Détonation

on appliquait cet explosif sur un mur, la pression de l’explosion s’exercerait sur celui-ci (contrairement aux explosifs déflagrants) et entrainerait sa perforation ou sa destruction. Les explosifs brisants réalisent une détonation supersonique avec une vitesse de détonation qui dépasse les 6000m/s ce qui est bien supérieur à l’onde subsonique (entre 10 et 400m/s) réalisée par un explosif déflagrant. On réalise ce type d’explosif rarement avec de la nitroglycérine, car elle est beaucoup trop

de l’armée américaine, la CIA se tourne vers un ex-transfuge, un ingénieur atomiste russe passé à l’Ouest depuis plusieurs années. Elle demande à l’ingénieur russe de se faire passer pour un scientifique avide d’argent prêt à vendre le système de détonation de l’arme atomique à tout acheteur qui paie le plus. Dès que la CIA présente le plan de la bombe à l’ingénieur russe, sans lui expliquer que c'est un plan piégé, le transfuge russe, prenant connaissance du plan, déclara après un bref examen :

la brise de l’été, vent doux donc ici climat froid, vent de l’automne« détone » : on voit toute la polysémie à partir du mot ton/ tonalité : atone, monotone, détone : ici détoner ( avec u ou deux n ») : pas dan le ton, donc différend mais aussi détonation : bruit très fort, donc ouïe ici et la bise fait un vrai fracasNous étions seul à seule et marchions en rêvant,dans ce décor des humains : « nous » : coupleimparfait toujours« seul à seul » : « e muet », lier les deux donc former un vrai couple :

du Périgord, officier engagé dans la première guerre mondiale de 1914 à la tête d’une mission de détachement sur la Meuse chargé de détecter les sites favorables à la mise en place de ponts mobile avant l’arrivée des Allemands. Un grand bruit de détonation d’un obus, puis les graves stigmates au visage qui résument le début et la fin d’une mission débutée et interrompue en un quart de secondes. Défiguré du visage le val-de-Grâce, accueille Adrien pour cinq bonnes années le temps d’une reconstruction

qui se transforme en guerre de position. Severini, dans la logique du cubisme des "papiers collés" introduit le mot et l'onomatopée. Il glisse ainsi vers une peinture-poème. Certains des procédés peuvent paraître rudimentaires, le "bboumm" de la détonation par exemple. D'autres s'efforcent de préciser la technique elle-même, "perfection arithmétique", "rythme géométrique", "courbe graduelle vers la terre". Le tableau est à lire autant qu'à regarder, d'autant que les figures des artilleurs ne sont

narratifs : Texte 1 « l’homme passa devant lui », Texte 2 « Langlois s’avance », Texte 3 « il attendit que » « il sortit pour fumer ». Ensuite, tous ces textes racontent la mort d’un être : deux hommes et un loup. Texte 1 : la mort de M.V « grosse détonation et l’homme tomba » ; Texte 2 : la mort du loup « deux coups de pistolets dans le ventre » ; Texte 3 : la mort de Langlois « il fumait une cartouche de dynamite ». D’autre part dans ces trois textes, Langlois est le personnage principal. C’est

un tube à essais contenant 9,0 mL d’eau. On ajoute avec précaution un morceau de 12 g de calcium. On observe une effervescence et la formation d’un précipité blanc. Le gaz formé est identifié par un test à la flamme : il se produit une petite détonation. Le précipité blanc formé est de l’hydroxyde de calcium de formule : Ca(HO)2(s). Données : 1 mol de calcium pèse 40,0 g ; 1 mol d’eau pèse 18,0 g ; 1 mol de dihydrogène à l’état gazeux occupe un volume de 24 L (Dans les conditions de température

accourt. Il tombe alors sur un homme à moitié éventré par une ruade d'unardennais , ce sera le premier tué de la section d'Adrien. Le lendemain à l'aube, Adrien part pour sa mission, au moment où il repère un bon endroit pour déployer les ponts, une détonation part detout près. Il a le temps de voir ces camarades qui s'écroulent puis il sent comme une hache qui s'enfonce sous la base de son nez. Il se réveille et entend deux officiers qui parlent de son cas quisemble désastreux. Puis il retombe sans connaissance

Fabrication de PETN Le PETN est un puissant explosif utilisé dans des détonateurs car il est l'un d'un plus puissants explosifs militaires, presque comme la nitroglycérine et le RDX. Quand il est utilisé sous forme de cordon détonant, il a une vitesse de détonation d'environ 7 km/s, et il est relativement insensible aux frictions et aux chocs pour le transport. Préparation : 400 mL d'acide nitrique blanc est préparé en mélangeant un peu d'urée à de l'acide nitrique fumant, refroidi, et séché à l'air sec à

Lui, Maximon, ne parlait pas : il s’absorbait dans ses hautes pensées. Près de cet important personnage, se trouvait Duvauchelle. Quel contraste ! Duvauchelle, gros, court, entre cinquante-cinq et soixante ans, sourd à ne pas entendre la détonation de son arme, mais qui n’en réclamait que plus rageusement tous les coups douteux. Aussi lui avait-on fait tirer, plus d’une fois, un lièvre déjà mort avec un fusil non chargé – une de ces mystifications de chasseurs, qui égaient pendant six