Deuil

père dont l’enfant, démineur, est mort déchiqueté par l’explosion d’une mine. Il a pour scène la montagne, au-dessus de la petite station balnéaire. Les parents ont ramassé ce qui reste de leur fils dans une boite, don de l’épicier, lui-même dans le deuil de sa femme. Ils ne parviennent pas à quitter les lieux. La torpeur du chagrin nourrit l’autre, celle des vacances. La torpeur est ainsi perte de tous les repères sociaux qui organisaient ordinairement la vie de chacun des membres du groupe, et particulièrement

à valeur symbolique Symbolique des couleurs : « au bal du Grand-Balcon, dont les dix fenêtres flambantes éclairaient d’une nappe d’incendie la coulée noire des boulevards extérieurs » → Opposition rouge # noir (sang, passion, enfer, lie de vin # deuil, mort, inconnu). « il y avait un paquet de reconnaissances du mont-de-piété, d’un rose tendre » → contrepoint ironique de cette couleur Un espace clos : Gervaise vit dans un espace clos (« hôtel Boncoeur ») Elle sera enfermée entre l’abattoir (qui

de Dames qui est accusé de l'agonie de Genièvre. Dans cet extrait le Bonheur des Dames est tout le temps personnifié en un monstre, un colosse, qui est indifférent et inconscient du mal qu'il fait. Tandis que les petits commerçants portent tous le deuil, celui de Genièvre et celui de leurs commerces. I : Les commerces Avec la création des grands magasins, tel que « Au Bonheur des Dames » , s’installe une rivalité croissante et parfois dévastatrice entre ces nouveaux venus et les petits commerces

ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? 0 bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s'ennuie 0 le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce cœur qui écœure. Quoi ! nulle trahison ? ... Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon cœur a tant de peine! Résumé : Il pleure dans mon cœur est le texte III de la section intitulée "Ariettes oubliées". Une ariette est un terme de musique

« sentier solitaire » mais du fait que lui est « solitaire » : l’adjectif a été déplacé grâce à une hypallage. Le poète se réfugie, se replie à nouveau dans la nature. Il ressent en effet des sentiments contradictoires : il dit par exemple que « le deuil de la nature ; Convient à la douleur et plaît à [s]es regards ! ». Sa souffrance est alors accompagnée d’un certain plaisir comme lorsqu’il parle d’un « calice mêlé de nectar et de fiel ». Ici, il compare sa vie à un calice grâce à une métaphore. Il

de la vie société. La vieillesse est une réalité incontournable, certains tout un système dont ils se sentent de plus en plus rejetés. Même vécue progressivement, la retraite est une étape a retraite est un deuil à vivre, on passe de la vie professionnelle à celui de retraité. deuils à accomplir : Disparition des êtres chers ; Diminution de ses performances cognitives et physiologiques ; ~7~ Transformation du physique ; Baisse de la séduction. identité antérieure La représentation de la

influencé par des facteurs précipitant comme le deuil, le divorce, la perte de travail, ou encore le stress excessif. Enfin, il y existe aussi des facteurs biologiques. La survenue des symptômes de la dépression est liée à une perturbation du fonctionnement cérébral. Il y aurait une baisse de la sérotonine et de la norédraline au niveau du cerveau. La dépression peut être expliquée par deux théories : • La théorie psychanalyste où la perte d’amour (le deuil) ou le sentiment d’en être privé (blessure

familial : « deux frères ». Autre lien : « oncle Baudu ». Mention de l’organisation de la fratrie : références aux âges : « 20 + gd frère » >>>> renseignements réalistes (age, le passé, les liens familiaux) ► Phénomène d’analepse : « le deuil du père ». ► Mention du lieu : « Saint-Lazare » (l . 1), « au milieu du vaste Paris » (l. 5) >>> Réalisme = précision géographique, ici, impression de pouvoir les suivre par la précision des lieux. Toponymie riche ! Précision de la date :

et de mort qui structurent le poème aboutissent au vers 8 qui est à peu prés placé au centre du poème et est comme la mort dans ce texte qui « a rompu l'équilibre du temps » . Le temps passe très vite, il y a eu le début puis récemment et enfin le deuil. II La mort vécue comme une rupture, un basculement on voit clairement que la rupture et douloureuse du fait que tout bascule car Nusch est lumière, "aurore" d'un "beau matin de mai", elle éclaire le poète et les dix-sept années de vie commune

nature , la vie et la mort et tous les thèmes en rapport avec l'imagination. Le poème étudié Oh! je fus comme fou! est un poème en alexandrins avec des rimes plate sans forme régulière .Il retrace la mort de sa fille .Comment Victor Hugo fait-il de son deuil une douleur commune? .Tout d'abord nous pourrons voir qu'il evoque sa souffance, ensuite ses souvenirs puis qu'il impliquera les lecteurs à sa douleur . Tout d'abord ,nous voyons dans ce poème que l'auteur évoque sa souffrance .Ce dernier nous