Dette extérieure

deuxième guerre du Congo prit fin avec la signature des accords de Sun City en 2002. La fin des hostilités et le retrait des troupes étrangères allaient ouvrir la voie à une aide massive permettant au pays de redécoller économiquement et de payer sa dette. Cependant, seuls quatre pays (Belgique, France, Suède, Afrique du Sud) prêtèrent 450 millions de dollars à la RDC … pour lui permettre de régulariser ses arriérés auprès du FMI. En effet, La pompe était ainsi réamorcée, et le Congo pouvait à nouveau

privatisations; - les produits des participations financières de l'Etat; - les produits financiers des placements de l'Etat; - les remboursements des prêts et avances consentis par l'Etat aux particuliers et ne relevant pas de la Dette Publique; - les commissions ou contraintes extérieures reçues. L'Agence Comptable des Créances Contentieuses est composée de quatorze (14) services: - le Service Secrétariat; - le Service Courrier; - le Service Recouvrement; - le Service Contentieux; - le Service Compte de Gestion;

En contrepartie, les pays du Tiers Monde s’engagent à des économies drastiques dans leurs dépenses publiques, à l’origine de problèmes sociaux et d’une nouvelle dépendance car leur économie est sous haute surveillance. En Afrique, en 1995, la dette extérieure de certains pays excède 100% de leur PNB. L’aide occidentale comporte des limites. Elle se heurte au défi démographique, au détournement des fonds, souvent dilapidés dans des dépenses militaires ou somptuaires. En outre, elle n’atteint pas le

société appelant à une épargne privée ou à une épargne publique, sollicite de la part des tiers un prêt. Les préteurs sont titulaires d’un droit appelé obligation. L’obligation est appelé créance si l’on se place du côté du créancier, elle est appelé dette si l’on se place du côté du débiteur. L’obligation se décompose en deux éléments : l’élément classique c’est-à-dire un lien de droit entre deux ou plusieurs personnes et l’élément moderne consiste en un élément de richesse dans le patrimoine du créancier

métalliques). Le billet tire sa valeur non de sa convertibilité mais de son pouvoir libératoire. La monnaie scripturale (inscrite sur les livres des émetteurs) est ancienne, mais accessible au public depuis peu. La lettre de change, reconnaissance de dette entre négociants, apparaît au 14ème siècle. L’escompte, apparue au 18ème siècle, est un achat de traite par la banque à son client en échange de billets ou espèces. 2. Les moyens de paiement actuel : prédominance de la monnaie scripturale. En France

E i Flux de liquidités Partenaire P t i 8 Particularité des flux de liquidités Flux monétaires : paiement et encaissement au comptant Flux fi Fl financiers : paiement et encaissement i i t t i t différés * créance (encaissement différé) * dette (paiement différé) 9 Contrat de travail Contrat d’emprunt 10 Le résultat : il traduit l'enrichissement ou l appauvrissement l'appauvrissement de l'entreprise et donc des l entreprise détenteurs des capitaux propres, par opposition

structuration complexe de la dette en dette senior, dette mezzanine, etc et l'apparition de la titrisation. 1. Financement interne Pour éviter l'endettement et le surendettement, les petites entreprises peuvent opter pour le financement interne pour assurer leurs activités. * Qu'est-ce que le financement interne ? Le financement interne ou autofinancement désigne le fait que l'entreprise subvient à ses besoins financiers. De ce fait, elle ne nécessite aucune aide extérieure et se suffit à elle-même

de l’ensemble de l’univers économique. La Compagnie des Mers du Sud naquit en 1711. Elle ressemblait, par ses origines, à la Banque Royale : elle apportait dans le même esprit une solution apparente et incontestablement bienvenue au problème de la dette publique. L’Etat lui payait 6% d’intérêt et, en retour, elle recevait le droit d’émettre des actions et d’avoir le monopole sur le commerce et le trafic maritime en direction et en provenance de l’Amérique du Sud. Or, l’Espagne revendiquait ce monopole

ont été souvent exprimés dans la deuxième partie de l'année 1995, la plupart des problèmes économiques et sociaux qui s'attachent à une dépense publique excessive n'ont malheureusement pas été soulevés à cette occasion. La nécessité de réduire la dette et les taux d'intérêt a été évoquée à juste titre, mais non les bienfaits intrinsèques d'une dépense modérée. L'idée keynésienne qu'un freinage excessif des dépenses publiques nuirait à la croissance n'a pas été abandonnée, alors même que la situation

amélioration des termes de l’échange pour la Tunisie, ont permis d’atteindre des niveaux de croissance économique élevés. Or, cette croissance était également expliquée par un volume important d’investissements, financé par un volume très élevé de la dette par rapport à la production. La hausse du dollar, l’évolution défavorable des termes de l’échange et l’amenuisement de la rente pétrolière ont contribué à la détérioration de la situation économique de la Tunisie. La troisième période de développement