Deuil

êtes jeune et belle, - vous êtes faite pour vous amuser… ». Le ton de la scène 3. Les champs lexicaux dominants dans les répliques de Mme Popova sont : La mort, l’amour. Ils font échos à la première didascalie : «  Madame Popova, en grands deuil, fixant une photographie… » Elles emploie un ton triste, l’aire ému, l’envie de pleurer se ressent dans ces répliques. 4. Mme Popova veut rester « fidèle » a son mari, pour lui rendre hommage, elle se construit une carapace, pour être en quelque

Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s’ennuie Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce cœur qui s’écœure. Quoi ! Nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison. C’est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon cœur a tant de peine ! et parfois même l’envie de suicide .

désespoir, jusqu'à ce qu'on accepte finalement que l'on a tout tenté. On abandonne. On abandonne et on accepte. Le chagrin peut être une chose que l'on a en commun mais il est différent pour tout le monde. Il n'y a pas que la mort dont on fait le deuil, de la vie, d'une perte, d'un changement. Et on se demande pourquoi ça bloque autant parfois, pourquoi ça fait tant de mal mais la chose dont on doit se souvenir, c'est que ça peut changer. C'est comme ça qu'on reste en vie, quand ça fait si mal, qu'on

Barbara"-. On assiste donc à une rupture de la situation, pour annoncer la fin du poème, et la fin de la vie. Afin de briser la situation, Prévert change de registre, il passe à un registre pathétique, avec un vocabulaire de la souffrance -"abimé, deuil"-. Il décrit la ville de Brest après les bombardements et emploie un vocabulaire plus familier -"quelle connerie la guerre"-. La fin du poème et la fin de sa progression est marquée par le "rien" pour montrer l'anéantissement total de la guerre, la

honteux, de ses ténèbres ; Et soudain on entend quelqu'un dans l'infini Qui chante, et par quelqu'un on sent qu'on est béni, Sans voir la main d'où tombe à notre âme méchante L'amour, et sans savoir quelle est la voix qui chante. On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent Fondre et vivre ; et, d'extase et d'azur s'emplissant, Tout notre être frémit de la défaite étrange Du monstre qui devient dans la lumière un ange. MORS Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ. Elle

négative, donnant au texte une tonalité pathétique. Il traite de ce désespoir ressenti mentalement et physiquement avec un vocabulaire contenant de multiples termes appartenant au champ lexical de la souffrance tels que : «pleurant», «lamentant», «deuil», «mort», «regret», «malheur», «déplaisir», «larmes» et «misérables». C’est par ces expressions que l’écrivain parvient à susciter une émotion violente, parfois douloureuse chez le lecteur. En s’attardant plus longuement au vocabulaire utilisé, on

de ses ténèbres ; Et soudain on entend quelqu'un dans l'infini Qui chante, et par quelqu'un on sent qu'on est béni, Sans voir la main d'où tombe à notre âme méchante L'amour, et sans savoir quelle est la voix qui chante. On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent Fondre et vivre ; et, d'extase et d'azur s'emplissant, Tout notre être frémit de la défaite étrange Du monstre qui devient dans la lumière un ange. Victor hugo (1802-1885) Mors Je vis cette faucheuse. Elle était

semble hurler sa détresse. Tous les personnages sont tournés vers le ciel,ont la bouche ouvertes pour exprimer leur douleur et terreur. Ce tableau est peint en noir et blanc, ce qui rajoute un effet dramatique, le noir est la couleur du deuil et symbolise le deuil du peintre et des espagnols mais cela rappelle également la couleur des journaux car c'est ainsi que Picasso a pu suivre les nouvelles de son pays. A travers cette peinture, Picasso exprime sa révolte et dénonce le massacre d'innocents

sacrifier* sa jeunesse à son veuvage, démontre l'ambiguïté des sentiments liés au deuil*. La défunte reine prend plaisir du désespoir du roi et, sainte, parmi les dieux, elle n'oblige pas à des larmes le convoi funèbre présidé par son époux, un Roi-Lion triste à mourir. Le voilà consolé. Vie et mort, plaisir et désespoir, béatitude et larmes, voilà des contrastes qui sont à l'origine de l'ambivalence de la mort et du deuil qui donne à leur fréquentation un brin d'inconfort, voire même de tragédie. D'où

fait, Sainte Colombe apparaît à l’écran en train de jouer au chevet d’un de ses amis. L’opposition entre vie et mort apparaît essentiellement dans la dualité entre les deux filles : l’une choisit la vie quand l’autre s’abandonne à la mort. C’est le deuil de l’épouse qui entraîne l’enfermement dans l’art et permet la composition du Tombeau des regrets. De même, la mort de Madeleine est nécessaire pour que Marin Marais puisse donner libre cours à son génie. Les scènes de solitude font alterner des plans