Deuxième choc pétrolier

engage des procès retentissant contre les constructeurs automobile, avec la dénonciation des « voitures qui tuent », ainsi que les entreprises de tabac. Les préoccupations écologiques sont également avivées par une succession d’accidents. Cf. le pétrolier Torrey Canyon sur les côtes bretonnes. Cela suscite les inquiétude de la part de la pop et des économistes : le club de Rome, dans son rapport Halte à la croissance de 1970 prédit un effondrement catastrophique de l’éco mondiale vers 2050. •

Depuis le choc 1er choc pétrolier de 1971 , le prix du baril de pétrole n' a cesser d' augmenter  d' autant plus qu'il devient rare donc cher , il est utiliser pour tout : chauffage , automobile , sidérurgie transport de marchandises. De 1971 a 1972 le prix du baril passe d’environ 3 dollars à 12 dollars. Le pétrole atteint actuellement 92,77 $ le baril au 3 janvier 2013, et lors de la crise de 2008 il avait atteint 144 $ en juillet. Les variations du prix du pétrole influencent t-elle les consommateurs 

diminuer la production et augmenter les prix. C'est toute l'Europe qui devient en crise, dépedant de l'essence, ils sont contraint de payer car il ne peuvent pas s'en passer . Le premier choc pétrolier a eu lieu en 1973, lors de l'attaque de l'Egypte et de la syrie a Israel, l'amérique soutient Israêl, les pays pétroliers ne supportent pas l'implications de l'amérique dans leurs histoires, diminuent leurs exportations de pétroles de 5 % ! Ce qui handicapera l'économie des pays industrialisé , et provoquera

massivement, ils ont pu goûter les bienfaits. Ainsi, le temps d’une génération, malgré les limites du processus et les contestations qu’il a pu susciter, ils ont pu croire au caractère désormais inéluctable du progrès matériel. Les deux chocs pétroliers et la plongée dans la dépression économique qui a suivi ont eu tôt fait d’en montrer, au contraire, le caractère d’exception. Histoire depression Introduction Après la Seconde Guerre mondiale, le monde connaît une phase de forte croissance

dégradait l’environnement, et préconisait l’adoption d’une « croissance zéro ». Les chocs pétroliers de 1973 et 1979 avaient fait temporairement prendre conscience de la nécessité économique (à défaut d’une nécessité écologique) de ne pas gaspiller l’énergie. Depuis le contre-choc pétrolier du début des années 80, les prix réels de l’énergie sont inférieurs à ce qu’ils étaient au lendemain du premier choc pétrolier, en 1974. La croissance de la consommation énergétique est alors à nouveau supérieure

Pendant une trentaine d'année, c'est la croissance qui fut au coeur des préoccupations. Tantôt forte (A), tantôt limitée (B) elle resta au centre des discussions (C). A) Une croissance exceptionnelle De l'immédiat après-guerre au premier choc pétrolier, la croissance fut très forte, de l'ordre de 5 à 6%. Elle est d'autant plus remarquable qu'elle est relativement régulière et que ses retombées sont générales et permettent de réduire les écarts de revenus. Les causes de cet emballement sont

salaires et profit, ainsi qu'aux mécanismes particuliers de financement de l'économie (économie d'endettement). En France, l'inflation s'accélère avec le choc pétrolier de 1973, et culmine en 1974 avec une hausse des prix à la consommation de 13,7 %. Après une baisse momentanée, la taux d'inflation reprend à l'occasion du second choc pétrolier de 1979/80, auquel s'ajoute la hausse du dollar. D'un point de vue théorique, l'école monétariste avec Milton Friedman considère que l'inflation est toujours

historique : la France 70/80) mais grâce à l’euro et grâce au FMN qui sont présent sur toute la planète plus de commerce extérieur. Carré magique b) Inflation (cf TD) Dans les années 70, l’inflation est un gros problème. (=> choc pétrolier, multiplier le pétrole par 4) et pour lutter il y a la TQM, on augmente les taux d’intérêts. Pour résoudre l’inflation, on va aggraver dans les années 80 : chômage. Mais en 1990, il y a un gros problème de mondialisation. c) Chômage (cf

stagflation * Apparaissent de nouvelles difficultés dont nous ne sommes pas sortis. 2. Apparemment facile a dater, même si ses prodromes sont anciens a. 1973, une date symbolique, mais l’économie souffrait déjà de désajustements 73 1er choc pétrolier : 3$ 12$ Mais il y avait des signes avant-coureurs * L’inflation s’accélérait : inflation rampante, puis inflation croissante (67) * Le chômage commence dès les 60’s : augmentation de la PA (Jeunes + Femmes) et inadéquation de l’offre

chômage ne reculait pas. D'un point de vue empirique, cela se traduit par un déplacement vers le haut de la courbe de Phillips, effectivement observé dans de nombreux pays au cours de la période 1970-1973, c'est-à-dire avant même le premier choc pétrolier. La courbe de Phillips est une droite (M. Friedman et E. Phelps) Avant même que ce glissement de la courbe de Phillips ait été constaté dans les faits, M. Friedman (1968) et E. Phelps (1967) avaient prédit, sur la base d'arguments théoriques