Description Paysage

dehors d' une réflexion sur le global. Le quotidien du village est envisagé à partir de la relation des habitants avec leurs biens de consommation. Ce livre s'inscrit dans la série des Terres humaines, consacrée à la paysannerie française. « Le paysage disparaît à partir du moment où on ne sait plus le nommer » : cette phrase de Pascal DIBIE traduit La prolifération des objets, la « patrimonialisation » à outrance, l’omniprésence de la voiture, l’expansion de la rurbanité, la perte des repères.

Jean-Marc Besse / Le paysage, espace sensible, espace public META: RESEARCH IN HERMENEUTICS, PHENOMENOLOGY, AND PRACTICAL PHILOSOPHY VOL. II, NO. 2 / 2010: 259-286, ISSN 2067-3655, www.metajournal.org Le paysage, espace sensible, espace public Jean-Marc Besse (EHGO/UMR Géographie-cités, CNRS/Paris I/Paris VII) Abstract The Landscape: Sensitive Space, Public Space The reflections on landscape flourished in the past few years and this shows in an increasing diversity of theories that this article

elle appartient : peinture d’histoire (avec comme sujets la mythologie, la religion, les scènes de bataille, les événements historiques), portrait/autoportrait (des monarques à des personnes célèbres en passant par de simples modèles anonymes), paysage, nature morte, scènes de genre (scènes d’intérieur telles que les repas ou scènes de rue) • Provenance et histoire de la peinture : date et circonstances de la commande et de l'exécution, histoire, origine. 2. Décrire l’œuvre : - Cette lecture

nuancée de situations extérieures, atmosphères ou paysages. Elles ont été composées durant les quelques mois d’accalmie qui suivent le retour de Mathilde auprès de Verlaine en mars 1872. Mais le flou règne dés le départ dans l’œuvre où l’identité de l’être aimé évoqué dans ces poèmes reste si incertaine qu’on a pu voir dans un même poème tantôt l’un (Mathilde) tantôt l’autre (Rimbaud). « Paysages belges » concentre l’écriture sur l’évocation de paysages. Cette partie est celle qui présente le plus la

majorité des activités y sont concentrées. Cependant ces statistiques peuvent varier car il existe 2 définitions de la ville : Morphologique : ce sont les agglomérations de plus de 2000 habitants ; bâtiments peu espacés ; la ville se voit dans le paysage. Fonctionnelle : ce sont les espaces dont dépendent les habitants pour leurs activités principales (travail, loisirs) ; aires urbaines I- Mouvement de population, urbanisation, métropolisation : les villes occupent une place de plus en plus importante

l’abandon du beau idéal et de l’imagination, de l’histoire et de la mythologie au profit de la vie moderne, quotidienne, libérée des canons d’une harmonie factice. • le refus de la hiérarchie des genres, de la ségrégation entre portrait, nu, paysage, nature morte, des conventions d’école, des règles normatives au bénéfice d’une perception directe du réel : “Il s’est donc mis courageusement en face d’un sujet, il a vu ce sujet par larges taches, par oppositions vigoureuses, et il a peint

fleuris, tantôt arides, tantôt unis, tantôt escarpés » grâce à l’utilisation d’adjectifs antithétiques. Cette multiplication des paysages, soutenue par la construction de la phrase : répétition de l’adverbe, donne le tournis au lecteur. 2.A cette variété des paysages va très vite s’ajouter celle d’immensité : « s’élargissait toujours », « s’élevaient jusqu’au ciel ». Ce paysage est alors celui de la démesure, dans laquelle la réalité du monde antérieur s’efface en un vertigineux tourbillon. En effet

Compte rendu de l’ouvrage de Michael Jakob, Le paysage. >>Présentation de l’ouvrage Michael Jakob est professeur en architecture du paysage à l'hepia (Haute école du paysage, de l'ingénierie et d'architecture de Genève). Il a publié, entres autres, chez Infolio, L'émergence du paysage (2004), Walter Brugger (2005), Paysage et temps (2007) et Le Paysage (2008). Michael Jakob s’inscrit dans une démarche d’étude d’une mode actuelle du paysage, d’une surexposition culturelle qui renverrait

     I. Dans  les  textes  officiels     BO  du  19/06/2008  :   Des  réalités  géographiques  locales  à  la  région  où  vivent  les  élèves   -­‐  les  paysages  de  village,  de  ville  ou  de  quartier,  la  circulation  des  hommes  et  des  biens,  les   principales  activités  économiques   -­‐  le  département  et  la  région

par la juxtaposition d’éléments hétéroclites (vers 8 : « journaux », « boutiques », vers 10 : « Opéra », « réclame »). Dans la description violente de cet univers, l’auteur ajoute des sensations fortes, visuelles d’abord : vers 9 « la foule », auditives ensuite : vers 9 « les éclats de voix » et tactiles enfin, suggérées par le vers 14 : « brûlé ». À cette description statique, désordonnée et violente, s’ajoute une dynamique tout aussi artificielle et frénétique. Le mode de vie des citadins est