Determination Du Salaire Chez Ricardo

consommation B. 2- La fonction d’investissement B. 3- La fonction d’emploi C. L’Investissement et l’effet du multiplicateur d’investissement SECTION 2. L’échec de la coordination spontanée et la nécessaire intervention de l’Etat A. La flexibilité des salaires ou l’aggravation de la crise B. Les politiques de relance de l’activité économique CHAPITRE I : Définition de la macro économie et rappel de ses concepts de base SECTION I : Définition et champ de la macro économie § 1. Définition de la macro

prend en charge les intérêts communs. Cette conception de l’État apparaît au siècle des Lumières, avec des penseurs tels que Jean Bodin ou Machiavel (science politique). Elle est reprise par la science économique avec les classiques (Adam Smith, Ricardo, Jean-Baptiste Say) et néo-classiques (Valras, Fridmann). Ces économistes ont une conception libérale de l'économie, qui s'est développée à partir de la révolution industrielle (fin XVIIIème début XIXème) autour de la liberté individuelle et de l'existence

économiques ayant précédé la Révolution industrielle. L’économie politique classique est ensuite abordée après un chapitre consacré à la Révolution industrielle, à travers les auteurs fondateurs de l’analyse économique moderne : Adam SMITH, David RICARDO et MALTHUS en particulier. La naissance de l’école néo-classique et les courants socialistes sont également étudiés avant d’aborder la crise de 1929 et l’analyse keynésienne. Les grands courants de l’analyse macroéconomique de la fin du 20ème siècle

Par exemple, la question de chômage est complexe. Si on prend la théorie libérale (Smith, Ricardo, J-B Say…) il est dit que si les salaires augmentent, il va y avoir une augmentation des coûts qui va entrainer une augmentation des prix, donc une baisse de la demande, puis de l’offre, donc une baisse d’embauche, ce qui va augmenter le chômage. Si on prend la théorie keynésienne, il est dit que si les salaires augmentent, la demande augmente, donc l’offre augmente, puis les embauches augmentent, ce

travail. Adam Smith ne considère que la valeur du travail est déterminée par le cout du temps de travail (Si un chasseur met 1h pour chasser un castor et 2h pour un daim alors le daim est censé couter 2 fois plus cher que le castor). L’avis de Ricardo estime que cette vision est trop réductrice et qu’il faut ajouter au cout de temps de travail, les autres couts de production. Autrement dit la valeur dépend du travail direct (cout du temps travail comme Smith auquel il faut ajouter le travail indirect

travail : ouverture au commerce avec des pays à bas salaire => production des biens importés dans les pays à bas salaire, au lieu d’être produits sur le sol national => conséquences néfastes sur le marché du travail — perte d’emplois dans les pays riches ? (Europe) — aggravation des inégalités entre travailleurs qualifiés (protégés de l’ouverture) et travailleurs non qualifiés (travaillant dans des secteurs soumis à la concurrence des pays à bas salaire) ? (Etats-Unis, faible taux de chômage) — délocalisation

Professeur : M. Silem Économie Générale & Comptabilité Nationale Lexique économique chez Dalloz L’économie politique chez Armand Colin (pages 1 à 269). L’économie contemporaine en 12 leçons chez Sirey Cours en ligne : Jean-Pierre Fitoussi, sciences politiques HEC Montréal Université de Genève HEC de Nantes pour la micro-économie Définitions : • La monnaie est une créance, c’est un équivalent général de toutes les marchandises dans une société donnée. • Le marché n’est pas un lieu

Keynes comme les Cambridge Apostles de son temps est très influencé par les Principia Ethica de George Edward Moore. Pour ce dernier, le bien ne peut être défini et seule l'intuition permet de le saisir (nous verrons plus loin la place de l'intuition chez Keynes). Cela l'amène à critiquer à la fois la tradition utilitariste issue de Jeremy Bentham qui confond plaisir et bien, et les idéalistes tels que McTaggart ou Lowes Dickinson. Dans la pensée de Moore, l'important ce sont les « états d'esprit »

faits économiques ayant précédé la Révolution industrielle. Un chapitre consacré à la Révolution industrielle, en prélude à l’étude de l’économie politique classique à travers les auteurs fondateurs de l’analyse économique moderne : Adam SMITH, David RICARDO et MALTHUS en particulier. La naissance de l’école néo-classique ainsi que les courants socialistes sont également étudiés. Puis la crise de 1929 est étudiée en prélude à l’analyse keynésienne et plus généralement la pensée économique dans l’entre-deux

L’agriculture donne les moyens de subsistance et fournit les matières premières. En fait, surtout une réaction au début du déclin de l’agriculture. L’industrie ne produit pas de « valeur », le prix de reflète qu’une quantité du travail (lien avec Marx, salaire de subsistance). Mépris pour l’industrie, jeu à somme nulle. Seuls les propriétaires terriens sont « payés » sans travailler. Mesures préconisées : Critique des mesures protectionnistes, précurseurs du libéralisme. Ce sont des normes absolues de