Devant Deux Portraits De Ma Mère

des jeunes artistes. Et par chance je trouvais un large poster de «jeune fille coiffant ses cheveux ». Sans hésitation je l’achetai. Pour qu’il finisse accrocher au mur de mon atelier, une petite pièce carrée, dont le mobilier se composait d’un lit, deux chevalets, d’une table longue avec un ordinateur multimédia, et une petite bibliothèque Avec quelques livres et cdroms ainsi que quelques toiles pas encore achevées poser par terre le long du mur. Un plaisir étrange me poussa à débuter les préparatifs

Vergne  dite Madame de Lafayette   Commentaire de l’extrait : On peut penser qu’il y a des ressemblances entre le personnage de la Princesse de Clèves et son auteur Madame de Lafayette. Toutes deux ont perdu leur père à quinze ans, ont épousé, par mariage arrangé, un homme estimable. Elles furent toutes deux éprises, hors mariage, d’un duc : le duc de Nemours pour la princesse et le duc de La Rochefoucauld pour Madame de Lafayette. Elles furent aussi femmes de Cour : l’héroïne du roman, sous le règne

âgé de vingt-deux ans, il sera brièvement évoqué dans Reste avec nous (1967), puis apparaîtra comme une figure centrale dans plusieurs textes. Du dernier chapitre du Portrait des Vaudois (1969) intitulé « Voir sa mort » à L’Imparfait (1996), en passant par le « Portrait d’une ombre » qui constitue le troisième volet de Bréviaire (1976), la figure du suicidé sera posée par Chessex à l’origine de différents aspects de son identité d’homme et d’écrivain. De même, la présence de la mère – Lucienne Chessex

Mme de La Fayette, écrit en 1678 son 1er roman d’analyse moderne français, La Princesse de Clèves, et ce roman s’ouvre sur un tableau « Dans les dernières années du règne de Henri II » (16e s). Sur cette brillante toile de fond se détachent les portraits des grands du Royaume, tous plus remarquables les uns que les autres pour la beauté, l’esprit, le goût, le mérite. C’est dans ce cortège d’êtres d’exceptions décrit de manière superlative et abstraite que partait tout à coup l’héroïne, Mlle de Chartres

I. Une incarnation de la perfection Le portrait brossé par Mme de la Fayette présente Mlle de Chartres comme une incarnation de la perfection par sa beauté physique, sa noblesse de haut rang et sa vertu. 1. Le portrait physique Il s'agit de la première apparition de Mlle de Chartres, le lecteur s'attend à ce que l'auteur brosse son portrait qui débute traditionnellement avec le portrait physique. Mais le narrateur se contente de reprendre au début de la description le terme « beauté »

LECTURE ANALYTIQUE : le portrait de Melle de Chartres INTRODUCTION CONTEXTE Le XVIIème, siècle du Classicisme [se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal s'incarnant dans l’« honnête homme » et qui développent une esthétique fondée sur une recherche de la perfection, son maître mot est la raison], a hérité de la Renaissance le goût pour la culture antique mais aussi la conviction que l’homme doit apprendre à se connaître lui-même. Au cours de ce siècle, un écrivain

de Mlle de Chartres un personnage exemplaire. Introduction : Classicisme et préciosité : voir documents. Biographie de Mme de Lafayette. Son oeuvre. Résumer du texte et situation de l'estrait. Registre du texte. Problématique. Plan. Un portrait esquissé Pendant période Classicisme, l'intérêt porte valeures morales. Nom de Mlle de Lafayette n'est pas donné avant l27. On la désigne grâce périphrases : « une beauté » l2, « une beauté parfaite » répétition l2, « une des plus grandes héritières

Marton → on a donc deux clans qui s'affrontent avec Araminthe au centre. Scène 11 : Dialogue entre Dorante et Marton → Dorante la critique pour sa manipulation d'Araminthe (le Comte l'a payée) → elle nous apparaît comme calculatrice et intéressée. Scène 12 : Tête à tête Dorante – Araminthe → elle le met dans la confidence qu'on veut la marier : Dorante lui prouve qu'elle peut avoir confiance en lui. Scène 13 : Dubois les interrompt (interruption convenue entre les deux hommes). Araminthe

Frida Kahlo. Las Dos Fridos. ( les deux Frida ) Nous allons vous présenter « Las dos Frida » ou en français ce qui donne« Les deux Frida », est une huile sur toile de 173 x 173,5cm réalisé par l'artiste mexicaine Frida Kahlo en 1939. Mais tout d'abord nous allons vous parler de Frida Kahlo. Donc Frida Kahlo naît le 6 juillet 1907 de Mathilde Calderón, qui est d'origine indienne, et de Wilhelm Kahlo, « Don Guillermo » en espagnol, un photographe d'origine allemande. Ils vivent dans

(l.23), « la finesse de ses doigts » ; le fait qu’elle soit une bonne mère, c’est un « éblouissement » pour Fréderic. On a également une focalisation interne, qui donne donc tout l’aspect lyrique du texte en traduisant ses pensées. Dans l’extrait « Le Lys dans la Vallée », on retrouve des similitudes, telles que le registre lyrique, ainsi qu’une focalisation interne, on suit son regard, puis nous retrouvons également un portrait assez mystérieux, et sensuel de la femme « de blanches épaules blanchies »