Détonation

l'explosion la pression va s'appliquer sur le mur et le perforer, ou l'endommager. Ce sont les explosifs qui dégagent une détonation, dont la vitesse de détonation est supersonique, c'est à dire qu'elle dépasse la vitesse du son (jusqu'à 1000m/s). Une détonation est une onde de combustion extrêmement violente. Le pic de pression lorsque les gaz se détendent dans une détonation est de l'ordre de 30 à 60 fois la pression initiale. La vitesse du front d'onde est donc bien plus importante que dans le

partie, nous allons découvrir qui s’introduit chez elle et quels sont les éléments qui font monter le suspense. Au début du texte, le “je” permet de s’identifier au personnage. La pendule est un élément perturbateur. « Il me sembla entendre une détonation lointaine d’un coup de pistolet ». Cette phrase intensifie la peur de Pauline qui est peut-être celle du lecteur et le suspense. Le silence, « puis, tout étant rentré dans le silence», nous remet dans un décor calme et le temps se ralentit. Après

le 23 avril au soir. Les premières cendres tombent sur le Prêcheur. Des séismes sont ressentis. Panaches de cendres et de vapeurs, explosions, chutes de cendres, séismes sont de plus en plus fréquents jusqu'au 2 mai. Dans la nuit suivante, des détonations extrêmement fortes sont entendues. Le panache monte à plus de 4 km d'altitude. Des blocs de rochers sont projetés à plus de 2 km du sommet. Des lueurs impressionnantes zèbrent le panache. Ces signes avant-coureur inquiétants ne sont pas vraiment

voudrait déterminer le gaz qui se forme dans le tube à essai. Pour cela, on bouche le tube à essai avec un embout approprié. On présente ensuite une flamme (allumette) à l’orifice du tube à essai, au moment où l’on enlève le bouchon. Une petite détonation se produit. Elle permet de caractériser la présence d’un gaz appelé « dihydrogène ». [pic] Lorsque l’effervescence s’estompe, on souhaite savoir ce que contient la solution résiduelle (dans le tube à essai). On sépare alors la

de vues ( d’après le principe cubistes) Effrayé par les détonations des missiles, Il hurle de peur et de douleur . Il décrit l’incompréhension des habitants face à cette attaque Son pelage est rempli de caractères typographiques ressemblant etrangement a des caractères journaliers(Picasso ayant appris ce fait par voie de presse) S Le cheval Présenté sous deux angles de vues ( d’après le principe cubistes) Effrayé par les détonations des missiles, Il hurle de peur et de douleur . Il décrit

Question 2 : A quels autres types d’événements compare-t-on la catastrophe qui détruit le puits ? Emile Zola compare la catastrophe qui détruit le puits à trois événements : - Tout d’abord à la guerre, il emploie l’ « artillerie monstrueuse », « détonations ». « A la surface, les dernières constructions se culbutaient, s’écrasaient », cette phrase fait référence aux bombardements de la guerre. - Ensuite à un navire sombrant dans les abîmes lors d’un ouragan « seule la haute cheminée de trente mètres

des arbres arrachés au sommet. Les villages du Prêcheur et de Sainte-Philomène reçoivent des jets réguliers de cendres. Le 2 mai à 11 h 30, la montagne produit de fortes détonations, des tremblements de terre, et un panache noir de fumée s'élève. Des cendres recouvrent toute la partie nord de la Martinique. Les détonations se reproduisent à des intervalles de 5 à 6 heures. Le journal local Les Colonies propose de repousser indéfiniment le pique-nique, prévu à l'origine le 4. Les animaux domestiques

tombée de jour sinistre sur cette épave des tempêtes de la terre. Depuis sept heures, on était là, sans remuer, sans manger. Et, brusquement, comme les ingénieurs s'avançaient avec prudence, une suprême convulsion du sol les mit en fuite. Des détonations souterraines éclataient, toute une artillerie monstrueuse canonnant le gouffre. A la surface, les dernières constructions se culbutaient, s'écrasaient. D'abord, une sorte de tourbillon emporta les débris du criblage et de la salle de recette. Le

accomplies. Et l'idée d'émotion n'est pas présente. Le personnage principal semble si indéfferent qu'il place la «gachette» en acteur de son acte: «La gâchette a cédé» L.29. Il ne parâit qu'entendre le bruit de la détonation sans prêter attention a son acte même de tuer un humain. Seule la détonation entraîne une rupture de temps ou le temps s'arrête. De même qu'il va jusqu'à tirer quatre fois sur un «corps inerte » l'absence de conscience est révelée ici. Ainsi les différents auteurs, malgrès les epoques

nombre acceptable d’unités. Un second aspect qui milite en faveur de la foration en gros diamètre est l’utilisation des explosifs en vrac (Ammonix) dont l’emploi est fortement aisé avec des trous de gros diamètres, en plus de l’amélioration du à la détonation. ▪ B (m) : ligne de moindre résistance; ▪ Kb : constante variant de 14 à 49 avec une valeur moyenne de 30 pour un terrain de densité de 2,56 T/M3; ▪ D (m) : diamètre de foration; Trou de foration à 9’’ de diamètre