Deux Portraits Complétés

Académie de Dijon LETTRES TICE Le portrait du monstre http://lettres.ac-dijon.fr http://www.lettrestice.com CABAU, Gaëlle, gcabau@ac-dijon.fr Dossier coordonné par Christelle Membrey-Bézier pour Mme Achard et M. Bussière, IA-IPR Lettres Groupe de travail ouvert à toute proposition ou suggestion : écrire à christelle.membrey@ac-dijon.fr Séquence sur le portrait : Quoi ma gueule, qu’est-ce qu’elle a ma gueule Le portrait du monstre Fiche professeur

et réviser le vocabulaire relatif à sa description. ( Faire émettre des hypothèses de lecture Dracula fait son cinémaLecture (image et texte)( Description du « livre objet » ( Observation et analyse du paratexte ( Lecture de l’œuvre intégrale ( Compléter le dossier d’accompagnement à la lectureLecture personnelle : remise d’un questionnaire pour accompagner l’élève dans cette phase de travail individuel qui a lieu soit pendant les vacances (c’est l’option choisie, ici), soit pendant le déroulement

1Durée:1 heure Chapitre 1Lire le passageFormuler des hypothèses de lectureCaractériser et analyser le personnage principal (olivier Bécaille a toujours été obsédé / angoissé par la mort)- Répondre question orale de compréhension générale- faire le portrait du héros (tableau physique, social, psychologique)- à l'oral: champ lexical de la mort- synthèse écriteSéance 2Durée1 heurePages 14 à 19 (ligne 5 : dit la vieille femme)Lire le passageRécapituler les informationsConstruire du sensIdentifier les autres

d’autres[2]…Constituée formellement de 172 décasyllabes en rimes plates, l’ « Elégie à Janet… » est notamment marquée par l’influence du Recueil anacréontique, qu’H. Estienne venait de publier en mars 1554 : les échos à l’ode XXVIII, portrait d’une maîtresse absente, et à l’ode XXIX, portrait du mignon du poète, Bathylle, y sont très présents. Comme le suggère le titre, c’est à Janet que Ronsard s’adresse dans ce poème. On reconnaît sous le diminutif de « Janet »[3] François Clouet[4], alors peintre officiel

Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard est un portrait équestre du Premier Consul Napoléon Bonaparte peint par Jacques-Louis David entre 1800 et 1803. Napoléon est représenté lors du franchissement du col alpin du Grand-Saint-Bernard par l'armée de réserve, épisode qui marque le début de la seconde campagne d'Italie. David peint cinq versions de ce portrait, dont la première fut commandée par le roi d'Espagne Charles IV comme témoignage d'entente entre

que tous deux se disputent, et sa mère, Mme Argante, la presse de se marier. Heureusement, l’ancien valet de Dorante, Dubois, est là pour mener la danse et faire tomber ces divers obstacles. Nous allons aujourd’hui nous focaliser sur un extrait de l’acte II, acte central où traditionnellement les différents fils de l’intrigue viennent se nouer. Dans La Surprise de l’amour, du même auteur, l’action de la fin de l’acte II puis de l’acte III progressait autour d’un objet : le portrait miniature

de la suite de la scène. Impressions des lecteurs. Deuxième lecture orientée par : « repère un passage que tu trouves triste et un passage que tu trouves gai. Essaie de trouver ce qui te rend triste ou gai. » Travail individuel écrit présenté sur deux colonnes : à gauche les passages découpés (photocopies !) et à droite l’explicitation de ce qui rend triste ou gai. Mise en commun : on lit, on explicite, on justifie, on accepte la subjectivité de chacun, pourvu qu’elle s’appuie sur le texte. ■

: le jeu des points de vue Nous verrons comment la focalisation permet de présenter les personnages puis de les faire vivre de l’intérieur pour que l’auteur disparaisse au profit des deux héros. I - Le jeu des points de vue Première phrase : focalisation zéro => le narrateur est omniscient A) Portrait de Julien par Mme de Rênal - focalisation - indétermination de Julien « une jeune fille déguisée » - Julien asexué (« cette pauvre créature ») => l’adjectif pauvre a une double valeur

lecteur la découvre également pour la première fois. Son portrait s'inspire du roman héroïque et de la préciosité mais relève du roman psychologique par l'importance accordée au portrait moral et surtout à l'analyse à laquelle se livre Mme de la Fayette pour expliquer les vertus dont est dotée sn héroïne. Il s'agit d'étudier en quoi ce portrait de Mlle de Chartres est une incarnation de la perfection. I. Une incarnation de la perfection Le portrait brossé par Mme de la Fayette présente Mlle de Chartres

À cette scène du portrait succède en effet la scène du « tableau », étrange redoublement… Comment l’expliquer ? Est-elle utile dans le nouement de la pièce ? Pourquoi ce double-nœud ? Pourquoi une telle dépense ? C’est ce questionnement qui nous servira de point de départ