Description Physique De Bardamu Voyage Au Bout De La Nuit

(Salamano et son chien, in L'Etranger) une identité, souvent dotée d'une onomastique à valeur symbolique : général des Entrayes, in Voyage au bout de la nuit ; banquier Saccard chez Zola, « un nom à aller au bagne ou à gagner des millions »... un passé (les Maheu dans Germinal) une situation sociale, un métier (cf. regard sociologique du XIX ème ) un aspect physique (corps et vêtements...) en référence avec des codes culturels un point de vue (restriction de champ, intériorité) une voix, un style

De manière générale, le personnage est un être de papier, un agent de l’action crée par le romancier auquel celui-ci a essayé de donner de l’épaisseur, une vraisemblance. Comment le personnage se manifeste dans le texte ? Par son nom, le portrait physique, le portrait moral et psychologique. Il va aussi se construire grâce à son discours. Statut ontologique du personnage. La fiction est opposée au réel. Le monde réel est infini alors que la fiction non, le nombre d’élément qui est donné dans

sensoriels. En décrivant des sensations perceptibles par le lecteur, l’auteur s’assure de lui faire ressentir les mêmes choses. Par exemple, Francis Ponge porte dans Le parti pris des choses une attention particulière à la description sensible de certains éléments banals. Une description qui passe par les sens, et qui crée des impressions fortes. En effet, les poèmes de Ponge sont dédiés à l’étude d’un objet spécifique, détail par détail, sens par sens, ce qui permet de donner l’impression d’être au

Geste » : action d’éclats qui est née au XI siècle. * Combat de Tristan qui est accentué. * Non description : « Nul ne vit l’âpre bataille. » * Lutte jusqu'à la mort : «  L’un de nous reviendra seul vivant d’ici. » « un cri furieux » * Détail sanglant : « épée ébréchée », « un fragment » * Doué d’une force extraordinaire, capable d’endurer toutes formes de souffrances physiques et morales. * Héros épique : représentatif de la chanson de gestes car il est fidèle à son roi.

roman ont souvent des personnalités fortes et complexes. *Personnalités hors du commun : Mme de Merteuil dans Les Liaisons dangereuses de Laclos ; ou Valmont dont le cynisme cache parfois une vraie tendresse. R : le personnage est aussi doté un physique particulier => Cf. la beauté sans pareil de la Princesse de Clèves. Ex : Félicité Rougon, que l'on retrouve dans de très nombreux romans des Rougon-Macquart, est caractérisée par son âpreté aux gains, son envie de pouvoir. L'image de cette

personnage sans qualités exceptionnelles. On pourra alors se demander si le caractère du héros est en lien avec la conception du monde proposée par le roman. Dans la première partie, on parlera d'un héros admirable par ses exploits ou par sa beauté physique et spirituelle ce qui impliquera une vision optimiste du monde. Dans la deuxième partie, on envisagera un anti-héros ou un héros médiocre par sa banalité ou sa méchanceté qui offre une vision pessimiste du monde. Enfin, dans la troisième partie on

Aucune idéalisation, aucune portée morale du roman. Si l’on excepte peut-être le fait que le roman “instruit”: il fait connaître des époques, des milieux et des conditions ignorées par le lecteur. Représenter l’ordinaire: Voyage au bout de la nuit (1932) un narrateur Bardamu et l’un de ses amis, Robinson: le parcours de toute une vie, à travers toutes les désillusions de celle-ci, et la dénonciation de toutes les monstruosités sociales: la guerre, la colonisation, l’exploitation ouvrière, la pauvreté

à des degrés divers, la souffrance : le narrateur de La Peste évoque d'abord en termes impitoyables, empruntés pour certains au vocabulaire de la médecine, précis, objectif, l'agonie de Tarrou, un des protagonistes du roman ; c'est de souffrance physique qu'il s'agit ici, comme s'il ne restait plus que le corps, livré à la torture ; mais Rieux, le médecin, expose aussi sa déchirure morale en ne voyant aucune issue positive à la peste en dépit de son extinction. La souffrance de l'enfant dans le

"personnage", c'est-à-dire un être de papier. Le "personnage" est une personne fictive dans une œuvre littéraire. L'art du romancier consiste, grâce au langage, à donner l'illusion de la vie à ces personnes fictives en leur inventant un passé, un physique, une psychologie et un nom, si bien que le lecteur éprouve pour eux, comme pour des êtres réels, de la sympathie ou de l'antipathie. 2) Ne pas confondre "personnage" et "actant" ("force agissante") Le "schéma actantiel" permet de distinguer

capable de remédier à l’injustice et à l’inégalité. A/ La moralisation du monde du travail Le XIXème siècle a été le siècle de démoralisation du monde du travail. Les ouvriers étaient confrontés à des conditions de travail inhumaines : travail de nuit, travail des enfants, promiscuité des hommes et des femmes, asservissement… Hugo insiste sur la sagesse des femmes : elles étaient des proies sexuelles tant pour les ouvriers que pour les patrons. La pauvreté incite au vol, au mensonge, à la tromperie