Description Physique Et Moral De Madame Bovary

esthétique fondée sur une recherche de la perfection, - Il se caractérise par la sobriété, le respect du raisonnable et des règles établies. - Les écrivains se font moralistes, ils font des réflexions sur les mœurs de l’Homme et donnent des leçons/morales ; - Leur style est naturel, simple. - Ils se basent sur la séparation des genres, le respect de la règle des 3 unités, (unité de temps, de lieu, d’intrigue + vraisemblance + bienséance). - Les thématiques sont le devoir, la passion, l'exercice

menteurs, fourbes et criminels dès le début du roman, exploitant sans pitié la pauvre et innocente Cosette. S’il existe des hommes d’une nature similaire dans la vraie vie, il est difficile de croire à l’existence de créatures aussi dépourvu d’intégrité morale et d’humanité. Les Thénardier restent ainsi des êtres fictifs pour le lecteur. Finalement, certains personnages sont représentatifs non pas d’individus mais de concepts, et ont donc une valeur transcendante. Ces personnages allégoriques ont pour

f): répétition immédiate d'un énoncé. Quel pauvre homme ! Quel pauvre homme ! disait-elle tout bas, en se mordant les lèvres.(Flaubert, Madame Bovary) ANADIPLOSE (n.f): répétition d'un mot en fin de proposition et au début du proposition suivante. Mais et les princes et les peuples gémissaient en vain ; en vain Monsieur, en vain le roi même tenait Madame serrée par de si étroits embrassements….(Bossuet, Oraison funèbre d'Henriette d'Angleterre) EPANADIPLOSE (n.f): répétition d'un mot en

surpassera, c'est Caro. Qui n'a pas vu les pâmoisons qui ac(1) Cité des intellectuels,p. 137. LA MANIE DES CONFÉRENCES 259 cueillaient le cours de M. Caro, ignorera toujours la gloire que peut donner un public féminin. M. Caro enseignait la morale, la philosophie, la C'était du délire. M. Bergson luimétaphysique. même n'a pas connu de pareils transports. Tout le monde n'est pas destiné à devenir l'idole des dames. Il y a des conférenciers sérieux qui cherchent le succès sans l'atteindre, et

personnnage héroique. Il mène une vie tout à fait ordinaire et n'accomplit aucun exploit. Au contraire, il commet un meurtre, ce qui est loin d'etre un acte héroique. Peu d'informations sont donnés sur le personnage, il n'a même pas de prenom, aucune description physique n'est faite de lui et on connait très peu son passé. C'est un personnage qui apparaît comme victime de la société, il n'est déterminé que par le hasar et la pulsion du moment. C'est un homme qui reste relativement neutre vis-à-vis du monde

personnnage héroique. Il mène une vie tout à fait ordinaire et n'accomplit aucun exploit. Au contraire, il commet un meurtre, ce qui est loin d'etre un acte héroique. Peu d'informations sont donnés sur le personnage, il n'a même pas de prenom, aucune description physique n'est faite de lui et on connait très peu son passé. C'est un personnage qui apparaît comme victime de la société, il n'est déterminé que par le hasar et la pulsion du moment. C'est un homme qui reste relativement neutre vis-à-vis du monde

en reproduire ou à en interpréter les traits et expressions caractéristiques », il apparaît que le portrait renvoie à la représentation. Or le portrait dans L'É.s. prend des formes particulièrement variées : pictural, physique, moral, le portrait est partout et jalonne l’œuvre. Il se traduit généralement à travers le regard du héros, Frédéric, mais peut parfois passer outre ce point de vue interne et rester neutre de toute focalisation subjective. La question qui survient

d’amour : l’amour-passion, l’amour-goût, l’amour physique et l’amour de vanité. Et il a analysé les états de l’amoureux et la naissance de l’amour, qui comprend sept phases : la plus importante est la cristallisation amoureuse, une loi psychologique qui recouvre l’objet aimé de toutes les perfections. Il voulait comprendre et analyser l’amour avant de le peindre. En effet, il fait une comparaison qui est vraiment explicative : pour donner une description précise des sentiments et des émotions, qui

désigne la modification d'un être vivant, et non, comme on l'entend communément, le penchant d'un être pour un autre. On peut distinguer différentes formes d'amour. Le sentiment amoureux qui nous fait aimer une personne pour ses qualités morales et son apparence physique n'est pas de même nature que l'amour d'une mère pour son enfant. L'amour du prochain s'étend à toute l'humanité. L'amour-propre est l'estime que l'on a pour soi-même. L'amour mystique est celui que le croyant éprouve pour Dieu. En philosophie

s’ingénie à son tour à repeindre la vie de sa société à l’instar des ses contemporains qui ont matérialisé les concepts cités précédemment par des productions romanesques, picturales, poétiques, dramaturges comme l’immortelle œuvre Madame Bovary  de G. Flaubert, le célèbre tableau Le Havre de Claude Monet ou l’Etretat de Courbet, les fleurs du Mal de Baudelaire,  les corbeaux