Despote

Les personnages perdent dès lors toute profondeur psychologique, leurs agissements et leurs paroles étant « dictés » par Caligula (le terme apparaît dans le texte) : les personnages de cette pièce ne sont que des pages blanches sur lesquelles le despote romain écrit l’histoire sanglante de ces fantasmes sanguinaires C/ Un personnage de l’extrême sa vulgarité et sa grossièreté : voir le chapeau du texte, le caractère grossier et vulgaire qu’il adopte dans son repas, mais également dans ses répliques

L'Europe des despotes éclairés Le despotisme éclairé est instauré dans la seconde moitié du XVIIIes., dans plusieurs États européens, en particulier en Prusse par Frédéric II, dans les États autrichiens par Marie-Thérèse et Joseph II, en Russie par Catherine II, en Espagne par Charles III, en Suède par Gustave III. Disciples des philosophes, ces souverains œuvrent, pour le bien de l'État et le bonheur de leurs sujets, dans le sens du progrès et conformément à la pensée des Lumières. Ils améliorent

détiendrait son pouvoir de Dieux, mais qu’il doit être élu et choisi par le peuple et que ce n’est qu’à ce moment que l’on aurait un gouvernement légitime. La légitimité vient du peuple et non de Dieu, car la population ne doit pas être soumise à un chef despote et donc le chef souverain doit en retour respecter la population, car il s’agit d’un être humain comme tous. Question 3 : Le régime politique d’une société considérée comme harmonieuse sous l’Ancien Régime était constitué de la manière suivante :

Des « Moubarak doit partir ! » et des « Dehors Hosni ! » fusaient à travers l’air lourd de reproches. « À mort le dictateur ! » criait aussi la foule, dardant ses poings vengeurs en direction des soldats chargés de garder le quartier général du despote. Celui-ci s’y terrait comme une taupe, fuyant peureusement le courroux de son peuple. Apparemment, le tiran voyait encore une chance de s’en sortir en faisant peur aux révolutionnaires car il envoya au dessus de l’attroupement des oiseaux d’un métal

dévasta la forêt ») pour qualifier les actions du singe. Par ailleurs, l’évocation du grincement des dents, des « affreux rugissements », de « l’antre », des « ossements » et du « carnage » finissent de brosser le portrait monstrueux et diabolique du despote. Le verbe « s’embusqua » et l’évocation des « épines » et des « bois » le montrent comme un voleur, fourbe et traître. Pour Hugo, Napoléon n’a pas la carrure de ses ambitions et n’est pas apte à gouverner : c’est pourquoi il utilise la métaphore

Rousseau, etudes des différents régimes à travers l’histoire. · L’Etat est celui qui détient la force -> dispositif de police, monopole de la violence légitime· La justice est exercé par les meilleurs : études longues et complexes, relier à l’idée de despote éclairé de Rousseau.· Une loi qui est légitime car elle s’adapte, elle représente la volonté du peuple. Ajd le parlement qui met en place la loi est elu par le peuple -> la loi est la volonté de tous, Rousseau· Présence de sanction Nécessité du

confusion –un bruit symbolique pour Octave Mouret : « l’or sonnait dans les caisses ». Pour ce propriétaire, en effet, seul compte le profit, et sa cupidité, qui ne s’embarrasse d’aucun scrupule moral (« il régnait sur toutes avec la brutalité d’un despote, dont le caprice ruinait des ménages »), semble ne pas connaître de bornes. Au-delà de l’évocation d’une foule en délire, c’est en fait le caractère d’un individu que nous révèle Zola. En la personne d’Octave Mouret, il nous trace le portrait d’un

lectures : 1° Les actes de paroles et les symboles : les armes utilisées contre le Comte. A) La flatterie B) Le rôle des symboles 2° Le Comte, personnage prisonnier de ses masques A) Un homme pris au piège de son image de despote éclairé. B) Un homme pris au piège de son rôle de chevalier galant. PARTIE 1 : LES ARMES UTILISEES CONTRE LE COMTE PAR FIGARO : Figaro est un simple valet qui ne peut pas lutter à armes égales contre le Comte. Il organise alors une

citoyens ! Etc. III Quoi ! Des cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers ! Quoi ! Des phalanges mercenaires Terrasseraient nos fiers guerriers ! (Bis) Dieu ! Nos mains seraient enchaînées ! Nos fronts sous le joug se ploieraient ! De vils despotes deviendraient Les maîtres de nos destinées ! Aux armes, citoyens ! Etc. IV Tremblez, tyrans et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis ! Tremblez ! Vos projets parricides Vont enfin recevoir leur prix. (Bis) Tout est soldat pour vous combattre

qui maintient le peuple dans la crédulité, dans l’ignorance à travers les rites ( ces derniers empêchent de réfléchir sur la question fondamentale ). Le peuple ne peut pas se révolter. Seule la Lumière peut éclairer Peuple Z., le ministre d’un despote éclairé  Les tâches de Z., premier vizir.  Il doit s’acquitter de tâches habituelles, générales qu’il expédie. Voltaire souligne le fait que ce qui est mis de côté par Z. occupe les monarques durant toutes leurs journées. Des affaires sans réels