Destruction de la couche d'ozone

CFC dans l’atmosphère a ainsi augmenté de 4 %. Leur pouvoir d’absorption des rayons infrarouges étant 16 000 fois plus important que Celui du CO2, ils ont contribué à renforcer l’effet de serre. Comme ils contribuent par ailleurs à la destruction de la couche d'ozone, on en a interdit l’usage à partir de 1990. Au total, les concentrations actuelles en GES dans l’atmosphère sont aujourd’hui nettement plus élevées qu'elles ne l'ont jamais été lors des 650 000 dernières années (on connaît la composition

forestière sont quasi inexistantes. III.3.1 La biodiversité Les taux de prélèvement de l'essence la plus abondante (Okoumé) sont de l'ordre 1,5 pied/hectare, ce qui occasionne des dommages directs et indirects sur l'écosystème avec la destruction de 10 à 20 % de la canopée (WHITE, 1994). Il est à noter que certaines sociétés attributaires de permis forestiers ont recouru à l'idée de faire des gains importants surtout après la dévaluation du Franc CFA en 1994, et cette course à l'augmentation

primaires (dégradation des terres ou épuisement des ressources aquatiques et halieutiques). Ce sont généralement les plus pauvres qui sont d’abord touchés par ces dégradations. ➢ La croissance s’accompagne de destructions irréversibles car toute production et toute consommation est destruction de richesses : L’épuisement des richesses naturelles. La fin du pétrole est annoncée pour le XXIe siècle. Le poisson est en train de disparaître. La terre et de l’eau s’épuisent (salinisation des terres, insuffisance

frustrations générées auprès des populations exclues de cette abondance, que ce soit dans les couches populaires ou dans les pays du Sud. Les partisans de la décroissance affirment que « le type de développement économique actuel s'oppose aux valeurs humaines et ne tient pas compte du fait que la Terre est limitée aussi bien dans ses ressources naturelles que dans sa capacité à supporter la destruction de son biotope (résilience). ». La décroissance soutenable n'est pas une fin en soi : c'est un

3) Au niveau local Conclusion Bibliographie Introduction : Les dérèglements du climat, la destruction des écosystèmes, la raréfaction des ressources en eau menacent la poursuite de la vie sur Terre. Dans le même temps, nos sociétés s’interrogent sur une dynamique économique porteuse d’exclusions et d’inégalités que plus personne ne semble à même

dans l'hydrosphère, à faible profondeur, dans la zone photique. Des êtres pluricellulaires sont ensuite apparus et ont pu coloniser également les zones benthiques. La vie terrestre s'est développée plus tardivement, après que se soit formée la couche d'ozone protégeant les êtres vivants des rayons ultraviolets. Les espèces terrestres vont d'autant plus se diversifier que les continents vont se fragmenter, ou au contraire se réunir. Biosphère et biodiversité sont indissociables, caractéristiques de

cellules de citrons, verts lorsqu'ils ne sont pas mûrs, se transforment en chromoplastes et les citrons mûrs paraissent jaunes; lorsque, à l'automne, les feuilles des ormes, des bouleaux ou des peupliers voient dans chacune de leurs cellules la destruction de la chlorophylle et l'accumulation de caroténoïdes, leur couleur estivale verte passe par tous les tons des jaunes et des orange. Divers fruits d'agrumes, Rutaceae. A=1 pamplemousse=pomelo Citrus maxima (=Citrus grandis). B=4 mandarines Satsuma

notamment utilisé en froid industriel dans les entrepôts frigorifiques (abattoirs, fabricants de produits surgelés). Le principal avantage de ce fluide est d’être neutre d’un point de vue environnemental. Contrairement au CFC, il ne détruit pas la couche d’ozone et ne contribue pas à l’effet de serre. Son fort rendement calorifique, sa faible puissance absorbée et enfin son faible coût en font un gaz intéressant du point de vue économique néanmoins les installations utilisant ce fluide ont un cout plus

commerciales : règles de chasse des phoques (1893) des baleines (1931), protection de la fourrure des phoques (07/02/1911) • Distinction entre espèces « utiles » et « nuisibles » : protection des oiseaux insectivores utiles à l’agriculture et destruction autorisée des rapaces (Convention de Paris, 1902) 1930-1968 : premiers accords internationaux de protection de l’environnement • 11 mars 1941, Fonderie de Trail (Etats-Unis c. Canada) : reconnaissance du principe où un Etat n’a pas le droit

aux animaux, ils ne dépendent pas directement du sol, mais ils se nourrissent pour la plupart de plantes. Deux couches principales composent le sol : 1. Terre végétale (matières organiques) 2. Sous-sol (minéraux) I. Chimie de sol 1. Définition de sol : Le sol peut être défini comme la couche supérieure de la croûte terrestre composée de particules minérales, de matière organique, d’eau, d’air et d’organismes