Destruction Créatrice

VA brute/ Capital fixe brut B- Le progrès technique Entraine une augmentation des gains de productivité et des biens de meilleure qualité. La notion d’innovation renvoi à celle d’invention. Selon Schumpeter, elle renvoi à l’expression de destruction créatrice C- Les effets économiques du progrès technique Cela peut entrainer l’apparition de monopole temporaire ou la création de barrière à l’entre de nouveaux conçurent. Au niveau mondial certaine innovation entraine des suppression d’emploie mais

progrès technique entraîne un processus de « destruction créatrice » : - une phase de croissance de l’activité économique : les nouvelles innovations permettent une relance de l’activité économique (phase créatrice d’emplois) - une phase de dépression : au bout d’un certain temps, les innovations chassent les entreprises peu performantes dépassées : la dépression arrive avant que de nouvelles innovations apparaissent (phase de destruction d’emplois ) Actualité et limites de la

logique vertueuse et de déséquilibre). L’évolution incessante de l’économie provoque la mise en place de nouvelles structures économiques qui imposent les nouvelles et suppriment les anciennes, c’est la destruction créatrice. La destruction créatrice se définit comme un processus de destructions d’activités anciennes et de création d’activités nouvelles dû aux innovations. Le capitalisme a un caractère évolutionniste, il se singularise par des transformations structurelles initiées par l’innovation

où le taux de marge s’élève trop fortement, le pouvoir d’achat des salariés stagne et ne permet pas à la production de trouver des débouchés. o Une bonne gestion des effets négatifs du PT Présenter l’analyse de Schumpeter de la destruction créatrice (le remplacement du « vieux par le neuf » : si le PT est à la source de nouveaux emplois, nouvelles qualifications, nouvelles productions... il fait aussi disparaître les anciennes. Au niveau microéconomique, cela se traduit par la substitution

réponse aux attentes des consommateurs. Elle vise à obtenir un avantage compétitif en satisfaisant les besoins du marché. L'impact qu'ont les innovations dans nos sociétés s'inscrit dans la théorie de l'économiste allemand Schumpeter de "destruction créatrice" où chaque innovation fait place à de nouvelles découvertes et créant ainsi de nouveaux besoins et détruisant les anciens. Une invention est d'abord une méthode, une technique, un moyen nouveau par lequel il est possible de résoudre un problème

bien que le progrès technique permet plus de croissance et plus de développement que le PNUD définit comme l'élargissement de l'éventail des possibilités offertes à l'homme. B) Ces faits sont expliqués par ce que J. Schumpeter appelle la « destruction créatrice ». L'innovation génère un développement d'activités nouvelles, surtout si elle est une innovation majeure, c'est à dire qu'elle a des conséquences dans l'ensemble de l'économie. L'innovation permet à l'entreprise de réduire la concurrence en

Le progrès technique a tendance à améliorer la productivité du capital en rendant les équipements plus productifs. Il accélère l’obsolescence des équipements déjà présents dans l’entreprise. C’est ce que le Document 4 p 99 appelait «  la destruction créatrice » Le progrès technique est l’un des facteur essentiel de la croissance économique a long terme. D’après les économistes le progrès technique expliquerait plus ½ de croissance depuis 1945. 2.3- L’explication de la croissance par Schumpeter :

second temps l’innovation est suivie d’une phase de dépression ou les entreprises monopolisant l’innovation « chassent » les entreprises dépassés. Les conséquences sont une perte d’emploi importante dans l’économie. Joseph Schumpeter parle de « destruction créatrice ». Ces cycles marquent l’histoire économique depuis la première révolution industrielle jusqu'à aujourd’hui, ils prennent concrètement forme après la grande dépression. D’un système capitaliste concurrentiel a un capitalisme monopolistique :

sans succès disparaissent. Si cette concurrence destructrice entraîne du gaspillage (obsolescence de machines, destruction d’emplois, déclassement d’activités et autres jugées improductives), il s’agit en fait d’une « destruction créatrice » qui génère la croissance en renouvelant les structures économiques. 2) L’entrepreneur et l’investissement au cœur de la « destruction créatrice »   L’entrepreneur est l’agent économique grâce auquel les innovations alimentent la croissance. C’est un innovateur

s'interroger sur les conditions qui font que les progrès technique est source de croissance. Mais l'impact du progrès technique sur la croissance, s'il est largement positif, comporte également des aspects négatifs : c'est le principe de la destruction créatrice de Schumpeter. Le plus simple était ici de reprendre une structuration classique : effets sur l'offre / effets sur la demande. Le raisonnement est peu éloigné de l'impact de l'investissement sur la croissance économique, dans la mesure où le