - sa première relation sexuelle avec Rodolphe). La facilité de son entrée dans le domicile de son amant confère à Emma un sentiment d’accessibilité accrue, « comme si les murs, à son approche, se fussent écartés d’eux-mêmes ». Ainsi, les relations

premières représentations, de courses et de soirées, s’intéressait au début d’une chanteuse, à l’ouverture d’un magasin. Elle savait les modes nouvelles, l’adresse des bons tailleurs, les jours de Bois ou d’Opéra. Elle étudia, dans Eugène Sue, des descriptions d’ameublements ; elle lut Balzac et George Sand, y cherchant des assouvissements imaginaires pour ses convoitises personnelles. À table même, elle apportait son livre, et elle tournait les feuillets, pendant que Charles mangeait en lui parlant

indique que ces termes relèvent du langage des élèves : « un nouveau » (l.1), « dans les grands » (l.5), « le genre » (l.17). o enfin le dialogue lui-même concourt au réalisme de la scène, en donnant directement à entendre les propos échangés. La description de la casquette est aussi une convention des romans réalistes du XIXème siècle. Le réalisme tient ici à l’emploi de nombreux termes techniques (cf. supra les notes explicatives). En débutant par une scène d’école, le roman se présente comme un souvenir

l'individu entraînent une véritable révolution de la narration et de la description. La narration, qui veut rendre comte de la société dans son intégralité, se dilate par n ample espace descriptif, pris en charge par le narrateur. On recourt d'abord à la description du cadre, pour suggérer le milieu où vivent ses héros. Les détails en sont "connotateurs de mimésis" (G.Genette), devenant les signes d'une réalité profonde (v. La description de la pension Vauquer ou de la maison de Grandet). D'autres détails

premières représentations, de courses et de soirées, s'intéressait au début d'une chanteuse, à l'ouverture d'un magasin. Elle savait les modes nouvelles, l'adresse des bons tailleurs, les jours de Bois ou d'Opéra. Elle étudia, dans Eugène Sue, des descriptions d'ameublements ; elle lut Balzac et George Sand, y cherchant des assouvissements imaginaires pour ses convoitises personnelles. À table même, elle apportait son livre, et elle tournait les feuillets, pendant que Charles mangeait en lui parlant

premières représentations, de courses et de soirées, s’intéressait au début d’une chanteuse, à l’ouverture d’un magasin. Elle savait les modes nouvelles, l’adresse des bons tailleurs, les jours de Bois ou d’Opéra. Elle étudia, dans Eugène Sue, des descriptions d’ameublements ; elle lut Balzac et George Sand, y cherchant des assouvissements imaginaires pour ses convoitises personnelles. À table même, elle apportait son livre, et elle tournait les feuillets, pendant que Charles mangeait en lui parlant

la relation de Charles et de Mme Duboc. A ce moment la du livre Charles me touche, « Que va-t-il devenir ? » Je commence plus à me mettre dans l'histoire, et à m'intéresser à ce qui va se passer au fil de la lecture. Encore une fois trop de descriptions sur des choses inutiles. Je suis bien contente pour Charles qu'il va se marier avec Mlle de Rouault mais je n'ai pas aimé quand le narrateur dit : « D'autre part, la mort de sa femme ne l'avait pas mal servi », je trouve que cette phrase est quand