Description Du Pont Neuf

Introduction Le roman est un long récit, où l’auteur cherche à éveiller l’intérêt par la description des mœurs, l’analyse des caractères des personnages et la particularité des scènes. Le personnage principal est le héros ou l’antihéros et s’oppose au héros antique ou au héros du théâtre tragique. Il est loin d’avoir un destin illustre mais a des sentiments et une vie qui ressemblent plus à celle du lecteur. En effet depuis le XVII siècle, les romanciers cherchent à faire vivre des personnages proches

canotiers. Les notations descriptives du décor sont très limitées, mais préparent le drame : « La barque allait s'engager dans un petit bras, sombre et étroit, s'enfonçant entre deux îles. » Ce petit bras sombre n’est pas sans faire penser au passage du Pont-Neuf, décrit au début du roman. La violence muette de Laurent contraste avec le retard de Camille à comprendre ce qui se passe : « Il ne comprit pas ; une épouvante vague le saisit. » Le vague de l’épouvante est accentué par l’article indéfini. Ce décalage

classes sociales ; le prix des loyers augmente de telle façon que seules les classes aisées peuvent vivre dans la capitale ; la classe ouvrière est obligée de s’éloigner vers les faubourgs .Les premiers chapitre de l’œuvre nous décrivent le passage du pont Neuf, témoin d’un passé révolu emporté dans un processus de décadence irrévocable. Dans ce roman, Zola décrit les conséquences de ces transformations industrielles et sociales sur le petit peuple de Paris, petits commerçants et employés d’administrations

transformation et une transposition du remords moral ordinaire, du remords chrétien, et une sorte d’enfer retourné. Dès les premières pages, vous décrivez le passage du Pont-Neuf : je connais ce passage autant que personne et par toutes les raisons qu’un jeune homme a pu avoir d’y rôder. Eh bien ! ce n’est pas vrai, c’est fantastique de description : c’est comme la rue Soli, de Balzac. Le passage est plat, banal, laid, surtout étroit, mais il n’a pas toute cette noirceur profonde et ces teintes à la Rembrandt

temporelle : « la Bièvre » ; « Berry » ; « rue Saint-Dominique-d’Enfer » * Monsieur de Sainte Colombe : maladroit a la chasse ; enseigne le viol* a Londres et à Paris * Notion de janséniste* * Monsieur de Bure : précepteur * Madame Pont-carré * Monsieur Vauquelin : mort en même temps que la Madame de Sainte Colombe, Monsieur de sainte Colombe était a son chevet et n’a donc pas dis au revoir a sa femme -> expression du regret * Guignotte : la cuisinière * Devint un maitre

cheminant, tant que le jour va déclinant, et arrivent au Pont de l’Epée, après la neuvième heure, vers la soirée. Au pied du pont, qui est fort dangereux, ils descendent de leurs chevaux et voient l’onde traîtresse, rapide et bruyante, noire et épaisse, aussi laide et épouvantable que si ce fût le fleuve du diable, si périlleuse et si profonde qu’il n’est aucune chose au monde, si elle y tombait, qui ne fût engloutie, tout comme en la mer salée. Le pont qui est au travers était de tous autres différent

lieu d’enfance de Camille, Thérèse et Laurent. Il y a que le chapitre 2 qui se déroule à cet endroit. -Paris, lieu de toutes les actions à part le meurtre de Camille. 29 chapitres se déroulent au total dans cette ville (la mercerie, le passage du Pont Neuf, appartement des Raquin, chambre de Laurent, atelier de Laurent et son ami, le marchand de vin et la morgue.) -Saint Ouen, lieu du meurtre de Camille, seul le chapitre 11 en parle. Mais il y a un lien à tout ces lieux: La Seine, en effet La Seine

.................................................................................................. 5 III- PRESENTATION DU PROJET .......................................................................................................... 7 1) DESCRIPTION ..................................................................................................................................... 7 2) BUDGET PREVISIONNEL ...................................................................................

des matières : 1. Préface : p.3 2. Texte : 2.1 Alfred de Musset- Venise : Analyse + Biographie : p.4 2.2 Alfred de Musset- Madrid : Analyse + Biographie : p.7 2.3 Guillaume Apollinaire- Le Pont Mirabeau : Analyse + Biographie : p.9 2.4 Paul Verlaine- Paris : Analyse + Biographie : p.12 2.5 Maurice Carême- Ville : Analyse + Biographie : p.14 2.6 Emile Verhaeren- Londres : Analyse + Biographie : p.16

chapitre : « Julien ne la reconnaissait plus aussi bien ; il tira sur elle un coup de pistolet et la manqua ; il tira un second coup, elle tomba. » Les points-virgules annoncent un prolongement de l’action, la virgule l’arrivé du moment de la mort et le pont final, ce que Julien croit être la mort de Mme de Rênal. On peut rapprocher ces deux coups de pistolet de Julien aux « trois coups […] (qui) annonce(nt) le commencement immédiat de la messe. » En effet, les trois coups qui