Deshumanisation

du livre : Primo Levi revenu du camp d'Auschwitz où il a survécu pendant un an explique à partir de son quotidien dans le camp, la lutte et l'organisation pour la survie des prisonniers. Tout au long de ce récit, il montre les horreurs de la déshumanisation des camps d'extermination. De son récit se dégagent l'humiliation, la perte de la dignité humaine que les nazis ont fait subir aux juifs, le froid, la faim, le désintérêt complet des prisonniers pour les plus faibles qu'eux, la solidarité étant

« terribles » / « singuliers » : Adjectifs durs, excessifs, qui rabaissent les aveugles Dès la 1ère partie il y a une atmosphère sombre et dans le spleen b) Les comparaisons « Pareils aux mannequins » / « Singuliers comme les somnambules » : Déshumanisation : « mannequin » -> objet « somnambules -> corps sans esprit « singulier » -> anormalité c) Les périphrases « globes ténébreux » : Représente les yeux des aveugles Renforcement de l’atmosphère sombre et du spleen avec « ténébreux » Les aveugles

lexical de la peur _mort _champ lexical du bruit→ chaos; scène d'apocalypse _champ lexical du corps (lié à celui de la peur): fin du texte : métonymie : l'homme réduit à un « tas »→ homme déshumanisé _on passe de « je » à « on et à un « tas »→ déshumanisation Doc.2 _définition juridique de la guerre :conflit international, non international→ concept, abstrait _définition par le témoignage→ le vécu, l'humain, connaissance concrète _douleur, destruction _absurdité de la guerre Doc. 3 _guerre

avant que Dieu ne lui insuffle la vie, cela signifie que l’auteur à l’impression en le regardant que la vie, ou tout du moins l’envie de vivre l’a quitté. A cela s’oppose l’envie qui l’animait quand il avait rencontré sa femme. Le processus de déshumanisation de l’homme et de la femme est accentué par le retour en arrière que fait l’auteur en imaginant une jeunesse heureuse qu’aurais eu le couple et en particulier le jeu de séduction qui les amené à se marier. Grace à l’ellipse qu’il fait en passant

l’histoire, le travail tient-il un rôle dans cette transformation ? • Rendre « plus humain » implique-t-il qu’il y ait humanité sans ou avant le travail ? •« PIÈGES À ÉVITER • Ne pas se contenter d’énumérer des situations indiquant la déshumanisation par les conditions de travail : échantillonnage insignifiant. • Ne pas se contenter de rappeler que la notion philosophique de travail est synonyme d’humanisation : ce qui est questionné est un « plus humain ». • Ne pas confondre « travail

expression de la tragédie * Gradation des verbes décrivant la mort de Gervaise « dégringolait, mourrait, claquait » jusqu’à « creva » / gradation dans l’action * Gradation dans le niveau de langue : « crever » s’applique aux animaux / deshumanisation de Gervaise La niche : passe de l’homme à l’animal * Champ lexical de la misère mêlé au champ lexical de la mort * « sale, dégoutant, gâté, misère… »/ « mourir, claquer, crever… » ancre le texte dans le registre tragique Mais pourtant

l’expression « toucher le fond » pour montrer les souffrances morales et physiques ainsi que la lente descente en enfer des détenus. Dans le titre, l’auteur fait allusion au fait que les camps de concentrations sont des lieux de deshumanisation pour les juifs mais aussi pour les nazis car les traitements qu’ils infligent sont inhumains. Conclusion : Ce récit autobiographique interpelle le lecteur en faisant appel à la réflexion : il s’agit de restaurer les valeurs humaines qui

lui résister. La mort de Smith veut dire : de toute façon, tout le monde sera exécuté un jour ou l'autre. Citations :« Nous détruisons chaque jour des mots, des vingtaines de mots, des centaines de mots. Nous taillons le langage jusqu'à l'os » déshumanisation« Nous abolirons l'orgasme (...) Il n'y aura plus de loyauté qu'envers le Parti, il n'y aura plus d'amour que l'amour éprouvé pour Big Brother. Il n'y aura plus de rire que le rire de triomphe provoqué par la défaite d'un ennemi. Il n'y aura ni

de l’indicatif --> procès présenté comme vrai par le locuteur, observation d’une situation « en direct », se référant à une réalité immédiate. La déshumanisation, la mise en "objet" des êtres vivants - Mobilier du café renvoie au quotidien, à l’ordinaire. D’emblée, on découvre un personnage qui n’a pas d’identité (« le patron »). Déshumanisation progressive du personnage tout au long de cet incipit. - Rythme ample et régulier de la première phrase, cadence ternaire (10/10/10), une certaine

sont que des machines : ils produisent toujours le même geste régulier, la même musique. La déshumanisation est totale. Seul l’or noir compte. Lorsque le pétrole a été découvert, on assiste à une sacralisation de cette denrée. En effet, le personnage principal, qui est aussi père, baptise son fils avec du pétrole en lui en mettant sur le front. Cette image est très symbolique et appuie la déshumanisation ainsi que l’animalité des hommes. Cette obsession des hommes pour le pétrole devient dangereuse