Détonation

marier. La fête bat son plein, les convives sont heureux mais vient le temps de la fin. Alors les mariés se réfugient dans leur chambre et vient le moment où ils décident de faire l'amour. Mais le mari, qui est passioné de chasse, entend plusieurs détonations et est persuadé qu'il s'agit de braconniers. Alors il décide de partir à leur rencontre et de les faire fuir. Mais il ne revient pas de la nuit et sa toute jeune femme s'inquiète. Mais heureusement, ses amis le retrouvent le matin dans les bois

les connecteurs temporels "d'abord, puis, et..." La description est évoquée à travers des images violentes qui l'assimile à la fois à une scène de guerre et à la fois de cataclysme. On remarque le champs lexical de la guerre avec les termes " détonations, artillerie, canonnant... " qui transforment la scène en un champs de bataille.

drapeaux aux couleurs rouge bleu et blanche. Tous ces gens les agitaient en direction d’une seule et même personne à la carrure élégante d’un roi qui saluait la foule. Pourtant, cet homme dans toute sa gloire semblait préoccupé. Et soudain, une détonation lointaine se fit entendre qui se suivit d’un sifflement aigu qui laissa place à un silence de mort. Il ne fallut que quelques fractions de seconde à la foule pour qu’elle comprenne. La foule paniqua… Candide et Cacambo, tout étonnés, s’approchèrent

majorité des civils. Ce 6 août 1945, à 08H15, le bombardier américain Enola Gay, un B-29 piloté par le lieutenant-colonel Paul Tibbets largue une bombe à l'uranium, baptisée "Little Boy", sur Hiroshima, l'un des centres militaires vitaux du Japon. La détonation de la bombe d'une puissance entre 13 et 16 kilotonnes a lieu à environ 600 m du sol. L'explosion, équivalente à 15.000 tonnes de TNT, rase la ville. Dans un rayon de moins d'un kilomètre, 80% des habitants meurent, figés sur un tapis de braises

Brusquement, devant nous, sur toute la largeur de la descente, de sombres flammes s'élancent en frappant l'air de détonations épouvantables. En ligne, de gauche à droite, des fusants sortent du ciel, des explosifs sortent de la terre. C'est un effroyable rideau qui nous sépare du monde, nous sépare du passé et de l'avenir. On s'arrête, plantés au sol, stupéfiés par la nuée soudaine qui tonne de toutes parts ; puis un effort simultané soulève notre masse et la rejette en avant, très vite. On trébuche

ne serait plus un spectacle, et serait peut-être même moins crédible. D’autres effets et les dialogues doivent, par contre, pour conserver leur crédibilité être absolument réalistes : Si aucun d’entre nous n’a entendu de vaisseau spatial ni de détonation nucléaire (ou si peu d’entre nous), chacun a entendu une voix humaine, la pluie tomber, une voiture démarrer, etc… Là, la créativité de l’ingénieur du son est entièrement focalisée sur le réalisme et non sur l’illusionnisme. La base de ce réalisme

Joseph disait qu'il allaient nous tuer je ne voulait pas y croire quand ils s'ont mis en place les mitrailleuses ont à lancé des :" Hé-Ho" puis quelques minutes plus tard une explosion à donné le signal ils nous ont mitraillé" 16 Heures Une détonation donne le signal , le massacre commence les hommes fusillés , les femmes et les enfants enfermés dans l'eglise se font ecraser par toutes sortes de debris lancés par les S.S sur eux, ainsi que 2 Grenades incendières , le toit de l'église s'écroule

Correction TP électrolyse de l’eau A. Etude qualitative 1. En présence d’une flamme, on observe une petite détonation dans le tube 1, mettant en évidence la présence de dihydrogène gazeux. L’incandescence qui se réanime dans le tube 2, met en évidence la présence de dioxygène gazeux. 2. Le changement de couleur du BBT qui passe du vert au : a. bleu dans le tube 1 mettant en évidence la présence d’ions hydroxyde en grande quantité. b. jaune

prend appuis, se verrouille, et porte son coup fatal. Mais le soudain déplacement de l’air fait gonfler sa robe et elle comprend ; le cliquetis de la gâchette, la poudre qui prend feu, la balle qui part, oui, elle la voit arriver, mais surtout, la détonation ; elle l’entend. Elle prend le premier tir dans le bras, et remercie son corps plus que son esprit de ses reflexes et de sa grande rapidité qui lui ont évités un trou dans la tête. Elle souffre, mais ne dit pas un mot. La première larme coule, elle

la famille des disparus. Le bras d'un enfant a été retrouvé dans les décombres, mais selon un témoin, le jeune serait toujours vivant. «J'ai vu un enfant s'enfuir sur ses deux jambes» nous raconte une femme, encore choquée par l'attentat. «La détonation et les hurlements résonnent encore dans ma tête» ajoute t-elle. Des habitants du quartier ont été grièvement blessés par des éclats de verre et de métal. Personne dans le quartier, n'est prêt à oublier le drame de cet après-midi là. Tous craignent