Description Réaliste

l’aide d’un terme comparant (comme, tel, semblable à, etc.). Emphase (féminin) : L’emphase désigne tout ce qui permet de renforcer une image, une idée. Hypotypose (féminin) : L’hypotypose est une figure qui se fonde sur l’animation d’une description et qui est destinée généralement à faire voir au lecteur quelque chose. L’hypotypose permet de se représenter une scène ou un objet. Ironie (féminin) : L’ironie est une figure très courante qui consiste à affirmer le contraire de ce que l’on

à part. Le jeune homme oppose sa fragilité, son goût pour lalecture et pour la solitude à la brutalité bornée de ses frères et de son père. Le récit d'une scène violente au cours de laquelle le père rappelle durement son autorité, conduit à une description quiconfirme les caractéristiques du personnage et les impressions du lecteur. Le portrait, qui mêle les traits habituels de Julien à ses réactions face à la situation confirme également le statut de marginalqui est le sien. C'est en cela que cette

plus pauvres. Ainsi nous serons en mesure de répondre à la problématique suivante : Quelle vision de l’humanité cette description des transports en communs est elle mise a jour ? Dans une première partie nous verrons que cette description d tramway reflète celle d'un univers concentrationnaire, puis dans une seconde partie nous affirmerons que l'image se dégageant de cette description est celle d'un monde quelque peu funeste et misérable. Phrases courtes en accumulations, asyndète

-Replique du maitre de Philosophie qui fait realiser a M.Jourdain qu'il faut commencer par le debut, c'est a dire l'apprentissage des lettres (paraphrase =$) -Description très precise de la prononciation par le maitre de Philosophie ( il dit concrètement comment prononcer un lettre=> ALLEGORIE ; un exageration dans cette description => HYPERBOLE ) -Decouverte des « voix » par M.Jourdain, qui est ébété, émerveillé par celles-ci (qui provoque ici le comique de geste) -La repetition des

constitue l'incipit, l'entrée en matière, de la nouvelle de Maupassant intitulée Hautot père et fils, publiée dans L'Écho de Paris du 5 janvier 1889. Nous allons donc considérer de quelle façon l'auteur oriente son histoire dès le début par la description d'un personnage original « demi-paysan, demi-monsieur » et l'évocation d'une activité qui pourrait bien être à l'origine d'un drame, la chasse. A cette chasse, hors le fils, vont participer deux invités : M. Bermont, le percepteur, et M. Mondaru

quant à eux, n'ont ni âge, ni identité, ni profession. Ils ne sont pas décrits à travers un portrait explicite, on a seulement la description de Bérénice mais pas d'Aurélien, et la description de Bérénice est menée par Aurélien (subjectivité) : - Lexique du regard: "il la trouva", "Elle lui déplut", "qu'il avait vue", "Il l'avait mal regardée" - On a une description subjective de Bérénice qui n'est pas très sympathique. - Une véritable argumentation sur la laideur de Bérénice: la thèse "il la trouva

- Bob Dylan - Joan Baez - François Béranger - Mouloudji - Renaud - Antoine - Léo Féré - Jean Ferrat - Les esclaves noirs Ceux qu’ on n’ entend peu -Henri Tachan -Gerard manset La chanson réaliste de 1900 à nos jours -Mayol - Frehel - Damia - Berthe sylva -Edith Piaf - Mouloudji - Pierre Perret - Georgius - juliette Greco - Pierre Perret Voir le site : «  du temps des cerises aux feuilles mortes

J’ai écrit un passage narratif+ descriptif  ( utilisation des temps du récit) | /2pts | J’ai utilisé la première personne du singulier | /1pt | J’ai fait deux paragraphes : une description + une explication | /1pt | Contenu | | Choix pertinent d’un lieu | /3pts | Description riche (utilisation d’expansion du nom...) | /3pts | Expression des sensations + des sentiments par rapport à ce souvenir | /3pts | Explication claire du choix de ce lieu | /3pts

visages. », il déconseille l'action qu'il aimerait que les jeunes fassent. 2 – Victor Hugo dénonce le vieux A – Les vieux n'ont pas grande importance Les vieux sont trop sérieux, trop sages au goût du poète, il utilise également pour la description de cette tranche d'âge d'une gradation accompagnée d'une asyndète ; au vers 11 : « Eux, ridés, épuisés, flétris, édentés, chauves ». Seulement dans cette gradation, les adjectifs sont de plus en plus péjoratifs, les mots sont forts. Au vers 13,

manger au déroulement du récit. Puis, on étudiera la façon dont le narrateur créé une complicité avec le lecteur. Quand, dans Pierre et Jean, le narrateur évoque un lieu, il ne peint que les endroits dont la connaissance importe à l’intrigue. La description se cale sur le rythme du récit pour éveiller la curiosité du lecteur. C’est le cas pour le passage descriptif du chapitre VII qui nous fait découvrir l’appartement de Jean. L’appartement de Jean est au centre de la rivalité entre les deux frères