Dette extérieure

|- Taux de chômage : 7.60% | | |- Dette publique : 40.7% du PIB (2008) | | |- Dette extérieure : 1.687 milliards USD | | |- Dépenses publiques : 544,9 milliards

4% en 2008 : crise éco mondiale. L’AFS a subi la crise plus tard que les autres, en 2009 (-1%). Accompagnement social de la crise, ils ont dévalué leur monnaie (devient plus compétitive) et exportent plus. * 2012 : 2.6% de croissance. * Dette publique : 4% du PIB : pays qui est peu dépendant des marchés extérieurs financiers. * Des ressources importantes (mais manque d’infrastructures énergétiques) * Minerais * Platine : 1er prod. mondial * Or, diamant, argent

d'opportunité) - par la solvabilité: si le taux d'intérêt diminue, l'entreprise a moins d'intérêts à verser et donc sa situation financière s'améliore. Nota: en principe (théorème de Modigliani-Miller), si les marchés sont parfaits, ils ne regardent pas la dette mais uniquement l'investissement. Mais dans la pratique, la contrainte de solvabilité existe, du fait des exigences du prêteur (ration endettement/profit...) 3. Le prix relatif des facteurs: Une hausse du coût du travail a deux conséquences: -

notation est d'offrir une certaine clarté dans les marchés financiers concernant d'une part l'évaluation des actifs, et d'autre part la soumission des états à l'analyse de leur dette souveraine pour en dégager les risques. Il faut ici empiéter sur le plan initial de l'exposé, tout simplement parce la notation de la dette souveraine n'a pas été l'un des “services” premiers que fournissaient les agences de notation, mais que cette pratique est apparue délibérément de par la volonté de Moody's en 1918

Réception de la marchandise Contrôle de la marchandise réceptionnée Réception et contrôle de la facture Enregistrement de la dette en comptabilité Décision de payer Emission et comptabilisation des titres de paiement On peut résumer ces différentes étapes du processus d'achat dans quatre grandes phases,

fait de la partition du pays. En 2004, les dépenses d’investissement se sont chiffrées à 161 milliards. On a assisté& depuis 2002 à une accumulation des arriérés tant intérieurs qu’extérieurs. S’agissant de la dette extérieure, L’Etat a continué à apurer l’ensemble de la dette vis-à-vis du FMI et à accumuler des arriérés vis-à-vis des autres bailleurs de fonds. 3) L’évolution des secteurs sociaux et la poussée de la pauvreté L’éducation : le conflit a déstabilisé le système

Sommaire Introduction………………………………………………....p3 I) Les marchés de la dette…………………………………………………...….p4 II) Evaluation des risques……………………………………………………....p5 A) Risque de contrepartie…………………………………………………………...……p5,6 1) Risque de crédit 2) Risque de pays 3) Risque de livraison B) Risque de taux……………………………………………………………………….......p7 C) Risque de change………………………………………………………………………..p7 D) Risque de liquidité………………………………………………………………………p7 E) Value at Risk……………………………………………………………………………

l’épreuve. 59 POINTS NOTATION : en fonction des points affectés à chaque réponse QUESTION 1 – 1 POINT (notation 1 ou -1) Définir : transit communautaire interne sous T2. QUESTION 2 – 1 POINT (notation 1 ou -1) Donner une égalité pour définir la dette douanière. QUESTION 3 – 1 POINT (notation 1 ou -1) Codes internationaux des devises : donner 3 exemples en les expliquant. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

type financière. Le terme crise financière s’emploie pour désigner un ensemble assez large qui inclut notamment les crises du change, les crises bancaires et les crises boursières. Mais le terme est également utilisé pour désigner les crises de la dette publique. Une crise financière peut concerner seulement quelques pays, ou , initiée dans un pays, peut s’étendre par contagion et devenir international et ralentir ainsi l’économie mondiale. Une crise financière ne concerne dans un premier temps que

BCEAO (code monétaire : XOF), qui a cours légal dans les pays membres de l'UEMOA ; * l'application de la politique monétaire commune ; * la fixation des taux d'intérêts ; * la gestion et du contrôle des réserves de change, et de la dette extérieure ; * la législation bancaire et financière des États membres de l'Union ; * l'assistance aux États membres de l'Union dans leurs relations avec les institutions financières et monétaires internationales. Grâce à un accord monétaire