Description Ville D Oran

I – L’œuvre en général. 1. Albert Camus : [pic] Albert Camus, né le 7 novembre 1913 à Mondovi ville algérienne en sein d’une famille avec des moyens modestes. Son père meurt en 1914, son éducation reposera sur sa mère et sa grand-mère. En 1930 il obtient son baccalauréat, il étudie alors la philosophie, mais sa santé est fragilisée à cause d’une tuberculose. En 1932, ses premiers écrits sont publié dans le Sud, deux ans plus tard il épouse Simone Hié, mais s’en sépara

d’ensb sur la ville, au moyen de trois paragraphes à l’ampleur croissante : - l. 1-6 : Indications générales sur l’ensb de l’œuvre, énoncées par une voix off qu’il faudra étudier par la suite, fct d’intrdction à la suite de cet incipit, intrdt de façon énigmatique le sujet de l’œuvre : « Les curieux événements qui ft l’objet de cette chronique », - l. 7-22 : Description de la ville, peu laudative, décrite à toutes les saisons - l. 23-fin : Description des activités dans la ville, c'est-à-dire

font partis des romans dis de l’absurde. La peste (1947) L’histoire commence en 1940 à Oran une ville d’Algérie et nous décrit un épisode de peste. Avant le commence de l’écriture du roman Camus avait mené un vrai travail de recherche sur la maladie et les derniers cas récences en Algérie. Analyse de l’extrait : L’incipit  présentation du roman : Insertion dans le réel par la localisation dans l’espace (Oran) et dans le temps. Cependant nous resterons flous au niveau de la date (1940) car il s’agit

La Peste d'Albert Camus (Guide de lecture/parcours de l’œuvre pour cibler certains de ses enjeux) I Composition L’œuvre évoque une épidémie de peste qui aurait sévi à Oran « en 194. ». Le lecteur suit l'apparition et la progression de la maladie jour après jour. Le récit est pris en charge par un narrateur extérieur qui confie avoir été témoin des événements qu'il raconte : la deuxième personne du pluriel prend parfois le relais de la troisième personne du singulier. L'identité du narrateur n'est

toujours décidé à quitter Oran et il est de nouveau entré en contact avec Gonzalès (corruptibles) qui a informé Louis qui pourrait aider Rambert. Rambert hésite beaucoup entre deux possibilités : 1. Quitter Oran pour retrouver la femme de sa vie, 2. Rester à Oran pour apporter son aide aux formations sanitaires. Il en va jusqu’à s’enivrer à cause de ce dilemme  qui occupe sa pensé. P.106 Rieux avertit gentiment Rambert que le juge Othon est au courant de ses tentatives pour fuir Oran et il lui conseil de

introduit dans la cité'" (cité: état civilisé) d'Oran, préfecture française de la côte algérienne. On remarque qu'il y a une saison mais pas de temps, pas de dates précises malgré le fait que c'est une chronique. C'est une ville moderne de commerce, ce qui est bien naturel car Oran a un port. Le narrateur nous apprend les loisirs comme le cinéma, les bains de mer, boule et les cercles. Les habitants sont perdus dans les habitudes. Le narrateur ne se présente pas. On ne découvre qu'à la fin qu'il s'agit

du latin male habitus, qui signifie mal disposé. A ce juste titre, Oran peut être déjà considéré comme une ville malade. Car, la maladie, lorsqu’elle galope à l’assaut d’un être humain, le dépouille de toute sa force, sa vitalité, sa grâce et son élégance naturelle avant de le mettre dans un état d’apathie et d’inertie insoutenables. Or, «  la cité elle-même, on doit l’avouer, est laide… comment faire imaginer, par exemple, une ville sans pigeons, sans arbres et sans jardins, où l’on ne rencontre ni

Auteur : Albert Camus * Edition : Gallimard (folio) * Date de publication : en 1947 * Illustration : Une ville déserte est représentée. Il y a juste un chat qui regarde vers nous. La couverture est en noir et blanc. On distingue des maisons en arrière plan * Texte de présentation : Dans l’introduction Camus nous décrit le lieu d’action, Oran. Oran est une ville commune dans laquelle ne vivent que des personnes quotidiennes qui ne donnent aucun sens à leur vie. Tout à coup le médecin

l'Occupation et aux camps de concentration nazis ? On peut comprendre que dans ce roman, Camus a présenté la ville d'Oran comme un véritable état de guerre, en décrivant le quotidien difficile des habitants. Il insiste sur la difficulté de ravitaillement, l'opposition des familles pauvres aux familles riches. Le lecteur peut avoir l'impression de vivre une situation interminable et insoluble. La description de nous écrit Camus rend l'individualisme exacerbé et le rend ordinaire. De plus

l’univers de la mer. LA mer est présentée comme un élément vivant, supérieur, puissant. On le perçoit par l’odorat, l’ouïe … (premier paragraphe) « derrière eux s’étageait la ville », « poussait vers la mer » → transition. Marque le cheminement à parcourir pour arriver à la mer (c’est le but).             Une frontière entre la ville et la mer est gardée.             Annonce de la mer : sensations odeur « senteurs », ouïe « sifflait » (l11) « entendirent » et « iode et algue » rappelle la mer.