Déterminisme

examinés » et qui ont donc effectués un retour sur ces motifs ou causes qui nous ont fait agir. Ces personnes seraient donc prédestinées par les motifs et les actions elles-mêmes seraient prédéterminées, ces personnes seraient donc enclines au déterminisme. Cependant ils ont consentis à ces motifs, les ont choisis librement, la conscience qu’on prend des motifs de l’action implique un consentement pour les actions futures. Enfin au moment où ils ont céder au motif, ils ont exercés leur libre-arbitre

– cf: les réponses: chaque question est suivie d'une non-réponse → par hasard, comme tout le monde (1-2) = souligne la banalité, le conformisme et le déterminisme de la rencontre / que vous importe? (2-3) = une question réfutant la question / du lieu le plus prochain (3) / est-ce que l'on sait où l'on va? (4) = aucune information / le maître ne disait rien; et Jacques disait que son capitaine disait que

probablement qu’à chaque histoire, il y a des créateurs, des émetteurs, des diffuseurs, des récepteurs… Bref, je retrouve toujours ce même genre de style; pourtant plusieurs auteurs se défendent de ne pas adhérer au déterminisme historique ou encore, en ce qui nous concerne plus : au déterminisme technologique. Par exemple, Gaëtan Tremblay ayant écrit De Marshall MacLuhan à Harold Innis ou du village global à l’empire mondial, expose ses positions comme étant opposée à cette idée. Ce n’est pas en mettant

une cause", repondant a la question "Pourquoi ?", et avec la reponse theologique "Dieu est la source de toutes chose". Entre ces deux, la liberte humaine etait bien a l'etroit. * Ainsi, Hobbes et les atomistes grecs ont avance l'idee d'un determinisme strict. * Plus mesures, Platon, Spinoza, Leibniz, Kant, Bergson ont adopte un point de vue conciliateur. o Ainsi Spinoza croit a l'absence de liberte, mais plutot pour des raison pratique que theorique. Spinoza pense qu'il est preferable

que nous pensons effectuer librement ne sont que les conséquences d’une succession d’évènements. Nous suivrons les étapes du raisonnement de l’auteur qui commence par définir le principe du déterminisme, puis qui remet en cause le sentiment de liberté de l’homme. Tout d’abord, Spinoza décrit le déterminisme comme un principe rationnel : chaque chose est la conséquence d’un élément extérieur. L’élément en question est la cause de la chose. L’auteur prend donc l’exemple d’un objet inconscient,

trahison. l'état dit de société, de puissance, état actuel de l'Homme où les lois limitent la liberté. On pourrais croire à première vue que seul l'Homme nature est libre de tout. En effet un Homme gouverné par sa seul raison, en l'absence de tout déterminisme, c'est à dire de tout raisonnement de cause à effet, lui seul pourrais être libre. Il le serait s'il était seul à vivre ou si tous les Hommes pensaient et raisonnaient de la même manière. Mais l'homme nature n'obéit qu'à une seul loi : la loi du

effets resteront identiques, or si l'on voulait justifier rationnellement l'existence du destin, il faudrait y appliquer un rapport de causalité. Par là-même le destin ne répond pas au principe du déterminisme qui pourtant introduit une relation nécessaire. Par ailleurs, sans parler de réel déterminisme, la psychanalyse nous montre tout de même une détermination venue de l'enfance. En effet, selon Freud il existe un inconscient constitué de pulsion, de désir refoulé. De sorte que le ça ayant subit

se cacher derrière un déterminisme quel qu'il soit - une existence déterminée par Dieu où l'on devrait attendre la vraie vie, dans un autre monde, ou déterminisme psychologique voire fataliste qui dit que les hommes sont comme ils sont et qu'on y peut rien changer... L'homme est le seul vrai maître de ses pensées et de ses croyances, et à lui de les choisir dans une voie de totale liberté. L'existentialisme implique la liberté et le libre arbitre, contre le déterminisme matériel (NB : c'est le

que mal entre elles ». Mais en quoi ce texte révèle il les différents liens constitués entre conscience et liberté , déterminisme et matière ? Et comment Bergson interprète t il les faits? Dans la première partie du texte, Bergson décrit l'influence de la matière sur les hommes et les esprits, ce que le monde pense d'elle. Pour lui, la matière est du côté du déterminisme : il reprend d’ailleurs l’image du démon. Imaginez un démon connaissant les lois actuelles de la matière et les données

disant toute la mauvaise réponse, l’homme piégé dira pareil que le groupe par peur du regard des autres alors qu’il sait pertinemment qu’il a tord. SPINOZA pense lui aussi que l’homme n’est pas libre il dit «  l’homme n’échappe pas au déterminisme » le déterminisme est une idée selon laquelle tout ce qui se passe est l’effet nécessaire de cause antérieur. SPINOZA pense que l’homme a l’impression de choisir alors qu’il ne choisit pas réellement et que toutes nos réactions et actes sont imposé par