Destruction De La Nature

public. C’est un lieu où la nature est sous contrôle, elle est dominée puisqu’elle est cloisonnée. Dans cet espace compartimenté, le public ressent un sentiment de supériorité sur la nature captive où peut s’affirmer sa volonté et sa satisfaction de vaincre le sauvage. La séparation physique (le grillage) entre le public et l’animal incarne la frontière entre la sauvagerie et la civilisation. Le zoo devient le symbole le plus explicite de la victoire de la culture sur la nature, du civilisé sur le sauvage

plus loin en prouvant qu’ne agissant de cette façon, les conquérants ce sont nuit à eux même. En quoi la colonisation des amérindiens et la destruction de leur cultures est-elle nuisible pour les Conquérants ? Nous verrons d’abord les justifications traditionnelles de la mission colonisatrice, puis nous montrerons en quoi elle est une irremplaçable destruction de l’autre avant de démontrer qu’en détruisant l’autre le conquérant se détruit lui-même. I- Les justifications traditionnelles de

après le travail, il retourne à un mariage sans amour (symbolisé par les deux lits au lieu d’un seul, présents dans sa chambre à coucher). Grace à son amitié avec Clarisse McClellan, Montag perçoit la dureté de la société opposée aux joies de la nature auxquelles il prend rarement part. Quand Clarisse le taquine en disant qu’il n’est pas du tout amoureux, il expérimente alors une sorte d’épiphanie et se plonge dans un désespoir qui caractérise 1 alors la plupart de l’histoire. Bien qu’il

transformation de la nature en moyens d'existence, caractérise ainsi l'homme au fil de son histoire. C'est un rapport avec la nature par lequel il assure son existence en la dominant et la transformant mais aussi un rapport médiat à celle-ci, a savoir un rapport qui passe par différents moyens et procédés artificiels : la technique, qui désigne tout procédé de travail ou de production qui suppose un savoir-faire. Elle est donc le moyen par lequel l'homme transforme la nature : il s'agit du lien entre

exponentielle de la pollution de l'air dans les grandes villes, de l'eau potable et de l'environnement en général; réchauffement de la planète, début de fusion des glaces polaires, multiplication des catastrophes « naturelles »; début de destruction de la cape d'ozone; destruction à une vitesse grandissante des forêts tropicales et réduction rapide de la bio-diversité par l'extinction de milliers d'espèces; épuisement des sols, désertification; accumulation de déchets, notamment nucléaires, impossibles à gérer;

et des arbres fruitiers. La végétation est très présente, il y a beaucoup d’espèces d’arbres : Bananiers, cocotiers, manguiers, fraisiers… (Doc 1 et 5) - L'homme vit en parfaite harmonie avec la nature. Dans le doc 4, on nous donne l'impression d'une « symbiose » - Les Tahitiens trouvent dans cette nature de quoi satisfaire tous leurs besoins. (Doc 2) C. Où le temps s’arrête de couler - Le temps sur l'île ne s'écoule pas comme partout. Les rythmes saisonniers sont peu marqués : Il n’y a que

celui de la statistique, de l’histoire et de la sociologie pour traiter des problèmes économiques de son temps. Il a également tenu à expliquer les fluctuations de l’économie capitaliste. Parmi ses ouvrages les plus connus, on peut citer : - Nature et contenu principal de la théorie économique (1908) ; - L’intérêt et le cycle de la conjoncture. (1911) ; - La Théorie de l’évolution économique (1912) ; - Business Cycles (« cycles économiques, 1939) ; - Capitalisme, socialisme et démocratie

qui amène donc à Butler à asseoir sa théorie de la subversion des normes . ( la sexualité lesbienne étant déja un moyen de commencer cette subversion des normes )3. Conflit sur la façon de remédier aux normes hétérosocial : entre subversion et destruction (8-13) Dans cette partie, Judith Butler nous éclaire sur la divergence qu’elle entretient avec Monique Wittig concernant la façon de se soustraire au système hétérosocial. S’il est clair qu’elles souhaitent toutes deux en sortir ; elles n’ont pas

société ? « L’établissement du pouvoir public ne fut ni volontaire, ni forcé, il fut nécessaire, c’est-à-dire, conforme à la nature des êtres en société ; et les causes et l’origine en furent naturelles. » a dit Louis de Bonald .La formation de la société lui apparait donc naturelle, et exclut de par ce fait l’homme de sa création ; seule la nature en est à l’origine. Or la société commence là où il y a deux individus, avec un seul être, la société, politique ou non, ne peut exister.

transformé en errance est devenu en débit, laquelle à cause de la guerre et la fuite massive a changé à exode. L’exode implique la destruction massive de la personnalité d'un collectif appartenant à l'espace-temps antérieur (errance à Saint-Martin), «Ces jour-là, les derniers jours, les gens n’étaient plus les mêmes (p.63).En plus, la destruction est marqué par les changes de nature et temps : « cela ne servait à rien de regarder en arrière, tout cela avait cessé d’exister» (p.93). « Aujourd’hui, c’étaient