Deshumanisation

crée par Hannah Arendt, une juive allemande qui a fui le nazisme. Dans ce document, l’auteur critique le régime totalitaire qui est fondé sur une idéologie c’est à dire les communistes et les nazis. Les trois caractéristiques du totalitarisme : déshumanisation / dévalorisation/ Première question : non 2eme quest : non 3eme quest : oui 3) Raymond Aron précise la définition du totalitarisme. Il évoque que pour établir un régime totalitaire parfait il doit répondre à plusieurs critères. Tout d’abord

chanson est écrite en neuf strophe de quatre vers chaque. La premiere stophe introduit déjà l'images des milliers de faible victimes qui se sont retrouvé dans les trains pour les camps d'extermination. Dans les deux prochains vers Ferrat exprime la déshumanisation et la perte d'indentité des personnes destiné à la mort: « ils n'etaient plus que des nombres » et « ils ne devaient jamais plus revoir un été ». La quatrième strophe est conlut par le vers « Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux » ce

cotisation pour leurs salariés mais ont une meilleure productivité et donc paient plus de cotisation à l'Etat la société : en plein chamboulement : c-à-d que aujourd'hui on constate que trop de prpgrès techniques tuent la masse des travailleurs, déshumanisation Des consommateurs : pouvoir d'achat en baisse en temps de chômage État : moins de revenus quand la population dénombre beaucoup de chômeurs. 2) point de vue des salariés : création d'emplois plus qualifiés mais mieux payés. Des entreprises :

Considérez si c’est un homme », et énumère tout ce que l’on a retiré à cet homme ou à cette femme, à savoir : -la paix, le pain, le droit de vivre, le droit de la justice, les cheveux, le nom, les souvenirs, la chaleur. -comparé à un batracien, déshumanisation. -toute l'humanité. -clôt par une malédiction, vigilance constante. Vive l'Allemagne : -hitler -il lève un drapeau avec un symbole nazi -chef de guerre, un guide, l'aigle, symbole impérial -une armée -C’est une armée en mouvement qui va déferler

dépensait en alcool comme nous le prouve cette expression à la ligne 4 : « elle buvait ». Elle fut également confronter à l’expulsion ligne 9 : « s’était décidé à l’expulser de la chambre », pour enfin se faire allouer « une niche » synonyme de déshumanisation. De plus, elle devait faire face à des humiliations de la part de son entourage ligne 5-6 : « on la chargeait des sales commissions du quartier », ligne 2-3 « acceptait les dernières avanies ». Cet entourage qui aurait pu être une aide pour Gervaise

suggérer symboliquement le silence sous lequel est enfoui ce moment douloureux qui succède à l'agonie. Cette ellipse révèle en tout cas toute la difficulté du narrateur à rendre compte de cet instant, la mort étant à la limite de l'indicible. 2. La déshumanisation de Tarrou La mort est en fait surtout évoquée par les effets qu'elle a sur le corps de Tarrou. L'homme lui-même semble à peine vivant dès le début de l'extrait et apparaît comme soumis face aux progrès de la maladie. La peste s'est emparée de

l’auteur adresse-t-il aux lecteurs sur cette société qu’il imagine dans son texte ? L’auteur dénonce : L’atomisation de cette société où les habitants, dans leur vie privée, n’ont plus de vie collective et s’isolent à leur domicile. La déshumanisation de cette société où les habitants ne communiquent plus que dans le monde virtuel de la télévision et n’ont quasiment plus de contacts directs entre eux. L’uniformisation de cette société où l’écrasante majorité des personnes vit exactement de

Ligne 10 – oxymore (procédé interposant deux mots contraire) – libertinage selon Dom Juan = obtenir toutes sortes de sentiments à leurs apogée + souffrance appartient à sensualité d’après personnage principal. Ligne 1 – objet – substantif – déshumanisation de la femme = Dom Juan considère les femmes comme des « objets ». Ligne 17 – substantif – libertin = séducteur qui n’apprécie pas la constance Ligne 15 – hyperbole avec utilisation de nombre cardinaux – démesure de l’amour selon le libertin

ces vieilles, tandis que le rébus introduit un mystère à déchiffrer comme si les petites vieilles renfermaient elles-même un mystère. Au vers suivant, la déshumanisation continue puisque les petites vieilles sont « tout pareil à des marionnettes » (v.13) : d’animal, elles deviennent des choses : on a une gradation dans la déshumanisation. Baudelaire attire le regard sur la souffrance de ces femmes, leur accablement, avec la comparaison à des « animaux blessés » (v.14) ou incapables de maîtriser

de la deuxième vague, il montre que les prisonniers sont déshumanisés. Il le montre par le biais la de la perte de liberté qui est continuellement contrôlé par les S.S. Ce contrôle est absolu, de vie ou de mort. Dans Si c’est un homme, la déshumanisation est aussi montrée par la perte d’indenté. Elle est traduite par la numérotation des prisonniers pour leur identification. De cette façon ceux-ci sont comme des numéros de série et non des humains. Quelques soit disant numéros ont survécu aux