Deuil

l’espace. Le champ sémantique de la mort (« faucheuse » (v.1), « noir squelette » (v.3), « la faulx » (v.5 et 16), « l’échafaud » 2X (v.8), « cendre » (v.10), mourir (v.12), « doigts osseux » et « noirs grabats » (v.14), « linceuls » (v.15), et « deuil » (v.18)) est très présent tout le long du poème, ce qui renforce ce caractère omniprésent. Un second aspect développé dans le poème est celui de la suprématie de la mort. En effet, l’antithèse au vers 7 : « elle changeait en désert Babylone » démontre

immense un corps pris de roideur- Je contemple d'en haut le globe en sa rondeurEt je n'y cherche plus l'abri d'une cahute. Avalanche, veux-tu m'emporter dans ta chute? Alchimie de la Douleur L'un t'éclaire avec son ardeur,L'autre en toi met son deuil, Nature!Ce qui dit à l'un: Sépulture!Dit à l'autre: Vie et splendeur! Hermès inconnu qui m'assistesEt qui toujours m'intimidas,Tu me rends l'égal de Midas,Le plus triste des alchimistes; Par toi je change l'or en ferEt le paradis en enfer;Dans le

avoir mal. Dis moi, tu restes insencible à son chagrin ou tu te forces? Je me demande aussi où sont passés ses jolis vêtements colorés. Elle ne porte plus que du noir, tu sais c'est la couleur de la tristesse, c'est connu. Elle est en deuil, ça doit être ça, en deuil de toi. Oui, c'est certainement ça, sauf que c'est elle qui parait morte. Regarde ce qu'elle est devenue, tu l'as tué tu sais.. Tu m'as tuée tu sais. Non, je ne manque nulle part, je ne laisse pas de vide. Les métros sont bondés, les

pour cette rencontre : - personnification de la rue, - concordance entre « la rue », « assourdissante », « hurlait » (contraste)     - "avec sa jambe de statue" : la beauté intérieur (morale) se joint a la beauté extérieur - "en grand deuil" qui évoque la tristesse et le malheur : la tristesse accompagne la beauté II. Les réactions du poète - il ne peut qu’être voyeur et ne peut rien faire : "paralysé", "fasciné", "médusé", souligné part le terme "crispé" au vers 6 - La comparaison

est-il mort ?), de la destruction (pluie de fer, tout est abîmé) et de la séparation. (et celui qui te serrait dans ses bras, est-il mort) C'est un poème triste avec un styleparfois familier et des figures de styles comme la métaphore : pluie de deuil, ce n'est même plus l'orage. Prévert oppose l'amour à la mort, c'est une opposition entre le positif et le négatif. Laconclusion est tragique puisque la mort l'emporte sûrement. Interprétation : L'auteur utilise ici la ville de Brest, car c'est

sont faites par des femmes Les causes : Pour les 25/34 ans : * Troubles psychiatriques * Addictions (alcoolisme) * Chômage/précarité de l’emploi * Pression professionnelle * Relâchement des liens familiaux (divorce, veuvage, deuil) * Homosexualité Pour les 15/24 ans : * Homosexualité * Transformation physique et psychologique (recherche de personnalité, mal être) * Problèmes familiaux et sociaux (inceste, divorce, violence, perte d’un parent, exclusion d’un

numéro 4 : L'Etranger, Incipit I) Incipit particulier a) Informations en moins Hormis le cadre spatio temporel qui est précis, aucune information physique et mentale n'est mentionné quant au personnage de Mersault, on sait juste que c'est un homme en deuil de sa mère. Le peu de personnages de secondaire ne sont nommés qu'à travers le personnage principal; "maman","mon patron", "Céleste", également, leur relations avec Mersault ne sont pas précisé, le lecteur se doit d'évaluer le caractère de ce dernier

strophe5:suite logique de la précedente mais avec une distance marquée par le tiret et la prise de conscience de l echec en 3 étapes -l ame en deuil :image du cortège funebre rythme lent,régulier -defaite de l espoir,desespoir irremédiable.(majuscule a espoir :valeur allegorique)

en autre, les mot « au-delà » (p.10 v.37), « le vrai soleil » (l.10 v.38). La citation ; « Sur la terre d’exil, pourquoi resté-je encore ?» (p.10, v.47) démontre qu’il veut probablement quitter la terre. « Le soir » : Le personnage semble être en deuil d’un être chère, il est épuiser et énormément attristé. ; « tombeau » « abattu » « cœur fatiguer » « Le vallon » : Il attend la mort ,veux le calme après une vie tourmenter et il découvre avec un voyageur la porte de dieux « Le Lac » : Ce poème

fille habite son recueil Les Contemplations (1856). Ce recueil est un recueil de nostalgie mais surtout de souvenirs de sa fille (elle meurt noyée dans la Seine le 4 Septembre 1843.Dans ses vers, Victor Hugo choisit de raconter la traversée de son deuil, ceux-ci permettant de dépasser cet événement. Dans «  Pauca Meae » (Pauca qui signifie « peu de choses » et meae «  la mienne »)  ,par exemple, Hugo parle de sa fille et des moments heureux passés avec .0elle. Les 17 poèmes de « Pauca meae » sont