Dette intérieure

fiscaux, etc.) pour influer sur la conjoncture économique. Les néoclassiques ont cependant souligné, depuis la crise consécutive au choc pétrolier de 1973, les limites de la politique budgétaire et notamment, les effets néfastes des déficits et de la dette publique. L a r éd u cti on d u déficit fiscal est donc au cœur des programmes de stabilisation et d’ajustement préconisés par le FMI et la Banque Mondiale. Pour ces deux institutions, cette réduction L est bénéfique pou r la croissance de l’économie

les valeurs des indicateurs économiques de la Grèce. Le FMI et l’OCDE fournissent notamment les données sur lesquelles portent les perspectives économiques de la Grèce : la croissance du PIB, l’inflation, le taux de chômage, le déficit public, la dette publique et la balance courante. Les données permettant l’analyse figurent ci-après. Tableau 1 : Perspectives économiques OCDE pour la Grèce    �Greece | �Variation annuelle� |   |   |   |   | �Moyenne� | Comptes nationaux (volume) | 2007

nationale, elle verrait sa devise chuter. La dette de la France, en partie détenue par des non-résidents, c'est-à-dire des personnes physiques ayant élu leur principal domicile fiscal à l'étranger, et toutes les dettes, qu'elles soient publiques ou privées, seraient ré-dénominées en monnaie nationale. Le poids de la dette pourrait ainsi augmenter de 20% et les créances des entreprises seraient alourdies, n'améliorant pas la compétitivité de ces entreprises. La dette pourrait également être mutualisée au

transforment en véritable panique bancaire et sont suivies de la mise en place d’un contrôle de change très restrictif. Le système de paiement est alors bloqué ce qui a des conséquences immédiates sur la sphère réelle. L’incapacité de remboursement de la dette publique en dollar et l’effondrement du peso qui s’en est suivi expliquent cette crise bancaire qui, elle-même, a nourri la crise de change, les déposants fuient devant la monnaie locale pour se procurer du dollar • Crise bancaire

non contraignants visant à favoriser la segmentation du marché………………………………………………………….………. 65 Interventions indirectes sur les transactions de la balance des opérations en capital par le biais des réglementations prudentielles……………… 65 Gestion de la dette publique dans les pays en développement………….. 70 Conclusion : interventions microéconomiques et autres mesures hétérodoxes…………………………………………………………….. 72 Références…………………………………………………………………. 74 V. Encadrés Encadré 1 Impact de l’inflation sur l’inégalité………………………………

mondiale, notamment dans certains des principaux pays partenaires de l'UE. Selon les prévisions, la confiance devrait peu à peu revenir au cours du second semestre 2012, grâce à la mise en œuvre des mesures adoptées pour endiguer la crise de la dette souveraine. Les consommateurs sont moins frileux qu’en 2008 et sont devenus moins pessimistes, notamment vis-à-vis de leurs perspectives d’achat. La croissance de l'emploi devrait s'arrêter en 2012. Le taux de croissance économique prévu pour 2011-2013

des principaux secteurs d’activités dans le PIB : agriculture : 3,1 % industrie : 29,9 % services : 67, % Commerce bilatéral (2013) Exportations de la France vers la Jordanie : 382 M€ Importations françaises depuis la Jordanie : 48 M€ Politique intérieure La Jordanie, par ses choix politiques et économiques, se veut un exemple de modération et de modernité au Proche-Orient. Dans un environnement régional marqué par les crises, elle s’efforce de préserver sa stabilité et son identité. Sa population

les pays en voie de développement par l'intermédiaire du problème de la dette liée à l'envolée du dollar, l'augmentation des taux d'intérêt, et la baisse du prix des matières premières après le second choc pétrolier de 1979. En 1982, la crise mexicaine fait rentrer les pays en voie de développement dans la crise de la dette. En effet, les autorités de Mexico font savoir qu'elles ne sont plus en mesure de payer la dette extérieure qui s'élève à près de $ 85M. Cette charge financière représentant

millions (5,2%) fin 2007. Du côté de l’Etat, les perspectives ne sont pas meilleures. Le déficit budgétaire a explosé. Sur l’année fiscale 2009-2010, il devrait dépasser 175 milliards de £ soit 193 milliards d’€, c'est-à-dire 12,4% du PIB. Et la dette- dont le Trésor prévoit qu’elle représentera 80% du PIB d’ici à 2014 contre moins de 40% avant la crise- s’envole. En effet, le bilan économique du Royaume-Uni est lourd. 80 milliards de £ prises sur la dépense publique (94 milliards d’€), 30 millions

Taux de chômage ( en %) Taux d'inflation (en %) Solde de la balance courante (en % du PIB) Dette publique*(en % du PIB) Prélèvements obligatoires (en % du PIB) 1.1 9 1.9 1.3 58.2 43.1 2003 1.1 9.8 2.2 0.8 62.4 42.9 2004 2 10 2.3 0.1 64.3 43.2 2005 1.2 9.8 1.9 -1.2 66.2 43.8 2006 2.1 9 1.9 -1.2 63.7 44.2 2007 2.2 8.4 1.7 -1.0 63.9 43.3 Insee, Tableaux de l'économie française, 2007 * Dette publique : dette de l'ensemble des administrations publiques économie Document 2 – Les effets attendus d'une